ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 24756 POINTS : 4870
PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. DC : nope. PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014
Le membre 'Sergio Gutiérrez' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'dé action' :
Maritza Gutiérrez
la cheffe de tribu
ÂGE : 51 ans SURNOM : Mari, Za' STATUT : Divorcée. Elle a été mariée pendant 10 ans avec Sergio. En 2002 ils signent les papiers du divorce mais depuis la mère de famille n'a jamais refait sa vie. MÉTIER : Femme de ménage, nourrice, cuisinière, en gros, elle est bonne à tout faire. LOGEMENT : #32 Parkland Boulevard (Spring Hill) POSTS : 378 POINTS : 640
Lorsque Sergio lui proposa de rentrer et par conséquent d'abandonner le stage de survie, Maritza n'eut même pas besoin de lui répondre. Son regard parla pour elle-même. Les sourcils froncés, les yeux presque noirs, la mexicaine refusait de s'avouer vaincue. Elle n'avait pas fait tout cela pour arrêter sur la dernière ligne droite, il en allait de sa dignité. Non, ils n'allaient pas lâcher l'affaire, non ils ne rentreraient pas chez eux, en tout cas pas avant d'avoir obtenu ce fichu diplôme. La matriarche était bien décidée à réussir même si au fond d'elle croissait une angoisse de plus en plus importante. Il fallait qu'elle fasse attention à ce qu'elle faisait, les dangers étaient nombreux autour d'eux et elle devait bien admettre que pour le moment, elle n'en évitait aucun. Elle suivit le conseil de son ancien compagnon, saisit un bâton et avança précautionneusement. Les mauvaises surprises avaient tendance à débarquer très rapidement ces derniers temps.
Un silence de plomb s'était abattu sur leur pseudo campement. Ils s’affairaient tous les deux à ramener les pierres nécessaires à l'élaboration de la cabane. La fatigue prenait le pas chez Maritza et la scène de l'attaque du serpent repassait en boucle dans sa tête. La brune avait bien du mal à effacer de sa mémoire ce qu'elle venait de vivre. Lorsqu'ils eurent assez de pierres, ils les disposèrent une à une de façon à pouvoir installer la structure. Dubitative, Mari exprima ses doutes quant à l'efficacité de ce qu'ils venaient d'entreprendre. Sergio analysa la situation et se montra plus confiant qu'elle. Il lui expliqua comment faire pour mettre les branches et elle obéit sans broncher. Après plusieurs minutes, la cinquantenaire remarqua que l'espace était plutôt petit. Ils tiendraient difficilement à deux, ou plutôt ils tiendraient mais jamais en gardant une distance convenable entre leur deux corps. A cette pensée la mexicaine frissonna. Incapable de déterminer s'il s'agissait d'un frisson de désir ou bien de crainte. « Tu crois qu'il y aura de la place pour Etna ? » demanda-t-elle pour lui faire remarquer que leur cabane était très exiguë. Sergio s'en était-il rendu compte ? Avait-il conscience qu'ils risquaient de dormir collés l'un à l'autre ?
Ils n'eurent pas vraiment le temps de s'attarder sur ce point qu'ils constatèrent rapidement que la structure ne tenait pas, les branches s'effondraient petit à petit. Un soupir de lassitude échappa à Maritza alors qu'elle voyait son ancien mari réfléchir tout en tentant de garder son calme. Sa patience l'étonnait, elle l'avait connu plus sanguin, plus précipité. « Peut-être que si on creuse des tranchées, le bois restera coincé au sol et on pourra le faire tenir au bout… ? » La femme de ménage haussa un sourcil quelque peu sceptique. Cela risquait de leur prendre un temps fou mais après tout elle n'avait aucune autre solution à proposer. Elle se gratta la tête et après quelques secondes proposa : « Si on mouille la terre avec l'eau de la rivière, ce sera peut-être plus simple de creuser ? » Cela risquait de faire un peu de boue mais au moins ils pourraient manipuler la terre pour planter les branches et par la suite recouvrir ces dernières.
