ÂGE : 35 (18.02) SURNOM : G. STATUT : and i know that it’s wrong that i can’t move on but there’s something about you MÉTIER : romancière wannabe, elle s'est essayée à la biographie et ça a plutôt bien fonctionné. LOGEMENT : Spring Hill #17 POSTS : 2735 POINTS : 240
TW IN RP : alcool, drogue, age gap TW IRL : n/aGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : made in England • being rich doesn't make you happier • drama queen pouring wine after the smallest inconvenienceDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : lightseagreen RPs EN COURS : [08/08]
Mallen #7 • we just friends, just friends. when you say my name so casual, touch my hand, i stop and play it cool like i'm not into you
Moventry #15#16 • i've been holding on to hope that you'll come back when you can find some peace, 'cause every word that i've heard spoken since you left feels like an hollow street. i've been told, i've been told to get you off my mind but i hope i never lose the bruises that you left behind.
Emery #5 • Lost and insecure, you found me, you found me. Lyin' on the floor surrounded, surrounded, just a little late, you found me, you found me
Il fallait parfois un événement bien précis pour se rendre compte de la valeur d’une personne et l’épisode avec Carmine avait servi de rappel à Greta sur la place d’Emery dans sa vie. La gamine qui rêvait de se hisser en haut de l’élite par n’importe quel moyen n’était plus celle qu’elle était et c’était la raison qui avait poussé l’héritière à prendre sa défense et ce devant la personne qui comptait le plus pour elle. Pourtant, malgré une solide et évidente amitié, Emery semblait avoir pris ses distances depuis cette étape là et Greta ne pouvait pas lui en vouloir. Eviter Carmine, ne pas mettre de l’huile sur le feu, laisser à son amie de l’espace après avoir encaissé la vérité sur elle… Les raisons pour qu’elles s’accordent un peu de temps étaient nombreuses. Greta avait effectivement eu du mal à comprendre et à passer sur ce que lui avait confié Carmine qui n’était au final que la confirmation de tous les doutes qu’avait pu avoir sa soeur à l’époque. Greta avait raison et pour la première fois ce constat ne l’avait pas réjouie, bien au contraire et elle s’était concentrée sur le lien qui l’unissait à la jeune mannequin pour effacer le passé. La page était tournée et aujourd’hui, après des semaines sans avoir vu la petite blonde, Greta ressentait un réel manque - elle avait pris l’habitude de tout lui confier parce qu’elle ne jugeait pas. Emery avait des défauts, un passé et un présent sulfureux, mais si cela permettait une amitié sans filtre alors l’écrivaine était prête à tout accepter parce qu’elle avait également la circonstance atténuante de son jeune âge.
Comme convenu, Greta avait téléphoné au meilleur restaurant de sushis de Brisbane et payé un supplément pour la livraison parce qu’il avait le défaut d’être un peu trop loin. En réalisant combien elle s’appliquait à dresser le tableau d’une soirée entre filles parfaite, Greta avait légèrement pouffé, se donnant l’impression d’organiser un rendez-vous galant. Ce ne serait plus le cas avant un long moment parce que l’écrivaine était devenue la protagoniste d’un roman à l’eau de rose qu’elle aurait détesté écrire tant il était cliché. La femme dont le coeur avait été brisé violemment qui retombait dans les griffes de celui qui lui avait fait du mal à l’exact moment où elle s’autorisait à retomber amoureuse. La situation était ridicule, mais elle ne contrôlait plus grand chose et comptait sur la visite de son amie pour reprendre les choses en mains. « Si je te dis que tu m’as manquée ça fait cliché hin ? » avait-elle lancé à Emery à peine la porte ouverte. Et comme à son habitude, la mannequin avait fait comme chez elle, Greta ignorant ses yeux qui scrutaient le loft pour vérifier que Carmine était bel et bien absent. Après avoir ouvert une bouteille de vin, Greta avait rejoint Emery sur le canapé, celle-ci dévorant déjà des yeux les sushis posés sur la table. « Donc Cesar ? » avait-elle demandé en lui plaçant le verre de vin dans la main. Emery avait éclaté de rire et son regard indiquait son étonnement. « Bah quoi, si tu voulais qu’on prenne le temps pour les formules de politesse fallait venir me voir avant. » Et à bien y réfléchir, Greta préférait largement que le sujet de la discussion s’oriente tout d’abord vers son amie.
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just know this too shall pass
losin' your mind in the mirror like you have to, screamin' in your car in the driveway, spinnin' out, think your life's going sideways. sleep is so thin outta habit, hard to tell the real from the dreams you imagine. nights when one broken glass turns to total collapse just know this too shall pass.-byendlesslove
Dernière édition par Greta Moore le Mar 28 Nov 2023 - 1:19, édité 1 fois
Emery Dawson
les faux-semblants
ÂGE : 26 ans (08/01) SURNOM : em' en règle générale, mery christmas durant les fêtes STATUT : en couple avec cesar depuis juin 2023, pas de grosse catastrophe à recenser pour le moment. MÉTIER : vendeuse au sexshop l'aphrodite, en voie de racheter le sexshop concurrent. mannequin en dèche de contrats pour payer son loyer. LOGEMENT : squatter la coloc de cesar avec ses trois cochons d'inde a été un chaos inouï. elle a donc trouvé refuge... chez belle-maman. POSTS : 1045 POINTS : 0
TW IN RP : troubles alimentaires, drogues, sexualisation GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : obsédée par son apparence, déformation professionnelle ≈ vit une vie de rêve selon son instagram ≈ bricoleuse talentueuse ≈ oiseau matinal ≈ court, boxe, use les bancs de la salle de sport ≈ bénévole auprès de patients atteints d'alzheimer ≈ végétarienne ≈ son passif dans le mannequinat l'a amenée à coucher, poser pour des magazines érotiques et consommer de la drogue ≈ chantonne en permanence ≈ aspire à se marier à un bon parti pour arrêter de se soucier de la vie ≈ possède trois cochons d'inde : hobbs, eugene et ultra.RPs EN COURS :
Why'd I always circle back, hallucinate about my past. It's the way it is try not show it hlf as much and you know this. Someone else's pure bliss cause deep down I'm still I'm calling. Nowadays it's how it is I guess. No need to regret no room to get jealous of grand schemes whatever that means you never lost
Ce dernier mois s’était écoulé à une vitesse vertigineuse. Emery n’avait pas menti à G en lui disant qu’elle était sous l’eau ; elle n’avait que 24h dans une journée et trouvait le moyen de toutes les employer. Entre Weatherton, le sexshop, les heures de sport pour honorer son contrat, son résidu de vie sociale et Cesar, la blonde ne se souvenait pas de la dernière journée où elle s’était posée pour ne juste rien faire. Elle avait été plus qu’heureuse d’envoyer voler ses plans pour passer la soirée avec son amie. Néanmoins, là où elle n’avait pas été particulièrement honnête, c’était qu’elle avait peut-être quelque peu repoussé le moment de la voir. Em n’était pas vraiment fière de ses dernières frasques et entre Carmine et Arthur, elle avait la désagréable impression qu’un de ses pas de travers allait finir par lui éclater en plein visage. L’excuse de la présence de l’aîné Sighbury était la parfaite excuse dont elle avait besoin et elle n’avait pas cherché à contredire son amie. La mannequin avait donc passé la journée entière à répéter les pires scénarios dans son esprit, à répéter les prétextes et excuses qu’elle présenterait si nécessaire. Elle avait même profité des week-ends pour travailler quelques mines outrées et contrites. Ça l’avait occupée pendant les essayages interminables. Le sourire qu’elle afficha une fois sur le pas de la porte de la Moore en revanche, elle n’avait pas eu besoin de le préparer. « Hey ! » Elle montra la bouteille de vin qu’elle tenait à la main. Greta ne lui avait jamais répondu sur sa nécessité mais Em se doutait que ce ne serait probablement pas de trop. « Tu es un cliché ambulant, G. Et si je ne t’avais pas manquée, je serais absolument offusquée. » Elle la serra brièvement dans ses bras en riant, puis s’avança dans le salon qu’elle connaissait désormais par cœur après avoir laissé la bouteille à G. Son premier réflexe fut d’analyser les lieux mais non, Carmine ne débarqua pas. Encore mieux, il n’y avait rien dans la pièce qui trahissait le fait qu’il vivait ici. Tant mieux. Car si la blonde commençait enfin à s’en sortir dans le milieu, la rancune l’étouffait encore sur le coup foireux que l’anglais lui avait fait. Elle grinçait des dents chaque fois qu’elle voyait le nom Rolex quelque part, et ressentait un pur sentiment de haine chaque fois que le nom de Sighbury tombait dans le monde du mannequinat. Encore plus depuis qu’elle s’était montrée en sa présence. Elle n’eut pas le temps de s’attarder qu’elle découvrit le plateau de sushis qui lui fit perdre le fil de ses pensées. Elle était absolument affamée, elle n’avait rien mangé depuis le matin et rêvait déjà d’attraper les baguettes pour se mettre à dévorer. A la place, ce fut un verre de vin et une question ciblée qui l’accueillirent. Ses prunelles claires se relevèrent vers G, son air outré finissant finalement par servir. « Je vais bien merci, et toi ? » C’était évidemment ironique et elle rigola en prenant une gorgée de vin, faisant volontairement traîner le suspense. « Oui, Cesar. C’est… une longue histoire. Je t’avais raconté qu’il avait débarqué chez moi à l’improviste et qu’il était tombé sur Reid. Et que j’étais ensuite allée le voir pour l’engueuler et lui dire de se tenir loin de moi, qu’on était finis. Ce qui était inutile au final parce que Cesar n’est pas tombé sur Reid mais sur Mason, mon coloc. Bref, une grosse confusion. » Sa main libre s’agitait dans les airs comme pour tenter d’illustrer l’historique de leur histoire. « Avant de partir il m’a fait un monologue sur le fait que je n’en avais rien à faire de Reid et que je m’acharnais juste à le remplacer avec une relation pansement. J’étais vexée, mais il avait raison. Et penser à un autre homme quand tu es au lit est une très mauvaise idée, j’ai failli sortir le mauvais nom. » Elle ne préférait pas imaginer comment Reid aurait réagi. « J’ai fini par me rendre à l’évidence et j’ai quitté Reid. J’ai vraiment bien fait. Tu aurais vu sa réaction, il m’a vraiment fait peur. Ça a été une parfaite excuse pour demander à Cesar de rester avec moi à la maison durant les jours qui ont suivis. » Elle ne savait pas si ses explications faisaient sens mais elle ne savait pas comment mieux résumer.« A toi. Qu’est-ce que tu me caches ? » Les sms étaient trop mystiques pour qu’elle n’ait rien à raconter.
How many times do I have to learn my lesson, before I learn my lesson ? No, somebody help me, please tell me that I'm dreaming. I keep repeating my actions expecting different reactions but the same thing keeps on happening • sheepirl.
Greta Moore
le porte-plume
ÂGE : 35 (18.02) SURNOM : G. STATUT : and i know that it’s wrong that i can’t move on but there’s something about you MÉTIER : romancière wannabe, elle s'est essayée à la biographie et ça a plutôt bien fonctionné. LOGEMENT : Spring Hill #17 POSTS : 2735 POINTS : 240
TW IN RP : alcool, drogue, age gap TW IRL : n/aGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : made in England • being rich doesn't make you happier • drama queen pouring wine after the smallest inconvenienceDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : lightseagreen RPs EN COURS : [08/08]
Mallen #7 • we just friends, just friends. when you say my name so casual, touch my hand, i stop and play it cool like i'm not into you
Moventry #15#16 • i've been holding on to hope that you'll come back when you can find some peace, 'cause every word that i've heard spoken since you left feels like an hollow street. i've been told, i've been told to get you off my mind but i hope i never lose the bruises that you left behind.
Emery #5 • Lost and insecure, you found me, you found me. Lyin' on the floor surrounded, surrounded, just a little late, you found me, you found me
Fréquenter des personnes dont l’emploi du temps était tout aussi chargé que le sien avait ses avantages, le premier étant que cela réduisait grandement le sentiment de culpabilité. Greta avait négligé ses proches pour sa carrière professionnelle et elle était convaincue que tout le monde comprenait l’organisation de ses priorités mais, ces derniers temps, la distance avec Emery était dûe à des facteurs qui n’étaient pas des excuses. Greta avait pris la défense d’Emery, certes, pourtant, les actions de son frère avaient eu des conséquences sur leur amitié qu’elle n’avait pas pu nier. Plutôt que de renouer le dialogue et de passer la porte d’entrée de chez la mannequin plus tôt, l’écrivaine s’était perdue dans des démêlées amoureuses qu’elle ne maîtrisait pas alors sa seule arme aujourd’hui serait les propres déboires d’Emery. « Hey ! » avait-elle lancé en brandissant une bouteille de vin que Greta avait attrapé pour la poser négligemment sur un meuble, trop pressée qu’elle était de lui avouer combien elle lui avait manqué. « Tu es un cliché ambulant, G. Et si je ne t’avais pas manquée, je serais absolument offusquée. » Greta avait accueillie l’étreinte de son amie et son rire s’était retrouvé étouffé dans les cheveux de la blonde. Elle voulait tout savoir et vite, sa curiosité piquée au vif avec l’échange de messages qu’elles avaient eu. Elle avait ouvert la bouteille de vin pendant qu’Emery s’installait sur le canapé où elle l’avait rejoint. « Je vais bien merci, et toi ? » Greta avait roulé des yeux. « Ca fait longtemps qu’on a passé ce stade, comme celui de se retenir de se jeter sur la nourriture. Sers toi ! » avait-elle proposé en voyant le regard d’Emery qui ne se détournait pas des sushis. Pour l’encourager, elle était venue faire tinter son verre contre le sien avant de commencer à boire, sans relever combien le vin avait été bien choisi. La façon dont elle le consommait il y a peu avait eu l’avantage de faire de Greta une véritable connaisseuse. « Oui, Cesar. C’est… une longue histoire. Je t’avais raconté qu’il avait débarqué chez moi à l’improviste et qu’il était tombé sur Reid. Et que j’étais ensuite allée le voir pour l’engueuler et lui dire de se tenir loin de moi, qu’on était finis. Ce qui était inutile au final parce que Cesar n’est pas tombé sur Reid mais sur Mason, mon coloc. Bref, une grosse confusion. » Son front s’était plissé alors que Greta commençait déjà à avoir des difficultés à suivre, elle avait agité les mains devant elle. « Attends, attends… » avait-elle commencé. « Pourquoi il a débarqué à l’improviste ? » Greta s’assurait de posséder tous les détails car il était évident qu’elle devrait émettre son jugement à la fin de la discussion et elle était loin d’être une fan de ce garçon après ses déboires sur instagram. « Avant de partir il m’a fait un monologue sur le fait que je n’en avais rien à faire de Reid et que je m’acharnais juste à le remplacer avec une relation pansement. J’étais vexée, mais il avait raison. Et penser à un autre homme quand tu es au lit est une très mauvaise idée, j’ai failli sortir le mauvais nom. » Elle avait éclaté de rire, Emery réussissant à entretenir le suspens et à dédramatiser la situation avec une pointe d’humour. « J’ai fini par me rendre à l’évidence et j’ai quitté Reid. J’ai vraiment bien fait. Tu aurais vu sa réaction, il m’a vraiment fait peur. Ça a été une parfaite excuse pour demander à Cesar de rester avec moi à la maison durant les jours qui ont suivis. » La conclusion lui semblait un peu rapide, Reid était un sale type et elle pouvait l’entendre, cependant, cela ne justifiait pas de retomber dans les bras d’un garçon lui ayant fait du mal par le passé. « Et le fait que Cesar se place en chevalier servant suffit comme raison pour te remettre avec ? » avait-elle demandé, pour s’assurer qu’Emery avait définitivement tiré un trait sur ses blessures du passé. « Ca s’est passé quand tout ça ? Tu penses qu’il a changé ? » Et l’ironie de ses questions n’allait pas tarder à lui revenir en pleine figure. « A toi. Qu’est-ce que tu me caches ? » Elle avait fourré un maki avocat dans sa bouche, qu’elle avait mâché longuement avant de reprendre une gorgée de vin et de décider de se lancer, réalisant qu’elle n’échapperait pas aux confidences elle non plus. « J’étais invitée au mariage de Swann, tu sais. Et tu sais aussi qu’Arthur était invité. » Elle scrutait les réactions d’Emery pour s’assurer qu’elle réussissait à suivre, se trouvant elle-même parfois un peu perdue dans les explications de son amie. « Ok. Eh bah j’ai trouvé que c’était une bonne idée de proposer à Lucas d’être mon +1. » Et son sarcasme était extrêmement appuyé maintenant qu’elle savait où l’avait menée le dénouement. « Je lui ai dit les choses clairement, mais je culpabilse quand même. Et on a eu une discussion à laquelle j’étais pas préparée.» Elle avait marqué une pause. « Et me retrouver à deux doigts d’embrasser Arthur, j’étais pas préparée non plus. » Emery s’était presque étouffée en buvant son vin alors elle s’était empressée d’ajouter. « Swann nous a interrompus, ça va. » La vérité, c’est que, justement, plus rien n’allait depuis ce moment-là et elle n’avait pas encore évoqué la visite d’Arthur pour discuter de leur passé, elle préférait d’abord jauger la réaction d’une Emery qui ne connaissait que trop bien les conséquences de son ancienne relation.
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Emery Dawson
les faux-semblants
ÂGE : 26 ans (08/01) SURNOM : em' en règle générale, mery christmas durant les fêtes STATUT : en couple avec cesar depuis juin 2023, pas de grosse catastrophe à recenser pour le moment. MÉTIER : vendeuse au sexshop l'aphrodite, en voie de racheter le sexshop concurrent. mannequin en dèche de contrats pour payer son loyer. LOGEMENT : squatter la coloc de cesar avec ses trois cochons d'inde a été un chaos inouï. elle a donc trouvé refuge... chez belle-maman. POSTS : 1045 POINTS : 0
TW IN RP : troubles alimentaires, drogues, sexualisation GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : obsédée par son apparence, déformation professionnelle ≈ vit une vie de rêve selon son instagram ≈ bricoleuse talentueuse ≈ oiseau matinal ≈ court, boxe, use les bancs de la salle de sport ≈ bénévole auprès de patients atteints d'alzheimer ≈ végétarienne ≈ son passif dans le mannequinat l'a amenée à coucher, poser pour des magazines érotiques et consommer de la drogue ≈ chantonne en permanence ≈ aspire à se marier à un bon parti pour arrêter de se soucier de la vie ≈ possède trois cochons d'inde : hobbs, eugene et ultra.RPs EN COURS :
Why'd I always circle back, hallucinate about my past. It's the way it is try not show it hlf as much and you know this. Someone else's pure bliss cause deep down I'm still I'm calling. Nowadays it's how it is I guess. No need to regret no room to get jealous of grand schemes whatever that means you never lost
Emery ne savait pas sur qui elle lorgnait le plus entre les sushis, le vin, ou Greta. Elle avait vraiment eu hâte de cette soirée, encore plus depuis qu’elle avait passé le pas de la porte. Le loft, quand Cramine n’y était pas du moins, lui donnait des airs de refuge. Mais pour le moment elle était vraiment affamée et après ses diètes sans le moindre écart pour rentrer dans toutes les tenues qu’on lui passerait à Weatherton, l’idée d’un cheat meal lui semblait juste incroyable. Ce qui ne l’empêcha pas de s’offusquer en réalisant que son appétit n’était pas passé inaperçu. « J’ai encore des manières, enfin. » Son ton était monté dans les aigus pour mieux jouer la comédie. Ça ne dura que quelques secondes avant qu’elle prenne une gorgée de vin et se penche sur le plateau pour attraper une paire de baguettes et fondre sur le premier pauvre sushi qui était à sa proximité. Parfait pour accompagner son résumé express de ces derniers mois, et globalement de comment elle avait enfin décidé qu’elle avait fini de faire sa teigne. Elle ne s’était pas trop embarrassée des détails, sachant que certains étaient moins glorieux que d’autres. Elle pouvait voir le front de la blonde se froncer au fur et à mesure qu’elle parlait, jusqu’à glisser enfin une question de contexte. Sans doute importante, en effet. « Ah euh, il voulait discuter du fait que je l’avais précipitamment mis dehors le matin, parce que Reid devait venir. Il s’est senti utilisé, ce qui n’était pas trop loin de la vérité. » Ce n’était pas glorieux du tout, il fallait l’admettre. Le faire ramer pour mieux le repousser, lui faire de faux espoirs, le faire venir jusqu’à chez elle pour au final être cruelle et lui dire ne plus jamais vouloir le revoir. Elle avait été la pire des peau de vache. S’ils devaient compter les points, elle était sans doute celle qui devait se faire pardonner plutôt que l’inverse. Heureusement, Cesar avait accepté de juste tout laisser derrière eux, de juste reprendre à zéro. Et pour l’instant, les choses se passaient vraiment bien. Il n’y avait pas un matin où elle s’était réveillée en regrettant d’avoir quitté Reid, encore moins après son élan de colère à leur rupture. Il avait montré son vrai visage, ce dont il était capable, et la mannequin se retrouvait à prier pour ne plus jamais le recroiser de sa vie. Sa décision de partir était prise bien avant cet incident, et bien avant que Cesar lui-même ne le sache. « Non, même sans ça. On était bien ensemble. » Et pourtant elle n’avait eu de cesse de lui répéter qu’elle ne voulait rien officialiser. Un cirque de longue durée, tout cela pour finir en couple. « C’était fin juin. Me regarde pas comme ça, je sais qu’on s’est pas vu depuis une éternité. Et ce n’est pas tant qu’il a changé. » Il allait mieux, semblait enfin avoir repris pied. Em ne pouvait pas le blâmer d’avoir été aussi violemment atteint par la mort de sa petite sœur, mais il avait atteint un stade où elle ne savait plus quoi faire pour l’aider, pas avec la trahison qui planait dans leurs esprits. Elle n’était plus si agacée à revoir la vidéo, seulement appréhensive d’admettre à ses amis qu’elle avait fini par pardonner. « Son seul tort a été d’embrasser une meuf durant une soirée parce qu’il était complètement défoncé. Une connasse lui en voulait et a fait exprès de le pousser à la consommation. En retour, je lui en ai fait baver pendant des mois. Je veux dire, vraiment baver. » Elle pouvait se montrer un tantinet rancunière quand elle pensait être dans son bon droit. Cela l’arrangea donc bien de mieux se réinstaller dans le canapé pour écouter les histoires de G, plutôt. Même si elle dût engloutir et mâchonner un sushi pour ne pas cacher son agacement à entendre parler de Arthur. Encore. « Oui… ? » Un mariage, Greta et Arthur. Ça ne pouvait pas bien se terminer comme affaire, et prétendre avoir l’air détaché lui demanda toute l’énergie du monde. « Et aux dernières nouvelles on aime Lucas, non ? » Pourquoi est-ce qu’elle ne pouvait pas choisir le gars sympa, respectueux, qui la traiterait bien ? Non, il fallait qu’elle aille vers le mauvais choix de première. Et alors oui, ils avaient parlé, s’étaient dit les choses… Cette fois-ci, c’était plonger le nez dans le vin ou lever les yeux au ciel tellement fort qu’elle pourrait en observer son cerveau. Mauvaise, très mauvaise idée. Elle aurait dû savoir qu’il y aurait un dérapage. La gorgée de vin passa difficilement, provoquant un petit toussotement. « T’avais bu combien de verres, au juste ? » Le ton de l’humour, l’arme facile. Swann les avait interrompus cette fois, mais le problème avec G était qu’elle avait l’air de ne jamais apprendre de ses erreurs. Jamais. Em finit par soupirer, déposer son verre et plonger son regard dans celui de son amie, un air plus sérieux sur le visage. « G. Les élans de nostalgie, c’est normal. Mais si t’as envie de t’envoyer en l’air, installe Tinder. Ça t’a déjà fait trop de mal cette histoire avec Arthur. Pourquoi tu y retournes ? » Il était bon au lit mais pas non plus hors du commun. « Tu mérites vraiment mieux que lui et toutes les belles paroles qu’il pourra te sortir pour revenir dans tes draps. » Parce que ce type était un beau parleur, un fin acteur pour arriver à ses fins. La Dawson n’avait pas à s’en mêler, mais elle avait déjà commencé, avait même poussé le jeu trop loin. « Pitié, me sors pas l’excuse du ‘il a changé’. » Parce que Em savait de source sûre (aka sa propre expérience) que ce n’était pas le cas.