WIN : A l'aide de sa gourde, Maritza versa de l'eau le long des lignes imaginées par Sergio. Lorsque la terre fut plus molle, elle tendit un bout de bois à l'homme, en prit un de son côté et annonça : « Ca devrait faire l'affaire pour creuser. » et ils se mirent à la tâche. Au bout de quelques minutes ils constatèrent que la technique – bien que spéciale – était efficace. Les tranchées étaient prêtes, désormais ils pouvaient planter leurs branches.
SO CLOSE : Maritza versa de l'eau le long des lignes imaginées par Sergio mais le sol absorbait tout. Après de nombreux allers-retours elle marmonna : « Bon, on n'obtiendra pas mieux. » Ils prirent chacun un bout de bois et commencèrent à creuser les tranchées. C'était chaotique des deux côtés et rien n'était vraiment régulier. Au bout de longues minutes, épuisée, elle osa demander : « Tu penses que ça suffira ? »
FAIL : L'idée de l'eau paraissait ingénieuse sur le papier mais en réalité c'était tout bonnement inefficace. La terre ne se ramollissait absolument pas. Mari prit un bout de bois pour creuser, mais il se brisa. Elle renouvela l'expérience trois fois mais dû se rendre à l'évidence. Ca ne marchait pas. Rageusement elle balança le bois plus loin puis finit par se mettre à genoux. A l'aide de ses ongles et de ses doigts elle commença à gratter la terre. « On n'a pas fini... Et en plus je suis déjà sale ! » se plaignit-elle en montrant ses mains noircies à Sergio. Cette histoire semblait sans fin.
made by black arrow
I love you
I love you without knowing how, or when, or from where. I love you simply, without problems or pride: I love you in this way because I do not know any other way of loving but this, in which there is no I or you, so intimate that your hand upon my chest is my hand, so intimate that when I fall asleep your eyes close.
LE DESTIN
l'être suprême
ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 24756 POINTS : 4870
PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. DC : nope. PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014
(#) Sujet: Re: Sergio ♣ ¡ Quiero un castillo ! Ven 1 Sep 2023 - 0:52
Le membre 'Maritza Gutiérrez' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'dé action' :
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 52 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1552 POINTS : 190
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné depuis vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit seul avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS :
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : tiph (avatar) + jokeperalta (gif profil & signa) + hipdict (profil) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : albane (aka bébé banane), emery (aka le céleri) et garrett PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
(#) Sujet: Re: Sergio ♣ ¡ Quiero un castillo ! Dim 3 Sep 2023 - 23:53
quiero un castillo
Évidemment que le plan ne se déroulait pas comme prévu. Depuis qu’ils étaient arrivés, tout se jouait dans la demi-mesure. Ce n’était pas une catastrophe, mais pas une grande réussite non plus. Ils avaient du feu et de l’eau, ce qui semblait déjà primordial. Ils avaient aussi Etna qui était désormais sur le qui-vive. Il se doutait que Maritza ne le dirait jamais à voix haute mais le concernant, il était convaincu que ramener sa chienne avait été la meilleure idée du week-end. Maintenant qu’ils avaient compris qu’il valait mieux la tenir loin des branches, en tout cas. Leur semblant de cabane peinait déjà assez à tenir debout. La brune avait raison, l’espace serait vraiment restreint. Et en même temps, la taille des branches permettait difficilement de faire plus large, même avec la meilleure volonté. Il tourna la tête vers le doberman. « Non, probablement pas. Mais elle est habituée à dormir dehors de temps à autres, ce n’est pas grave. » S’il était parfois gâteux avec sa chienne, il ne lui passait pas tout ; elle ne dormait pas dans son lit, et il l’avait prise pour monter la garde avant tout. Il serait bien plus serein à la savoir rôder autour de l’abri plutôt qu’entre eux deux, en prenant le risque de cogner dans une branche et de tout faire s’écrouler. Pour un peu qu’il y avait quelque chose à faire tomber car les pierres ne faisaient pas totalement l’affaire pour tenir les fondations en place. A part creuser la terre, le mexicain n’avait franchement pas de meilleure idée. Heureusement, ils étaient deux, et l’idée de Mari lui sauta aux yeux comme une évidence. Humidifier la terre, évidemment. « Bonne idée. » Il la laissa verser sa gourde, attendit que l’eau