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Greta Moore
le porte-plume
ÂGE : 35 (18.02) SURNOM : G. STATUT : and i know that it’s wrong that i can’t move on but there’s something about you MÉTIER : romancière wannabe, elle s'est essayée à la biographie et ça a plutôt bien fonctionné. LOGEMENT : Spring Hill #17 POSTS : 2735 POINTS : 240
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Emery #5 • Lost and insecure, you found me, you found me. Lyin' on the floor surrounded, surrounded, just a little late, you found me, you found me
Si Greta avait toujours su se contenter de la présence de son frère qui se plaçait comme son premier confident, lorsqu’elle avait quitté Londres, les choses avaient changé et ses réflexes aussi. Alors, petit à petit, c’était vers des amis sincères qu’elle s’était tournée pour remplacer les appels en visio qui étaient beaucoup moins personnels. La preuve en était, accueillir Emery, physiquement, lui avait rendu le sourire presque instantanément. Un verre de vin servi rapidement et elles avaient pris place sur le canapé sans que Greta ne s’encombre de banalités, elle voulait entrer dans le vif du sujet. « J’ai encore des manières, enfin. » Greta avait levé les yeux au ciel, elle avait vu Emery dans des états peu glorieux à Londres lorsqu’elle ne l’appréciait pas, et encore pire ici et elle n’avait pas besoin d’être autre chose qu’elle-même avec l’écrivaine. Alors elle la laissait se confier sur son propre couple, qui était au moins aussi chaotique que sa vie en ce moment. « Ah euh, il voulait discuter du fait que je l’avais précipitamment mis dehors le matin, parce que Reid devait venir. Il s’est senti utilisé, ce qui n’était pas trop loin de la vérité. » Greta avait bu une gorgée de vin avant de reposer son verre pour fixer la blonde dans les yeux. « Pauvre chaton. » avait-elle dit avec une moue faussement triste. Mais Cesar était-il réellement tout rose dans cette histoire ? L’image qu’elle avait de lui n’était clairement pas la meilleure. « Non, même sans ça. On était bien ensemble. » Un sourire s’était dessiné sur son visage en écoutant Emery sonner comme une fleur bleue, un trait de caractère qui lui était normalement réservé. « C’était fin juin. Me regarde pas comme ça, je sais qu’on s’est pas vu depuis une éternité. Et ce n’est pas tant qu’il a changé. » Greta haussait les sourcils, désireuse de connaître la suite. « Son seul tort a été d’embrasser une meuf durant une soirée parce qu’il était complètement défoncé. Une connasse lui en voulait et a fait exprès de le pousser à la consommation. En retour, je lui en ai fait baver pendant des mois. Je veux dire, vraiment baver. » Greta n’avait pas pu s’empêcher de rire, ne doutant pas de la capacité d’Emery à pouvoir pourrir la vie de quelqu’un. Mais de son point de vue, ce Cesar l’avait mérité. « Mais quel genre de meuf brise un couple pour se venger, sérieux ? » avait-elle demandé avant d’attraper le téléphone d’Emery pour regarder de plus près la photo de son fond d’écran. « Vraiment trop mignons, par contre, Cesar, c’est quoi ce nom ? » avait-elle demandé avant de reprendre son sérieux. « Si t’es sûre de toi, profite. Mais s’il fait un pas de travers, je lui casse la gueule. »
Et puis le sujet avait dévié pour en venir à elle et il y avait des similitudes entre ce que venait de lui confier Emery et ce qu’elle avait à dire. « Oui… ? » avait-elle répondu pour confirmer se souvenir que Greta se rendait au mariage de Swann, avec Lucas à son bras alors qu’elle savait qu’Arthur était présent. Elle avait été honnête avec lui mais elle regrettait toujours amèrement son geste. « Et aux dernières nouvelles on aime Lucas, non ? » Elle ne pouvait pas réellement tout dire à son sujet, son addiction aux anti-douleurs, sa descente aux enfers, tout ce qui avait mené à une dispute qui avait mis à l’arrêt les sentiments naissants de Greta. « Ouais. » Elle avait répondu brièvement, pour se laisser le temps de repenser à tout ça. A tout ce qui avait été dit le jour du mariage, alors qu’elle avait choisi d’être totalement honnête, annonçant le chaud et le froid. « J’ai eu l’impression de retomber amoureuse, mais on s’est disputés et je sais pas, j’ai vu un autre visage de lui. » Un Lucas extrêmement impulsif qui était à fleur de peau. Elle n’avait pas compris qu’il vivait une expérience traumatisante parce qu’il ne l’en avait informée que sur le tard mais entre temps, à côté de ses sentiments brisés, son ex avait ressurgi dans sa vie. « Et j’ai pas envie de lui mentir ni de me mentir à moi même. Avec Arthur dans les parages et tout ce que ça remue, je serai incapable d’entamer une relation. Bad timing, hin ? » avait-elle dit pour tenter d’ajouter un soupçon d’humour dans une discussion qui n’en méritait absolument pas. Greta était confuse, elle ne réussissait pas réellement elle-même à suivre le flot de ses pensées et de ses sentiments. « T’avais bu combien de verres, au juste ? » Bien trop pour quelqu’un qui tenter de se sevrer après avoir abusé de la boisson au point de faire un black out qui l’aurait mise en danger si Lucas n’avait pas été là, mais elle passerait sur ce moment peu glorieux en se contentant de rire à la remarque d’Emery. « G. Les élans de nostalgie, c’est normal. Mais si t’as envie de t’envoyer en l’air, installe Tinder. Ça t’a déjà fait trop de mal cette histoire avec Arthur. Pourquoi tu y retournes ? » Greta avait levé les yeux au ciel avant de se venger sur un sushi, tout aurait été bien plus simple si son histoire avec Arthur se basait exclusivement sur le sexe. « Tu mérites vraiment mieux que lui et toutes les belles paroles qu’il pourra te sortir pour revenir dans tes draps. » Et une pointe d’agacement naissait doucement en elle, parce qu’elle avait trop souvent toléré qu’Arthur soit rabaissé par tout son entourage, parce qu’elle avait un temps apprécié de le voir devenir le méchant de l’histoire. Maintenant qu’elle avait eu des explications, elle avait bien plus de mal à accepter des accusations infondées et des attaques incessantes à son sujet. « Pitié, me sors pas l’excuse du ‘il a changé’. » Elle s’était tournée vers elle en grimaçant et en levant les mains en l’air parce qu’elle avait effectivement anticipé la réponse que Greta allait lui donner. « Je vais être honnête avec toi, y’a que deux personnes qui le connaissent réellement, Swann et moi. Et j’en ai parlé avec lui, l’excuse du il a changé semble se vérifier. Le truc c’est qu’il a même pas besoin de changer, il m’a fait souffrir en partant, pas en étant lui-même. » Emery n’était pas présente lorsqu’ils étaient ensemble parce qu’elle aurait sinon pu voir combien tout cela était sincère même si elle savait qu’il était difficile de l’imaginer. Même pour ceux qui l’avaient vécu, la réaction de Greta face au départ précipité d’Arthur qui n’avait laissé aucune explications suffisait à le désigner comme le coupable idéal. « J’étais persuadée pendant tout ce temps qu’il était le méchant de l’histoire et même comme ça j’ai jamais réussi à vraiment me le sortir de la peau et en parlant avec lui je me suis rendue compte que j’ai pas mal foiré moi aussi. » Ignorer sa détresse parfois, comme elle l’avait fait avec Lucas, et continuer à le presser concernant l’avenir. « Mais voilà y avait l’alcool, la musique, c’était un mariage, on a failli déraper mais ça ne veut rien dire. » avait-elle conclu en posant son regard sur le mur en face d’elle, tentant de comprendre si cette affirmation était un soulagement ou non.
just know this too shall pass
losin' your mind in the mirror like you have to, screamin' in your car in the driveway, spinnin' out, think your life's going sideways. sleep is so thin outta habit, hard to tell the real from the dreams you imagine. nights when one broken glass turns to total collapse just know this too shall pass.-byendlesslove
Emery Dawson
les faux-semblants
ÂGE : 26 ans (08/01) SURNOM : em' en règle générale, mery christmas durant les fêtes STATUT : en couple avec cesar depuis juin 2023, pas de grosse catastrophe à recenser pour le moment. MÉTIER : vendeuse au sexshop l'aphrodite, en voie de racheter le sexshop concurrent. mannequin en dèche de contrats pour payer son loyer. LOGEMENT : squatter la coloc de cesar avec ses trois cochons d'inde a été un chaos inouï. elle a donc trouvé refuge... chez belle-maman. POSTS : 1045 POINTS : 0
TW IN RP : troubles alimentaires, drogues, sexualisation GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : obsédée par son apparence, déformation professionnelle ≈ vit une vie de rêve selon son instagram ≈ bricoleuse talentueuse ≈ oiseau matinal ≈ court, boxe, use les bancs de la salle de sport ≈ bénévole auprès de patients atteints d'alzheimer ≈ végétarienne ≈ son passif dans le mannequinat l'a amenée à coucher, poser pour des magazines érotiques et consommer de la drogue ≈ chantonne en permanence ≈ aspire à se marier à un bon parti pour arrêter de se soucier de la vie ≈ possède trois cochons d'inde : hobbs, eugene et ultra.RPs EN COURS :
Why'd I always circle back, hallucinate about my past. It's the way it is try not show it hlf as much and you know this. Someone else's pure bliss cause deep down I'm still I'm calling. Nowadays it's how it is I guess. No need to regret no room to get jealous of grand schemes whatever that means you never lost
Si Emery était souvent entourée, il y avait en réalité bien peu de personnes dans sa vie à qui elle pourrait parler d’absolument tout. Notamment du peu glorieux, en fait. Greta faisait partie de ces gens. Avec l’anglaise, cela ne rimait plus à rien de sauver les apparences. La blonde l’avait vue dans tous les états possibles et imaginables, avait déjà eu vent des sales coups qu’elle avait pu faire pour arriver à ses fins. Malgré tout, elle avait accepté d’être là, elles étaient devenues proches en parfaite connaissance de cause. Alors la Dawson ne se contenterait pas du superficiel en parlant de Cesar et du fait qu’elle avait mis de sacrés efforts à lui faire payer son seul écart. Si elle creusait encore un peu, la mannequin aurait sans doute bien des histoires à raconter sur tous les stratagèmes mis en place pour entretenir l’espoir et empêcher le mexicain de passer à autre chose. Elle était partie dans de sacrés extrêmes de jeux de manipulation pour avoir toute son attention et maintenant qu’elle avait repris ses esprits, elle pouvait admettre ne pas être très fière. C’était d’autant plus répréhensible qu’elle savait pertinemment que son petit-ami ne reparlerait jamais de toutes ses réactions disproportionnées, trop heureux que ce soit enfin derrière eux. Pour sa défense, elle n’avait jamais voulu le chasser de la maison. Ce n’était pas le plan initial, elle avait réellement oublié que Reid devait passer… Mais elle pouvait comprendre pourquoi cela avait été la goutte qui avait fait déborder le vase dans leur rupture bancale. Si l’on faisait le compte des torts, la balance s’était clairement inversée ce jour-là. Em secoua la tête en faisant les gros yeux. Elle n’était toujours pas certaine d’avoir fait la lumière sur le trio Murphy, Carl et Cesar. Elle n’avait que des suppositions dans lesquelles l’artiste était perdant à chaque fois. Et même si la blonde n’avait jamais cessé de le défendre, ce n’était pas pour autant qu’elle ne lui avait pas fait payer. « M’en parle pas. Je n’ai toujours pas compris d’où venait le problème. Je pense que la meuf a voulu prendre la défense d’un type avec qui Cesar est en conflits parce que c’est un stalker creepy ? Quelque chose comme ça. J’ai voulu la confronter, elle avait un flingue chez elle… » Em était encore hallucinée juste à y repenser. « Et le type en question est venu au sex-shop, je lui ai fait un sale coup. Regarde. » Elle sortit son téléphone pour scroller dans sa galerie photos jusqu’à tomber sur le screen de la vidéo qu’elle avait pris durant les essayages de boxer. On pouvait clairement voir Carl et son superbe boxer ouvert sur les fesses. « Bon, de toute évidence, j’ai rien fait de cette photo. Je veux pas d’ennuis, et je sais que ça fait de moi la tarée de l’histoire. » Elle eut un léger rire coupable, mais pas gêné pour autant. Elle était salement rancunière et si Murphy avait encore été dans le décor, la vidéo aurait été une arme de choix. Elle ferma la galerie et Greta lui prit le téléphone pour regarder le fond d’écran ; une photo de Cesar et elle prise il y a quelques jours. Elle éclata de rire au commentaire sur le nom du jeune homme. « T’es dure, G. Il est mexicain, il faut le dire avec l’accent pour que ce soit plus sexy. Cesar Gutiérrez. » Elle avait sorti son meilleur accent espagnol pour assurer un résultat optimal. « C’est gentil mais t’en fais pas pour moi. S’il me refait un sale coup du genre, je lui ferai personnellement regretter d’être né. » c’était dit avec l’air le plus angélique du monde pour camoufler le fait qu’elle ne supporterait pas une autre trahison et ne risquerait clairement pas de se comporter comme une adulte en retour.
Mais c’était assez parlé de Cesar quand G avait aussi des ragots d’histoires sur le feu. Si Em avait été ravie d’entendre parler de Lucas, l’air sur le visage de la Sighbury en disait long sur ce qu’elle en pensait. Il n’y avait rien d’honnête dans sa réaction, il n’y avait pas cette lueur pour illuminer son regard. Quelque chose avait sérieusement dérapé entre eux deux et la Dawson arbora un air un peu plus sérieux. Elle ferait tout ce qui était en son pouvoir pour tenir Greta et Arthur éloignés l’un de l’autre mais d’un autre côté, elle savait ce que c’était quand la personne avec qui on était se mettait soudainement à exhiber une facette que l’on ne reconnaissait pas. Cela suffisait à provoquer une vague de doutes et de désillusions dont il était parfois difficile, pour ne pas dire impossible de se remettre. « Et ça a brisé le charme, hein ? » Em avait eu le même effet avec Reid quand celui-ci avait commencé à se montrer trop pressant, demandeur et possessif. La différence étant que la mannequin n'avait pas joué la carte de celle qui ne veut pas faire dans les relations. Non, elle s’était lancée. Et elle ne parvenait pas à croire que G s’abstiendrait de tout ça. Si Lucas n’avait plus ses chances à cause d’Arthur, c’était que le choix de la blonde était déjà fait. « Tu veux pas entamer de relation, ou tu ne veux juste pas en avoir une avec Lucas ? » Qu’elle ait sorti l’excuse au pompier était une chose, mais il était inutile de lui mentir à elle. Et juste ainsi, Emery savait qu’elles arrivaient sur un terrain miné. Elle avait des choses à se reprocher et avait sincèrement espéré que les informations n’auraient jamais à ressortir. Arthur n’était pas bon pour Greta, il ne fallait pas être un génie pour le voir. Et certes, l’auteure était grande et pouvait prendre ses propres décisions. Mais elles étaient amies et de ce fait, la perspective de laisser l’anglais la blesser une nouvelle fois semblait juste inenvisageable. Que ce soit pour un plan cul, pour des confessions nocturnes sur l’oreiller ou pour entendre des belles paroles, ce ne serait vraiment pas difficile de trouver quelqu’un d’autre à essayer. La nostalgie d’une relation déjà morte et enterrée ne justifiait pas d’y replonger à pieds joints. La mannequin pouvait sentir l’agacement et la frustration grimper d’un cran et elle se pencha sur la table basse pour attraper un sushi et détourner le regard plutôt que de laisser filtrer combien elle était irritée elle aussi de la tournure de la discussion. Il lui fallut mâcher très lentement et digérer avec quelques gorgées de vin pour ne pas lever les yeux au ciel en soupirant. C’était la carte que G allait jouer maintenant ? Celle du pauvre jeune homme incompris du monde entier, celui qui a toujours de bons arguments pour justifier ce qu’il fait de travers. Ce serait hypocrite de la part d’Em de blâmer le départ du Coventry quand elle avait un historique long comme le bras de fois où elle s’était tirée sans dire au revoir. Mais c’était vraiment la dernière chose sur la liste de tout ce qui faisait qu’il ne méritait pas Greta. « Ca ne veut rien dire. » répéta-t-elle simplement sans en croire le moindre mot. La Dawson était prête à parier que si Arthur lui demandait de rappliquer, là tout de suite, elle irait en courant. « T’as raison, je le connais pas aussi bien que toi. Et je ne sais pas ce qu’il s’est passé entre vous, qui a tort ou qui a raison. » Elles ne se fréquentaient pas vraiment à l’époque. Quoiqu’il en soit, la jeune femme venait de s’incriminer. Elle soupira, reposa son verre sur la table basse -non sans l’avoir terminé avant-, sachant pertinemment qu’il y avait des chances pour qu’elle soit sommée de partir de ce loft sous peu. « Ok, cartes sur table. » Elle se pinça les lèvres, en cherchant ses mots, comme s’il y avait quelque chose à sauver. Elle ne pourrait pas jeter Arthur sous les roues sans qu’il ne l’entraîne dans sa chute de toute façon, alors autant être honnête. « Moi j’ai l’image d’un Arthur qui se retourne sur la première nana qui passe, qui se poudre le nez et qui ne sait pas s’arrêter à un seul verre. C’est son terrain de jeux, c’est ce qui lui plaît. » Parce que c’était fun, elle ne pouvait pas le blâmer. « Il peut prétendre qu’il a changé, c’est pas le cas. » Elle n’avait pas eu besoin de l’encourager longtemps. Des yeux doux, deux corps qui se frottent, des promesses en l’air, et le tour était joué. « Il t’a blessée en partant ? C’est presque tant mieux. Il vaut mieux ça que te blesser parce qu’il est ce qu’il est. C’est-à-dire pas un type fiable. » Emery était incapable de croire qu’il puisse être fidèle, aimant, et assez solide pour se lancer dans un quelconque engagement sur le long-terme. « Je suis désolée G, je sais que j’aurais déjà dû te dire qu’on avait un passif, lui et moi. Je voulais pas te blesser. Mais vous voir vous rapprocher à nouveau… ça me plaît pas. Tu t’en sortiras pas indemne, et je peux juste pas attendre sans rien dire ou faire que tu fonces dans le mur. » Elle avait dépassé les limites, peut-être. Mais c’était avec de bonnes intentions.
How many times do I have to learn my lesson, before I learn my lesson ? No, somebody help me, please tell me that I'm dreaming. I keep repeating my actions expecting different reactions but the same thing keeps on happening • sheepirl.
Greta Moore
le porte-plume
ÂGE : 35 (18.02) SURNOM : G. STATUT : and i know that it’s wrong that i can’t move on but there’s something about you MÉTIER : romancière wannabe, elle s'est essayée à la biographie et ça a plutôt bien fonctionné. LOGEMENT : Spring Hill #17 POSTS : 2735 POINTS : 240
TW IN RP : alcool, drogue, age gap TW IRL : n/aGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : made in England • being rich doesn't make you happier • drama queen pouring wine after the smallest inconvenienceDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : lightseagreen RPs EN COURS : [08/08]
Mallen #7 • we just friends, just friends. when you say my name so casual, touch my hand, i stop and play it cool like i'm not into you
Moventry #15#16 • i've been holding on to hope that you'll come back when you can find some peace, 'cause every word that i've heard spoken since you left feels like an hollow street. i've been told, i've been told to get you off my mind but i hope i never lose the bruises that you left behind.