s’évapore, et en retenant son souffle, il planta le bâton que la brune lui tendait. Il fallut forcer un peu mais finalement, la terre céda, acceptant de se creuser. Ils purent enfin avoir leurs chères tranchées au bout de quelques minutes, Sergio reposa le bâton. « Je pense que ça devrait faire l’affaire. On retente ? » Il se positionna à nouveau d’un côté, attendant que Mari fasse de même. Puis, ils purent retenter ce jeu d’équilibre. Les premières branches furent les plus chaotiques mais les tranchées fonctionnaient à merveille. Une fois la structure posée, ils purent accumuler les épaisseurs jusqu’à vraiment se créer un toit. Précautionneusement, Sergio acheva l’abri en reposant les pierres juste pour maintenir les branches, et enfin, ils avaient quelque chose qui ressemblait à une cabane. « On s’en sort vraiment bien. » Il fit un pas en arrière pour admirer le résultat. « On devrait encore trouver du feuillage pour isoler le toit. » Il regarda autour de lui. Il commençait à se sentir lassé de tout ce bazar mais en comparaison, trouver des branches aux larges feuilles n’était vraiment pas la partie la plus simple. Alors il s’avança à travers les arbres, nez en l’air, cherchant son bonheur.
Win : Il ne fallut pas longtemps avant de trouver cet arbre qui semblait être tombé récemment. Les branches étaient extrêmement fournies, le bois juste assez sec pour que simplement tirer dessus suffise à casser le bois. « On devrait même en avoir assez pour un matelas de fortune. » commenta Sergio dans un sourire satisfait. Ils approchaient enfin du but.
Close : Pas encore, stp le dé, déconne pas
Fail : Les arbres n’étaient pas exactement ce qui manquait. Les arbres aux larges feuilles accessibles en revanche, c’était un peu plus compliqué. Alors Sergio posa son dévolu sur le premier arbre qui correspondait à ses critères. Il attrapa la branche sans trop réfléchir. Malheureusement, ses connaissances en faune et flore étaient limitées. Autrement, il aurait su que les feuilles qu’il venait d’attraper à pleines mains étaient urticaires. Rapidement, la sensation de démangeaison grimpa, rendant ses paumes tout simplement insupportables. Il se les frotta contre son pantalon, grimace sur le visage. « Ne touche pas, elles sont urticaires. » Et cela ne faisait qu’amplifier. « Je vais à la rivière. » D’un pas pressé il s’y dirigea pour aller plonger ses mains dans l’eau glacé. Quelle manière stupide de s’handicaper.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
LE DESTIN
l'être suprême
ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 24756 POINTS : 4870
PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. DC : nope. PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014
(#) Sujet: Re: Sergio ♣ ¡ Quiero un castillo ! Dim 3 Sep 2023 - 23:53
Le membre 'Sergio Gutiérrez' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'dé action' :
Maritza Gutiérrez
la cheffe de tribu
ÂGE : 51 ans SURNOM : Mari, Za' STATUT : Divorcée. Elle a été mariée pendant 10 ans avec Sergio. En 2002 ils signent les papiers du divorce mais depuis la mère de famille n'a jamais refait sa vie. MÉTIER : Femme de ménage, nourrice, cuisinière, en gros, elle est bonne à tout faire. LOGEMENT : #32 Parkland Boulevard (Spring Hill) POSTS : 378 POINTS : 640
« Non, probablement pas. Mais elle est habituée à dormir dehors de temps à autres, ce n’est pas grave. » Maritza se retint d'expliquer à Sergio qu'en réalité elle se fichait bien de savoir si la chienne dormirait dehors ou à l'abri. Ce n'était pas ça qui lui posait problème, c'était la proximité qu'elle allait à nouveau partager avec l'agent qui la perturbait. Ce n'était pas la première fois qu'ils se retrouveraient dans ce genre de situation mais cela faisait des années que cela n'était pas arrivé. L'état actuel de leur relation était si particulier que la mexicaine se sentait perdue. Quelques mois auparavant elle aurait pu jurer sur tout ce qu'elle avait de plus cher qu'il ne se passerait plus jamais rien entre Sergio et elle mais depuis qu'il était de retour sous son toit – et par conséquent dans sa vie – toutes ses certitudes vacillaient. L'attirance qu'elle ressentait pour son ancien époux était indéniable, la complicité qui avait par le passé existé semblait renaître un peu plus chaque jour, chaque sourire, geste tendre de l'homme faisait battre un peu plus vite son cœur, tous ces signes n'annonçaient rien de bon quant aux résolutions qu'elle avait prises, Mari ne pouvait pas le nier. Pourquoi avait-il fallu qu'elle choisisse cet atelier avec lui ? N'aurait-elle pas dû choisir autre chose ?