Emery #5 • Lost and insecure, you found me, you found me. Lyin' on the floor surrounded, surrounded, just a little late, you found me, you found me
Il fallait atteindre un certain niveau d’amitié pour pouvoir parler de tout, se confier sur ses propres failles et ne pas essayer d’édulcorer une vérité qui aurait pu déranger. Être sincère même si cela pouvait nuire à son image demandait beaucoup de confiance en soi et en son interlocuteur et il y avait quelque chose de touchant à voir Emery ne pas hésiter une seconde à raconter l’histoire telle qu’elle était. Sans filtre, sans essayer de se faire passer pour une victime en mettant tout sur le dos de Cesar. « M’en parle pas. Je n’ai toujours pas compris d’où venait le problème. Je pense que la meuf a voulu prendre la défense d’un type avec qui Cesar est en conflit parce que c’est un stalker creepy ? Quelque chose comme ça. J’ai voulu la confronter, elle avait un flingue chez elle… » Les sourcils de la blonde s’étaient arqués à l’entente de cette dernière information, elle était toujours surprise de la capacité qu’avait Emery à se mettre dans des histoires toujours plus improbables les unes que les autres. Greta tenait assez à elle pour s’apprêter à lui demander de faire attention, l’histoire de l’arme l’ayant fait frissonner, mais déjà Emery brandissait son téléphone pour venir illustrer ses propos suivants. « Et le type en question est venu au sex-shop, je lui ai fait un sale coup. Regarde. » Posant sa main autour du téléphone pour mieux regarder, la blonde n’avait pu se retenir de rire alors même qu’elle s’inquiétait de savoir Emery aussi fourbe. « Bon, de toute évidence, j’ai rien fait de cette photo. Je veux pas d’ennuis, et je sais que ça fait de moi la tarée de l’histoire. » « Ouais là je dois avouer que tu me fais presque peur mais j’imagine qu’il l’avait cherché ? » avait-elle répondu en exagérant une grimace, signalant à la mannequin combien il lui était difficile de commenter l’ensemble de ses actions. A la place, elle s’était à nouveau attardée sur Cesar, espérant qu’une relation stable puisse remettre son amie dans le droit chemin. « T’es dure, G. Il est mexicain, il faut le dire avec l’accent pour que ce soit plus sexy. Cesar Gutiérrez. » La blonde avait décidé d’avaler un sushi au pire des moments et elle avait écarquillé les yeux avant de les tourner vers Emery. « Manquerait plus que ce soit le fils de Sergio… » avait-elle finalement dit en continuant à manger, se disant que la coïncidence ne pouvait pas être aussi énorme et qu’il était improbable qu’Emery sorte avec le fils de Sergio Gutiérrez. « C’est gentil mais t’en fais pas pour moi. S’il me refait un sale coup du genre, je lui ferai personnellement regretter d’être né. » Et sur ça, elle n’avait absolument aucun doute.
Greta n’aurait jamais pensé en arriver là, elle avait été habituée pendant toutes ces années à être celle qui devait supporter un cœur brisé et qui avait été délaissée. Devenir celle qui avait dû parler à coeur ouvert pour venir mettre un terme à une relation qui n’avait même jamais eu le temps de réellement exister lui laissait un goût amer. Il y avait énormément d’arguments qui entraient en jeu, le plus évident d’entre eux ayant pris la forme d’un anglais charismatique en costume, mais la blonde n’écartait absolument pas sa part de responsabilité. « Et ça a brisé le charme, hein ? » Elle avait baissé la tête, l’excuse de la dispute et d’un Lucas impulsif ne tenait pas debout et elles le savaient toutes les deux. « Tu veux pas entamer de relation, ou tu ne veux juste pas en avoir une avec Lucas ? » « C’est un tout en fait, il y a eu notre dispute et il y a eu le retour de mon ex. Je suis la première à avoir l’impression d’être dans un mauvais film, mais je pouvais pas continuer et risquer que l’un de nous deux soit blessé à la fin. » Tout ce qu’elle disait semblait extrêmement cliché. Mais malgré la difficulté de se regarder dans un miroir alors même qu’elle avait été entièrement honnête avec Lucas, Greta restait convaincue qu’il s’agissait de la meilleure décision qu’elle n’ait jamais prise parce qu’elle aurait été définitivement incapable de vivre avec elle-même si elle avait fait souffrir le pompier. Ils avaient chacun leurs problèmes, Greta savait qu’elle n’était pas elle-même lorsqu’Arthur était dans les parages et il valait mieux pour tout le monde qu’elle continue à soutenir Lucas seulement en tant qu’amie. Il avait besoin d’être entouré, et à la façon dont il avait réagi à l'annonce de la fin de sa carrière de pompier, elle craignait que rajouter l’échec d’une relation et la perte d’une amie chère en parallèle soit un fardeau bien trop lourd à porter. « Être honnête avec lui c’est le pire truc que j’ai eu à faire depuis longtemps, parce que je m’attendais à ce qu’il me dise qu’il y avait rien de réciproque et qu’on passe à autre chose. Mais ça a été tout l’inverse. » Les mots de Lucas résonnaient encore dans son esprit mais si elle détestait la façon dont les choses s’étaient passées, elle ne pouvait pas nier à quel point le retour d’Arthur avait tout chamboulé. « Et il a suffi que je passe un moment en tête à tête avec Arthur pour qu’on manque de s’embrasser, je déteste penser au genre de fille que j’aurais été si j’avais pas eu cette discussion avec Lucas juste avant. Je savais comment ça finirait, fallait que je sois honnête avec lui mais aussi avec moi-même. » Et tout ce qu’elle était en train de dire était plutôt une façon pour elle de se justifier que de réelles explications pour Emery qui, elle le savait, ne prendrait jamais le partie d’un homme qui avait tant blessé Greta. Et sa dernière justification, qui était de confirmer qu’il ne se passerait plus rien entre eux malgré ce qu’elle venait de raconter, n’avait pas non plus été bien accueillie. « Ca ne veut rien dire. » Pinçant ses lèvres, la blonde avait tourné la tête de droite à gauche pour confirmer avant de poursuivre, rappelant à Emery qu’elle jugeait sans connaître. « T’as raison, je le connais pas aussi bien que toi. Et je ne sais pas ce qu’il s’est passé entre vous, qui a tort ou qui a raison. » Le problème était de toute façon plus profond, il n’y avait ni gentil ni méchant, ni gagnant ni vainqueur, et c’était ce dont elle avait pris conscience depuis leur dernière discussion. « Ok, cartes sur table. » Il était difficile de comprendre d’où venait cette soudaine hésitation d’Emery qui n’avait normalement aucun problème à dire tout haut ce qu’elle pensait et cela rendait Greta légèrement nerveuse. « Moi j’ai l’image d’un Arthur qui se retourne sur la première nana qui passe, qui se poudre le nez et qui ne sait pas s’arrêter à un seul verre. C’est son terrain de jeux, c’est ce qui lui plaît. » La réputation d’Arthur lui collait à la peau et ce même à des milliers de kilomètres de Londres. Pourtant, si Greta avait évoqué son ex à plusieurs reprises lors de ses nombreuses discussions avec Emery, elle ne se souvenait pas d’avoir dressé un portrait aussi précis et elle cherchait à comprendre comment la mannequin pouvait aussi bien le connaître - malgré la façon dont elle tentait de redorer l’image du garçon dans son esprit, elle ne pouvait nier les pires penchants de sa personnalité. « Il peut prétendre qu’il a changé, c’est pas le cas. » Greta avait posé son verre pour se tourner vers Emery qui semblait étrangement sûre d’elle. « Il t’a blessée en partant ? C’est presque tant mieux. Il vaut mieux ça que te blesser parce qu’il est ce qu’il est. C’est-à-dire pas un type fiable. » Une nouvelle fois, Greta avait grimacé, cherchant à comprendre à quel moment il lui était devenu désagréable d’entendre des critiques sur l’anglais. « Il l’a toujours été avec moi. J'veux dire, oui il est parti, mais peu importe pourquoi il l’a fait, il l’a fait avant d’être pas fiable comme tu dis. » Arthur ne l’avait jamais trompée et considérant son passé sulfureux, cela relevait de l’exploit. C’était un point non négligeable, quelque chose qui venait souligner que cette connexion entre eux n’était pas à sens unique. « Je suis désolée G, je sais que j’aurais déjà dû te dire qu’on avait un passif, lui et moi. Je voulais pas te blesser. Mais vous voir vous rapprocher à nouveau… ça me plaît pas. Tu t’en sortiras pas indemne, et je peux juste pas attendre sans rien dire ou faire que tu fonces dans le mur. » Cette fois-ci, Greta s’était totalement tournée vers Emery pour sonder chaque expression de son visage et la fixer dans les yeux. « Un passif ? T’entends quoi par un passif ? » avait-elle commencé ne cherchant même pas à dissimuler l’agacement dans sa voix et c’était ce sentiment naissant dans sa poitrine qui lui faisait prendre conscience de l’impact qu’il avait encore sur elle. « Tu m’as jamais dit que tu le connaissais ? » Et en un instant, tout ce qu’elle connaissait d’Emery était en train de refaire surface pour lui exploser en plein visage, elle s’attendait à tout, pouvant anticiper le pire et elle avait extrêmement peur de ce qui allait suivre. Si Emery le connaissait, alors elle devenait un peu plus légitime à avoir un avis sur lui mais tout portait à croire que ce qui allait suivre n’allait pas lui plaire du tout. « Emery qu’est ce que t’as fait … » avait-elle demandé en voyant l’intégralité du visage de la mannequin changer d’expression et ses mains chercher à s’occuper comme elles le pouvaient. De son côté, l’écrivaine tenait son verre si fort entre ses doigts qu’il risquait de se briser, jonglant avec la peur de ce qu’Emery savait sur Arthur et la réalisation de la place qu’il occupait encore dans son esprit.