Lorsqu'elle lui proposa de creuser la terre, il lui affirma que c'était une bonne idée. La cinquantenaire fut rassurée de constater que c'était en effet le cas. Au bout de longues minutes de dur labeur, ils parvinrent à faire des tranchées qui ressemblaient à quelque chose. « Je pense que ça devrait faire l’affaire. On retente ? » Elle hocha la tête, priant pour que tout se passe pour le mieux. Après leurs précédentes tentatives, ils étaient devenus assez efficaces pour enfin parvenir à construire la structure de la cabane. Les branches s'emboîtaient mieux et la cabane semblait plutôt solide. Il fallait néanmoins prier pour qu'il n'y ait aucune intempérie durant la nuit. « On s’en sort vraiment bien. » Un sourire éclaira le visage de la brune qui ajouta : « Je n'en reviens pas. » Leur cabane ressemblait vraiment à une cabane. Elle n'était certes pas très grande mais au moins ils dormiraient à l'abri. Cela la rassurait quelque peu. « On devrait encore trouver du feuillage pour isoler le toit. » En silence elle le suivit à travers les bois, regardant tout autour d'elle ce qui pourrait convenir. Elle n'était pas particulièrement inquiète quant à ce point. Durant les jours qui avaient précédé, la mère avait repéré de nombreuses grandes feuilles qui pourraient faire l'affaire. Elle vit d'ailleurs ce qu'elle recherchait mais au moment où elle allait les montrer à Sergio elle vit ce dernier toucher une plante qu'il n'aurait même pas dû effleurer. Elle n'eut pas le temps de le mettre en garde qu'elle l'entendit : « Ne touche pas, elles sont urticaires. » Elle se mordit la langue pour ne pas rétorquer qu'elle était au courant et l'observa – impuissante – s'éloigner près de la rivière. Rapidement elle retrouva ses esprits et chercha sur le sol deux plantes bien distinctes : l'aloe vera ainsi que le lierre terrestre. Elle savait que ces plantes calmaient les démangeaisons de piqûres d'orties, peut-être seraient-elle aussi efficace dans cette situation. Au bout de quelques minutes, elle repéra un pied d'aloe vera et s'empressa d'en couper des morceaux. Elle retourna au plus vite vers Sergio dont les mains étaient encore plongées dans la rivière. « Donne-moi tes mains » demanda-t-elle avec douceur. Elle prit celle qui était la plus attaquée et commença à frotter avec délicatesse la plante sur sa peau. Elle accrocha le regard de Sergio et murmura : « Tu sens une différence ? ». Elle espérait sincèrement que cela fonctionnerait.
made by black arrow
I love you
I love you without knowing how, or when, or from where. I love you simply, without problems or pride: I love you in this way because I do not know any other way of loving but this, in which there is no I or you, so intimate that your hand upon my chest is my hand, so intimate that when I fall asleep your eyes close.
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 52 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1552 POINTS : 190
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné depuis vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit seul avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS :
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : tiph (avatar) + jokeperalta (gif profil & signa) + hipdict (profil) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : albane (aka bébé banane), emery (aka le céleri) et garrett PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
(#) Sujet: Re: Sergio ♣ ¡ Quiero un castillo ! Ven 15 Sep 2023 - 23:08
quiero un castillo
Sergio avait hâte d’en finir avec cette cabane pour qu’ils puissent enfin se poser et espérer se détendre. Le sentiment d’urgence qu’il avait ressenti au début de l’après-midi en réalisant qu’ils devraient monter une cabane et réussir à faire un feu s’était dissipé. Quelque chose lui disait qu’ils n’étaient pas au bout de leurs peines, mais le mexicain se sentait prêt à affronter une nuit froide, un sol dur et des bestioles à partir du moment où Maritza était là. Il avait bien compris que l’atelier avait pour but de resserrer les liens entre les Gutiérrez mais pour l’heure, il n’était pas certain que cela soit la meilleure manière de communiquer et partager un bon moment. Malheureusement pour lui, l’allégresse provoquée par la construction de la cabane et par le sourire radieux de la brune n’avaient pas duré. C’était tristement ironique que ce soit dans l’étape la plus facile qu’il fasse cette erreur de débutant. Il ne fallut que quelques secondes avant que la sensation urticaire ne grimpe et lui fasse comprendre que la faune n’était pas l’unique chose dont se méfier, dans cette nature australienne. Il tenta de rester stoïque mais sa démarche trop pressée en direction de la rivière trahit immédiatement le côté insoutenable de la démangeaison. C’était comme si un million de fourmis s’étaient infiltrées sous la peau de ses paumes. L’eau froide soulagea quelque peu mais pas assez pour qu’il puisse retirer ses mains de là sans grimacer. Il ne s’y connaissait pas en plantes mais savait que c’était dû à de minuscules poils urticants qui s’étaient accrochés à sa peau. Dans le cas des orties par exemple, il savait que le vinaigre ou la menthe pouvaient aider. Il doutait cependant en trouver dans cette forêt, le faisant se sentir particulièrement stupide d’être handicapé par si peu. Au bout de quelques minutes, Maritza finit par le rejoindre. Elle avait les mains pleines de plantes qui, apparemment, n’étaient pas urticantes, elles. La brune avait l’air de parfaitement savoir quoi faire alors il la laissa docilement prendre ses mains entre les siennes. Il ne broncha pas, mettant tous ses efforts pour être patient et ne pas replonger directement ses mains dans l’eau. La proximité de son ex-femme eut au moins le don de le distraire. Elle était si proche qu’il pouvait sentir son parfum, voir tous les détails de son visage. Ça, ajouté à l’extrême délicatesse dont elle faisait preuve, suffisaient à lui faire oublier pendant un instant la démangeaison de ses mains. Elle était magnifique. Il ne lui fallait que croiser son regard pour se rappeler ce qui l’avait fait chavirer dès le jour où il avait posé les yeux sur elle dans leur rue à Acapulco.
Win : Quand il revint à la réalité, ses paumes ne démangeaient plus autant. La sève de l’aloe vera avait fait son affaire et le contact frais atténua grandement l’effet urticaire. « Oui. Merci. Je pense que je vais te laisser choisir quelles branches utiliser maintenant. » Il lui sourit doucement. L’effet était passé et malgré tout, il se refusa à bouger, à briser ce contact, ses prunelles fermement accrochées à celles de la brune. Il en oubliait l’existence de leur cabane et le reste de leurs responsabilités, subitement.
Close : Quand il revient à la réalité et baissa les yeux sur l’aloe vera, un sourire contrit étira ses lèvres. « Mari. Je crois que tu es supposée couper la feuille en deux pour extraire la sève. C’est ça, le remède miracle. » Il ne put retenir un léger rire. Vu la manière dont elle avait coupé les bouts, un peu de sève suintait, mais pas assez pour franchement le soulager. Dommage que ses connaissances végétales ne ressortent que pour dire à la brune qu’elle s’en sortait mal.