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Emery Dawson
les faux-semblants
ÂGE : 26 ans (08/01) SURNOM : em' en règle générale, mery christmas durant les fêtes STATUT : en couple avec cesar depuis juin 2023, pas de grosse catastrophe à recenser pour le moment. MÉTIER : vendeuse au sexshop l'aphrodite, en voie de racheter le sexshop concurrent. mannequin en dèche de contrats pour payer son loyer. LOGEMENT : squatter la coloc de cesar avec ses trois cochons d'inde a été un chaos inouï. elle a donc trouvé refuge... chez belle-maman. POSTS : 1045 POINTS : 0
TW IN RP : troubles alimentaires, drogues, sexualisation GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : obsédée par son apparence, déformation professionnelle ≈ vit une vie de rêve selon son instagram ≈ bricoleuse talentueuse ≈ oiseau matinal ≈ court, boxe, use les bancs de la salle de sport ≈ bénévole auprès de patients atteints d'alzheimer ≈ végétarienne ≈ son passif dans le mannequinat l'a amenée à coucher, poser pour des magazines érotiques et consommer de la drogue ≈ chantonne en permanence ≈ aspire à se marier à un bon parti pour arrêter de se soucier de la vie ≈ possède trois cochons d'inde : hobbs, eugene et ultra.RPs EN COURS :
Why'd I always circle back, hallucinate about my past. It's the way it is try not show it hlf as much and you know this. Someone else's pure bliss cause deep down I'm still I'm calling. Nowadays it's how it is I guess. No need to regret no room to get jealous of grand schemes whatever that means you never lost
Emery avait cette sale manie de vivre intensément, de toujours se lancer dans les extrêmes. Il fallait que tout dans sa vie prenne une ampleur monumentale quand cela n’avait pas lieu d’être. Greta le savait et c’était presque amusant de la voir continuer de hausser les sourcils quand la Dawson racontait les dernières frasques de son existence. On aurait pu croire qu’à force, elle aurait l’habitude. Quoiqu’il en soit, même si la mannequin était revancharde, elle était soulagée que ces histoires autour de Cesar soient derrière elle. C’était drôle au début mais ensuite, cela l’avait juste polluée jusqu’à lui faire péter les plombs. « Il l’avait totalement cherché. Et j’étais vraiment très remontée. » Il y avait plus de peur que de mal. A moins qu’on ne lui donne des raisons de le faire, elle ne retoucherait plus à ces photos et vidéos. Carl était sauf, confortablement installé dans l’ignorance de la menace qui pourrait lui pendre au nez. Le pire était sans doute que même si cela serait suffisant pour l’embarrasser, ce ne serait clairement pas aussi fatal que les stories du nouvel an. Tout était bien qui finissait bien, elle était enfin heureuse dans son couple, et ils pouvaient se prêter à toutes les activités niaises qui allaient avec sans devoir se soucier du reste. Quand cela touchait au Gutiérrez, Em s’attendait juste à devoir affronter les moments bizarres avec Diego, et entendre inlassablement parler de leur famille dysfonctionnelle. La réaction de G au nom complet de Cesar la frappa de plein fouet, et à son tour, ses yeux s’arrondirent sous la surprise. « Oh putain. » Sergio. Évidemment. C’était facile de connaître son nom quand Cesar avait tant à redire sur lui. Comment est-ce qu’elle avait pu passer à côté ? « J’avais jamais fait le lien mais… oh merde. » L’évidence était tellement flagrante que la blondinette se sentait bête. Bête, et franchement horrifiée maintenant. « Le père de mon copain est ton agent. » Elle ne l’avait jamais rencontré encore. Cela n’avait jamais été une urgence et pour la première fois peut-être, elle se sentait curieuse. « Si tu savais tout ce que j’ai entendu sur son compte… Je suis désolée que tu doives te le blairer. » Il avait l’air d’être un horrible père, un horrible agent, un horrible homme tout court. A vitesse grand V, la Dawson essayait de se remémorer toutes les histoires entendues sur son compte et la conclusion était tout sauf glorieuse. C’était encore plus horrifiant en réalisant qu’aucun des deux partis ne devait vraiment réaliser à quel point il était pourri. En tout cas, il l’était bien assez pour rendre la vie difficile à Greta. Même si dans ce domaine, elle avait l’air tout aussi douée pour s’auto-saboter. Son verre de vin à la main, Em écoutait attentivement les histoires de cœur de l’écrivaine, tentant d’y trouver un quelconque sens. Elle pouvait se targuer de bien connaître la Moore mais même cette dernière semblait à côté de la plaque sur ses propres histoires. Même si Em soutenait pleinement l’idylle avec le pompier, personne ne méritait de jouer son cœur en péril quand les jeux étaient déjà faits. « C’était la meilleure décision à prendre j’imagine. Certaines histoires ne sont pas faites pour fonctionner. » C’était dommage. Mais elle pouvait comprendre et compatissait. Briser le cœur d’une personne à qui l’on tenait était tout aussi dur que de subir le cœur brisé, parfois. Il n’y avait pas non plus beaucoup de films pour prendre le parti de la personne qui devait assumer de piétiner le cœur de l’autre. Le sourire contrit sur le visage d’Em en disait long sur son empathie sur tout ce bazar. « Trop tard pour éviter les blessés à la fin, hein ? » Les relations n’étaient jamais juste là-dessus. Il y avait toujours ce déséquilibre, cette personne qui s’attachait plus que l’autre. Personne n’était vraiment fautif dans l’histoire, même si la solidarité d’Em fondit comme neige au soleil en réalisant que ce désastre était une histoire à trois : Greta, Lucas et Arthur. « La question ne se pose pas vraiment, tu as tout fait dans les règles. Tu as été honnête jusqu’à franchement admettre préférer Arthur à Lucas ? » Pas auprès du pompier, mais auprès d’elle-même. Em n’arrivait pas à croire à cette responsabilité de la femme instable qui doit se concentrer sur elle-même. Elle avait cette désagréable sensation qu’à la première occasion, G se jetterait dans les bras de son ex sans y réfléchir à deux fois, en dépit de tout bon sens. La mannequin aurait voulu ne pas en arriver là. Elle avait tenu sa langue aussi longtemps que possible, taisant volontairement son lien avec le Coventry. Mais elle était incapable de laisser son amie foncer dans le mur quand encore quelques semaines plus tôt, Emery avait pu constater qu’il n’avait absolument pas changé. Il n’y avait pas d’histoires d’avant et après. Surtout que, de ce que la Sighbury racontait, alors il était juste devenu pire. « Mais c’était il y a une éternité, G. Les gens changent, les vies défilent, et tu récupères jamais aucune histoire là où tu l’as laissée. » Il ne l’avait pas sagement attendue, il n’avait pas oublié de vivre sa vie. G était coincée avec une image du jeune homme qui ne pouvait pas être plus éloignée de la réalité. Et maintenant, Em s’était incriminée. Elle se tut, pesant intérieurement les mots qui sortiraient de sa bouche alors que ses doigts faisaient nerveusement tourner le verre de vin. Elle aurait dû boire un peu plus avant d’en arriver là. « Je pensais pas que son nom reviendrait dans la discussion. » C’était honnête. Elle l’avait présenté comme un coup d’un soir initialement, alors pourquoi est-ce que la blonde aurait mis leur amitié en péril pour une partie de jambes en l’air ? Ce qu’elle avait fait en revanche était une tout autre histoire. Une qui n’allait pas dans son sens si elle en révélait tous les détails. Elle avait fait ce qu’on appellerait communément un coup de pute, mais cela partait vraiment d’une bonne intention. « Je n’étais pas au courant de votre histoire à l’époque. Tu peux pas m’en vouloir pour le passé. Surtout que ça ne voulait rien dire. » Ce n’était pas comme si leur passif était amoureux, bien au contraire. C’était difficilement plus opposé. Ils avaient juste trouvé quelques arrangements dans le sexe et les contacts du monde friqué. Mais si elle voulait justifier son comportement, parler du passé ne suffirait pas. Alors elle passa à table. « Je l’ai revu récemment, par contre. A une soirée. Il a cumulé les femmes, l’alcool, et la poudre. Alors vous êtes peut-être pas ensemble, mais ça m’étonnerait franchement qu’il passe ses soirées chez lui à se torturer l’esprit en pensant à toi comme tu le fais. » Elle ne lui dirait pas qu’elle l’y avait attendu, qu’elle avait été l’instigatrice de ses travers, qu’elle l’avait manipulé jusqu’à ce qu’il n’ait d’autres choix que de tomber dans le piège. « Je veux juste pas que tu souffres encore à cause d’un homme. » C’était tout ce qu’il y avait à retenir au final.
How many times do I have to learn my lesson, before I learn my lesson ? No, somebody help me, please tell me that I'm dreaming. I keep repeating my actions expecting different reactions but the same thing keeps on happening • sheepirl.
Greta Moore
le porte-plume
ÂGE : 35 (18.02) SURNOM : G. STATUT : and i know that it’s wrong that i can’t move on but there’s something about you MÉTIER : romancière wannabe, elle s'est essayée à la biographie et ça a plutôt bien fonctionné. LOGEMENT : Spring Hill #17 POSTS : 2735 POINTS : 240
TW IN RP : alcool, drogue, age gap TW IRL : n/aGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : made in England • being rich doesn't make you happier • drama queen pouring wine after the smallest inconvenienceDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : lightseagreen RPs EN COURS : [08/08]
Mallen #7 • we just friends, just friends. when you say my name so casual, touch my hand, i stop and play it cool like i'm not into you
Moventry #15#16 • i've been holding on to hope that you'll come back when you can find some peace, 'cause every word that i've heard spoken since you left feels like an hollow street. i've been told, i've been told to get you off my mind but i hope i never lose the bruises that you left behind.