Fail : j’ai pas d’idée et franchement le dé ce serait pas cool.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
LE DESTIN
l'être suprême
ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 24756 POINTS : 4870
PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. DC : nope. PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014
(#) Sujet: Re: Sergio ♣ ¡ Quiero un castillo ! Ven 15 Sep 2023 - 23:08
Le membre 'Sergio Gutiérrez' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'dé action' :
Maritza Gutiérrez
la cheffe de tribu
ÂGE : 51 ans SURNOM : Mari, Za' STATUT : Divorcée. Elle a été mariée pendant 10 ans avec Sergio. En 2002 ils signent les papiers du divorce mais depuis la mère de famille n'a jamais refait sa vie. MÉTIER : Femme de ménage, nourrice, cuisinière, en gros, elle est bonne à tout faire. LOGEMENT : #32 Parkland Boulevard (Spring Hill) POSTS : 378 POINTS : 640
Les yeux plongés dans ceux de Sergio, Mari en oubliait presque ce qu'elle était en train de faire. La manière dont il la regardait la faisait chavirer et faisait battre son cœur un peu trop vite. Sans détacher son regard du sien, elle frottait méticuleusement les feuilles contre les mains douloureuses de son ancien compagnon. Ce ne fut que lorsqu'elle l'entendit dire : « Mari. Je crois que tu es supposée couper la feuille en deux pour extraire la sève. C’est ça, le remède miracle. » qu'elle sursauta et balbutia : « Quoi ? » Ses yeux se posèrent à leur tour sur les feuilles d'aloe vera qu'elle s'obstinait à frotter. Elle se mordit l'intérieur de la joue et murmura : « C'était pour voir si tu avais encore toutes tes facultés cérébrales... » elle lui tira la langue, admettant à demi-mot qu'elle avait en effet fait n'importe quoi puis coupe les feuilles en morceaux. Cette fois-ci la sève s'écoula tout comme l'odeur de la plante qui vint se glisser entre eux. La matriarche ne se fit pas avoir une deuxième fois, elle se concentra sur les mains de l'agent, refusant de croiser son regard qui avait tendant à bien trop la perturber. Au bout de quelques minutes elle arrêta et plongea avec délicatesse les mains de Sergio dans l'eau. Lorsqu'elle les ressortit, elle caressa du bout des doigts la peau de l'homme et satisfaite lui dit : « Je pense que ça devrait être bon cette fois. » Sa peau était encore un peu rouge et quelques piqûres subsistaient mais le plus dur semblait passer. Elle lâcha les mains du cinquantenaire et s'éloigna un peu de l'eau. Elle le regarda du coin de l'oeil et finit par lui dire : « Je vais m'occuper des feuilles, ce sera peut-être mieux... » et elle s'approcha des bois. Elle fut rassurée lorsqu'elle entendit qu'Etna était à ses côtés. Depuis l'attaque du serpent, la chienne ne semblait plus vouloir la lâcher d'une seule semelle. Si d'ordinaire cela aurait rendu dingue Mari, présentement elle était plus que ravie que l'animal agisse ainsi. Elle retrouva aisément l'arbre qu'elle avait repéré avant que Sergio ne touche la plante urticante et commença à arracher les feuilles. Au bout de longues minutes – beaucoup trop longues – elle décida de revenir sur leur campement les bras chargés de feuilles. Elle les déposa aux pieds de Sergio et lui demanda : « Tu penses que ce sera suffisant ? Sinon je peux y retourner. » Elle espérait sincèrement ne pas devoir remettre les pieds dans les bois, elle était purement et simplement épuisée.
made by black arrow
I love you
I love you without knowing how, or when, or from where. I love you simply, without problems or pride: I love you in this way because I do not know any other way of loving but this, in which there is no I or you, so intimate that your hand upon my chest is my hand, so intimate that when I fall asleep your eyes close.