Emery #5 • Lost and insecure, you found me, you found me. Lyin' on the floor surrounded, surrounded, just a little late, you found me, you found me
Dans d’autres circonstances, Greta aurait probablement pris le parti de l’autre clan, pas celui d’Emery qui bénéficiait cependant de toute la tendresse dont l’anglaise faisait preuve à son égard. C’était tant mieux, parce que cela lui évitait des jugements qui auraient été probablement bien plus importants si elles n’étaient pas devenues amies. « Il l’avait totalement cherché. Et j’étais vraiment très remontée. » Greta avait éclaté de rire, comme si le simple fait d’être énervée justifiait de pareils actes. Pour calmer sa rage, Emery décidait de prendre des vidéos sans le consentement des autres, ce qui lui aurait probablement valu un passage en justice si tout cela était allé plus loin. « Ouais, personnellement quand je suis énervée au mieux je hausse le ton, au pire je pleure. Chacun son truc, espèce de folle ! » Elles pouvaient en rire maintenant que tout cela était réglé et qu’Emery pouvait enfin profiter d’une relation stable. A bien y regarder, il était vrai que quelque chose avait changé sur le visage de son amie et en le réalisant, Greta avait souri avant de plaisanter sur le prénom de ce fameux petit-ami. « Oh putain. » Son sourcil s’était arqué. « J’avais jamais fait le lien mais… oh merde. » Il était évidemment impossible que ce qu’elle avait manifesté haut et fort soit en train de réellement devenir réalité. « Le père de mon copain est ton agent. » « Oh merde. » avait-elle répété, changeant simplement du juron utilisé par Emery. « Si tu savais tout ce que j’ai entendu sur son compte… Je suis désolée que tu doives te le blairer. » Cette fois-ci, la curiosité de Greta avait été piquée au vif et elle était curieuse de savoir ce qu’il se disait sur Sergio le père, comparé à ce qu’elle savait déjà à propos de Sergio le businessman. « Il est aussi mauvais père que mauvais agent ? Incroyable. » Il n’était pas nécessaire de déjà évoquer avec Emery combien elle souhaitait lui nuire autant qu’il lui avait nui, alors elle avait ajouté encore une information à la discussion. « Ecoute, je te souhaite que son fils soit un aussi bon coup que son père. » avait-elle avoué en finissant sa phrase en ouvrant la bouche sur ses dents serrées. « Attends, tu viens de me raconter tout et n’importe quoi alors me juge pas parce que je me suis tapée un daddy, d’accord ? »
Le premier sujet était déjà assez houleux et pourtant, la discussion avait inévitablement pris le chemin de la vie amoureuse de l’écrivaine. Elle était chaotique et c’est justement parce qu’elle l'était que cela nécessitait une conversation. « C’était la meilleure décision à prendre j’imagine. Certaines histoires ne sont pas faites pour fonctionner. » Greta avait adressé un sourire à Emery avant de boire une gorgée de vin, un breuvage qu’elle savait pourtant extrêmement dangereux pour elle qui y trouvait un côté extrêmement addictif. Mais plutôt que de trouver refuge dans l’alcool, c’était les mots d’Emery qui l’apaisaient parce que c’était la première fois qu’on lui confirmait que c’était la bonne décision. « Trop tard pour éviter les blessés à la fin, hein ? » Elle avait reposé son verre, avait mangé un sushi, puis avait poussé un long soupir. « Effectivement. » Et la première blessée c’était elle, finalement, qui portrait cette désagréable sensation d’avoir perdu un ami au profit d’une relation qui n’aurait probablement pas d’autre titre qu’un flirt. Elle en était consciente, mais elle était également consciente de son incapacité à résister à l’anglais, alors elle avait dû trancher. « La question ne se pose pas vraiment, tu as tout fait dans les règles. Tu as été honnête jusqu’à franchement admettre préférer Arthur à Lucas ? » Ce n’était même pas une question de préférence, à choisir, Lucas remportait haut la main le concours. Mais il y avait quelque chose chez Arthur qui la rendait bien trop faible pour résister et ce sentiment couplé à une certaine nostalgie d’une histoire inachevée était une combinaison qui aurait eu pour effet de détruire le pompier. « C’est plus compliqué que ça. Je sais que je suis plus vraiment moi-même quand je suis avec Arthur, et j’ai cette impression que se retrouver là à des kilomètres de Londres c’est pas du hasard. Comme si on avait un truc à terminer. » Pour se taire, elle avait de nouveau avalé un sushi parce qu’elle n’imaginait que trop bien comment le principal intéressé recevrait de pareilles révélations. « Après j’en fais peut être toute une histoire pour pas grand chose, ça se trouve Lucas m’a juste dit que c’était réciproque pour pas que je sois ridicule. » C’était une éventualité, parce que malgré l’alchimie qui avait régné entre eux, elle avait encore du mal à réaliser qu’ils aient pu être sur la même longueur d’onde sans jamais réussir à s’avouer quoi que ce soit. Jusqu’à ce moment-là, qui était le plus mal choisi possible.
« Mais c’était il y a une éternité, G. Les gens changent, les vies défilent, et tu récupères jamais aucune histoire là où tu l’as laissée. » Sa nostalgie n’était que cela, elle le savait, que ce sentiment serait probablement très vite remplacée par une réalité qui n’avait plus rien à voir avec le passé mais elle devait en être persuadée. « Je pensais pas que son nom reviendrait dans la discussion. » Et d’une discussion entre amies autour d’un verre de vin ou Greta avait imaginé se libérer d’un poids, elles étaient arrivées à une énième révélation qui ne plaisait pas à la blonde. Pas du tout. « Je n’étais pas au courant de votre histoire à l’époque. Tu peux pas m’en vouloir pour le passé. Surtout que ça ne voulait rien dire. » En un instant, le regard que portrait Greta sur Emery avait changé et elle avait posé son verre de vin au risque qu’il ne se brise entre ses doigts. En une fraction de seconde, la poupée blonde qu’elle chérissait tant était redevenue l’image qu’elle renvoyait à Londres. Une image que Greta avait mis des années et bien des discussions à réussir à chasser. Alors qu’elle cherchait une réponse qu’elle réussirait à offrir autrement qu’en hurlant, Emery avait repris. « Je l’ai revu récemment, par contre. A une soirée. Il a cumulé les femmes, l’alcool, et la poudre. Alors vous êtes peut-être pas ensemble, mais ça m’étonnerait franchement qu’il passe ses soirées chez lui à se torturer l’esprit en pensant à toi comme tu le fais. » Son rire n’était ni sincère, ni moqueur, il témoignait seulement de la sidération qui était la sienne. « Comment ça tu l’as revu ? Par hasard ? » Oh comme sa question sonnait idiote après que les pupilles d’Emery se soient transformées en deux yeux similaires à ceux d’un chiot réclamant une friandise. « Je veux juste pas que tu souffres encore à cause d’un homme. » « Mais putain Emery qu’est ce que tu me fais ? T’es sérieuse ? En deux secondes tu m’apprends que t’as couché avec Arthur, mon Arthur, que tu l'as revu et après t’as le culot de me dire que tu veux pas que je souffre ? » Elle s’était levée, avait pris son visage dans ses mains pour tenter de calmer la fureur qui naissait en elle. Elle n’était pas jalouse de nature, l’étant devenue auprès d’un Arthur dont elle connaissait le passé sulfureux et les charmes, l’étant devenue au fur et à mesure où il était devenu capital à ses yeux. Et en un instant, ces sentiments là avaient refait surface. « Tu crois vraiment que t’es en train de m’apprendre un truc ? Tu crois que je sais pas qu’il baise tout ce qui bouge et qu’il a des soucis avec la coke ? » Ces mots étaient difficiles à prononcer, mais ils reflettaient une vérité avec laquelle elle avait accepté de vivre. Il ne lui devait rien, ce n’était que l’évocation de la drogue qui la mettait dans cet état parce qu’elle pensait, à tort, qu’il avait réussi à s’en sortir aussi facilement. « Tu m’apprends rien à son sujet, mais putain te concernant je tombe de tellement haut. T’es là à m’écouter parler de mon ex alors que tu te l’es tapé. Et puis vous avez fait quoi ce soir-là ? Et je te jure que si tu me dis pas la vérité… » Des menaces à lui faire, il y en avait un tas, mais elle ne franchirait pas cette étape avant de comprendre si elle avait fait plus que le voir.
just know this too shall pass
losin' your mind in the mirror like you have to, screamin' in your car in the driveway, spinnin' out, think your life's going sideways. sleep is so thin outta habit, hard to tell the real from the dreams you imagine. nights when one broken glass turns to total collapse just know this too shall pass.-byendlesslove
Emery Dawson
les faux-semblants
ÂGE : 26 ans (08/01) SURNOM : em' en règle générale, mery christmas durant les fêtes STATUT : en couple avec cesar depuis juin 2023, pas de grosse catastrophe à recenser pour le moment. MÉTIER : vendeuse au sexshop l'aphrodite, en voie de racheter le sexshop concurrent. mannequin en dèche de contrats pour payer son loyer. LOGEMENT : squatter la coloc de cesar avec ses trois cochons d'inde a été un chaos inouï. elle a donc trouvé refuge... chez belle-maman. POSTS : 1045 POINTS : 0
TW IN RP : troubles alimentaires, drogues, sexualisation GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : obsédée par son apparence, déformation professionnelle ≈ vit une vie de rêve selon son instagram ≈ bricoleuse talentueuse ≈ oiseau matinal ≈ court, boxe, use les bancs de la salle de sport ≈ bénévole auprès de patients atteints d'alzheimer ≈ végétarienne ≈ son passif dans le mannequinat l'a amenée à coucher, poser pour des magazines érotiques et consommer de la drogue ≈ chantonne en permanence ≈ aspire à se marier à un bon parti pour arrêter de se soucier de la vie ≈ possède trois cochons d'inde : hobbs, eugene et ultra.RPs EN COURS :
Why'd I always circle back, hallucinate about my past. It's the way it is try not show it hlf as much and you know this. Someone else's pure bliss cause deep down I'm still I'm calling. Nowadays it's how it is I guess. No need to regret no room to get jealous of grand schemes whatever that means you never lost
Maintenant que le sujet était abordé, Emery se demandait comment elle avait pu passer à côté d’une telle évidence. Son esprit avait tellement détaché les histoires de son amie de celles de son copain que jamais la blondinette n’aurait songé à chercher les points communs. Cela semblait évident maintenant, au vu du point commun le plus sensible : le personnage était décrit comme le pire humain qui soit, d’un côté ou de l’autre. La Dawson se sentait quelque peu mal à l’aise à l’idée de partager des histoires qui ne lui appartenaient pas, mais sa grimace laissa parfaitement filtrer ce qu’elle pensait de Sergio. « Je sais pas là où il est le plus terrible. » S’il s’était accroché à sa famille comme il s’accrochait à G, le monde s’en porterait certainement bien mieux. Mais il n’avait pas l’air de faire le moindre choix qui ne lui bénéficiait pas directement, après tout. Quoiqu’il en soit, l’aveu de la Moore manqua de faire s’étouffer Em qui lui fit les gros yeux, légitimement choquée. « Greta ! » Pas étonnant que Sergio lui coure après s’ils avaient eu une liaison. La mannequin avait un million de questions, de potentielles remontrances, mais opta pour les garder. Quoiqu’il se soit passé, c’était certainement révolu. Si l’auteure acceptait de ramener à nouveau l’agent dans son lit, ce serait probablement une ruse maléfique pour le tuer dans son sommeil ou quelque chose comme ça. Qui plus est, ce serait hypocrite de la part de la Dawson d’user d’un ton moralisateur quand elle avait son lot d’histoires peu glorieuses, y compris parmi les Gutiérrez. « J’ai juste testé le frère aîné de Cesar. Mais le daron, vraiment ? » A elles deux, elles avaient déjà de quoi faire un bon débrief. Elle secoua la tête avec cet air dramatique sur le visage. Il fallait vraiment qu’elle cesse d’être surprise de quoique ce soit avec son amie. Elle marqua quelques secondes de silence avant de glisser un léger « Ceci dit… je comprends. » qui se solda sur un rire. Le personnage était odieux. Mais pour un daron, il était franchement séduisant. Si Cesar avait cette allure dans trente ans, elle serait veinarde. Malheureusement, si l’histoire révoltante de cette liaison avait un côté amusant, la réalité de l’état des relations de G l’était beaucoup moins. Em sentait qu’elles s’avançaient sur un terrain houleux et elle commençait déjà à se mettre à marcher sur des œufs. Elle ne voulait pas de problèmes, et elle n’essaierait jamais de convaincre son amie à se lancer dans une relation vouée à l’échec. Mais elle ne prendrait pas non plus la défense d’Arthur. Cela devenait difficile d’expliquer pourquoi elle voyait cette flamme ravivée d’un mauvais œil sans donner les vraies raisons. Cela la poussa à peser très précautionneusement ses mots, tentant d’être rationnelle quand tous les propos de Greta lui donnaient envie de la prendre par les épaules pour la secouer. « Je sais pas trop quoi te dire. C’est jamais très positif quand tu te perds dans une relation. Surtout que t’as pas l’air de vouloir terminer quoique ce soit. » Em le voyait venir gros comme une maison. Ce ne serait jamais un chapitre clôturé mais des mirages d’une nouvelle chance, des œillères pour ne pas voir tous les problèmes. Il y avait des millions d’hommes rien que dans ce pays, elle aurait juste à lever le petit doigt pour trouver quelqu’un. Alors pourquoi opter pour foncer dans le mur ? Peut-être que Lucas l’avait échappé belle, finalement. Tout plutôt que de réaliser un peu trop tard qu’il n’était que le second choix. « Il a l’air gentil alors il aurait été capable de faire ça pour te sauver de l’embarras. Malheureusement, je crois que le pauvre garçon est vraiment sous le charme. » Elle mettrait sa main à parier qu’il ne serait pas celui qui passerait facilement à autre chose. Vint un moment où la mannequin n’eut plus d’autre choix que celui d’être honnête. En surface du moins, et avec une réticence visiblement palpable. Elle aurait espéré avoir droit au bénéfice du doute mais elle sentait la colère grimper chez G, écrasant toute chance de rationalité. Emery savait qu’elle n’avait pas le droit au moindre faux pas maintenant, au risque que cela ne lui retombe violemment dessus. Mais elle ne pouvait pas laisser son amie penser que Arthur avait une quelconque importance à ses yeux. Ce n’était pas le cas. Aussi, elle opta pour la forme de vérité qui l’incriminait le moins. « Pas vraiment. Enfin, je me doutais qu’il serait là, mais je le cherchais pas activement. » Ce serait difficile de prouver qu’elle n’était venue que pour lui, ou que l’embûche était planifiée. Ça, la blonde comptait bien le nier de toutes ses forces. « G, c’était y a longtemps et ça voulait rien dire. Ça valait vraiment pas la peine d’en parler. » Quel bien cela leur aurait fait ? Si Arthur n’était pas revenu d’entre les morts, jamais l’esprit d’Em n’y aurait ne serait-ce que repensé. Elle avait vraiment autre chose à faire aujourd’hui. Sauf que cet argument, l’anglaise semblait refuser de l’entendre, forçant la Dawson à se mettre sur la défensive. « J’ai pas couché avec si c’est ce que tu veux savoir. Quant à ce qu’il a fait… je t’apprends visiblement rien. » Ce qu’elle avait fait durant cette soirée était tordu, mais ça partait d’une bonne intention. Elle n’arrivait pas à croire qu’elle ait pris cette route dangereuse pour qu’au final, Greta soit si consciente de la réalité. C’était aussi décevant qu’aberrant. « Me parle pas comme si j’étais le problème ici. Est-ce que tu t’entends ? Tu sais que ce type a une chiée de vices, qu’il risque de te faire souffrir, et tu lui cherches quand même des excuses pour mieux retourner avec. » Elle en avait marre de prendre des pincettes et la Moore la connaissait assez pour savoir qu’elle n’était pas celle qui tenait sa langue. « Qu’est-ce que tu cherches ? T’as envie de servir de paillasson ? T’as un soudain syndrome du sauveur ? Une crise de la trentaine ? Merde G, reprends toi ! » Le ton était monté d’un cran dans une tentative désespérée de faire réaliser qu’elle n’était pas à blâmer pour être inquiète de la tournure des événements. « Ces histoires, ça termine jamais bien. Mais je peux pas t’empêcher de foncer dans le mur. Si tu décides de jouer à ça en connaissance de cause… » Elle termina son verre et le posa sur la table basse, quelque chose lui disant qu’elle risquait de bientôt être amenée à quitter cet appartement. Si G n’était pas prête à entendre ces vérités, c’était elle le problème. « Peut-être que Lucas s’en sort bien, finalement. » Le coup n’était pas nécessaire mais lui échappa, instillant un regret quasi immédiat.
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« Je sais pas là où il est le plus terrible. » Greta n’aurait eu aucune difficulté à énumérer les nombreux défauts de Sergio, et voir que même sa belle fille - même si le terme était peut-être un peu ambitieux - semblait réticente à son sujet ne l’étonnait pas. Alors, poussée par l’élan d’une Emery qui s’était déjà fait une idée sur lui, la blonde avait lancé sa bombe. « Greta ! » s’était-elle exclamée à l’annonce, son coup de coude manquant de renverser le contenu de son verre. « J’ai juste testé le frère aîné de Cesar. Mais le daron, vraiment ? » « Des frères ?! Ca a l’air d’être une sacrée famille, ces Gutiérrez. » Difficile de savoir ce qui l’étonnait le plus entre l’idée que son amie ait osé passer d’un frère à l’autre ou le fait qu’elle-même ait couché avec le beau-père de la mannequin. Cette discussion venait de les dépasser et devant toutes ces confidences, Greta avait choisi d’éclater de rire et d’en profiter le temps que cela durait avant de retrouver son verre pour en prendre une gorgée bien méritée. « Ceci dit… je comprends. » Greta avait levé les paumes de la main en réponse à la conclusion de son amie, ravie que celle-ci comprenne pourquoi, à l’époque, elle avait pu flancher. Elle regrettait comment tout cela s’était soldé, mais certainement pas l’acte en lui-même.
Greta avait le sentiment de pouvoir être honnête et c’était l’avantage de se confier à quelqu’un qui la connaissait aussi bien. En peu de temps, certes, mais cette relation avec Emery avait l’avantage d’avoir mal débuté ce qui permettait aux filles de ne pas avoir besoin de filtre. Elles avaient appris à s’apprécier après s’être longuement jugées et cela évitait de mettre de côté leurs traits négatifs, parce que Greta ne cherchait pas à ce que son entourage valide tous ses choix et ses actions. La blonde avait besoin de sans cesse se remettre en question pour avancer. « Je sais pas trop quoi te dire. C’est jamais très positif quand tu te perds dans une relation. Surtout que t’as pas l’air de vouloir terminer quoique ce soit. » Effectivement, parce que par terminer ce qu’ils avaient commencé, Greta entendait reprendre les choses là où ils les avaient laissées pour tenter que justement tout cela n’ait plus de point final. C’était une ambition enfouie au plus profond d’elle, qu’elle n’avait choisi de dévoiler qu’à Emery parce qu’elle s’imaginait qu’elle pouvait le faire en sécurité. Et la jeune femme avait raison sur l’idée de se perdre dans une relation comme étant négatif, pourtant, si Greta avait le sentiment de ne plus savoir fonctionner correctement auprès de l’anglais, cela ne voulait pas dire qu’elle avait renoncé à qui elle était avec lui. Pour ce qui était de l’après, en revanche, les choses s’étaient compliquées. Et elles ne cessaient de s’envenimer d’avantage, comme elle l’avait expliqué. « Il a l’air gentil alors il aurait été capable de faire ça pour te sauver de l’embarras. Malheureusement, je crois que le pauvre garçon est vraiment sous le charme. » Greta avait posé ses mains sur son visage en lançant un soupir de détresse. « Pourquoi maintenant ? » La question était rhétorique et ne trouverait jamais réponse.
Malgré son besoin d’être entourée de personnes vraies, il y avait cependant une chose sur laquelle Greta ne se remettrait probablement jamais en question, ou plutôt refuserait toujours qu’on émette un jugement et c’était sa relation avec Arthur. « Pas vraiment. Enfin, je me doutais qu’il serait là, mais je le cherchais pas activement. » Elle avait encore osé espérer que cela n’était qu’une affreuse coïncidence. « G, c’était y a longtemps et ça voulait rien dire. Ça valait vraiment pas la peine d’en parler. » Oh que si, cela valait totalement la peine d’en parler. « Mais je m’en fous de quand ça a eu lieu, ça aurait pas dû arriver si t’étais réellement mon amie. » Et ce titre lui avait été retiré en quelques minutes seulement. Greta ne voyait plus l’innocente Emery aux rêves qui la poussaient parfois à mal agir, elle voyait seulement la gamine capricieuse qui s’accordait tous les droits et ce peu importe les conséquences. Etre un dommage collatéral de ce bon temps qu’elle avait pris n’était pas une position que Greta appréciait, cela touchait à Arthur et, surtout, cela touchait à son égo. « J’ai pas couché avec si c’est ce que tu veux savoir. Quant à ce qu’il a fait… je t’apprends visiblement rien. » Tel un chat qui joue avec la souris qu’il s’apprête à manger, Emery s’était probablement contentée de s’amuser et l’idée la révulsait. « Wow, ta dévotion m’épate, merci, j’imagine que vous n’avez fait que discuter alors ? » Elle voyait dans ses yeux la façon dont elle revivait les images de ce moment-là et elle faisait les cent pas pour se retenir de réagir trop spontanément, en vain.
Elle avait littéralement explosé. « Me parle pas comme si j’étais le problème ici. Est-ce que tu t’entends ? Tu sais que ce type a une chiée de vices, qu’il risque de te faire souffrir, et tu lui cherches quand même des excuses pour mieux retourner avec. » Croisant les bras alors qu’elle se décidait enfin à stopper son errance dans le loft et à faire face à Emery, seul son visage contrarié avait servi de réponse. « Qu’est-ce que tu cherches ? T’as envie de servir de paillasson ? T’as un soudain syndrome du sauveur ? Une crise de la trentaine ? Merde G, reprends toi ! » A ce moment précis, elle cherchait simplement la volonté de résister à cette gifle qu’elle sentait brûler le bout de ses doigts. « Ces histoires, ça termine jamais bien. Mais je peux pas t’empêcher de foncer dans le mur. Si tu décides de jouer à ça en connaissance de cause… » La mannequin semblait étrangement calme, terminant son verre comme si la discussion était restée la même depuis le début. « Peut-être que Lucas s’en sort bien, finalement. » Mais elle avait joué sa dernière carte au moment où Greta s’y attendait le moins et avait terminé de venir briser ce que l’anglaise avait toujours pris pour une amitié solide. « Tu sais Em’, si t’avais des trucs à me dire fallait pas hésiter, fallait pas attendre que ça se finisse comme ça. » Elle avait l’affreuse impression que tout cela n’était qu’un prétexte à déverser ce qu’elle n’avait jamais eu l’opportunité de lui dire. « Parce que moi j’ai toutes les raisons d’être énervée et de te balancer des trucs à la gueule maintenant que je sais que tu t’es approchée d’Arthur. Mais toi, c’est quoi ton excuse pour être une telle garce ? » Greta savait exactement où frapper pour que cela la blesse, mais rien ne pourrait jamais égaler ce sentiment de trahison qu’elle ressentait actuellement. Un sentiment qui se couplait bien mal à la désagréable sensation qui s’était également emparée d’elle, une jalousie profonde qui lui faisait réaliser à quel point Arthur s’était de nouveau immiscé à une place très haute dans son esprit. Ce n’était pas ce qu’elle voulait, elle était effrayée et elle ne pouvait plus compter sur Emery pour en discuter : elle s'était déjà fait sa propre idée et avait agi en conséquence. « Parce que parler des agissements d’Arthur pour couvrir les tiens fera pas de toi une personne meilleure. Tu parles de lui parce que tu croyais peut-être le connaître après qu’il t’ait joué le grand jeu pour te sauter ? Tu seras jamais à la cheville de ce type, quoique t’en dise. » Et coucher avec Arthur n’était pas la porte d’entrée pour l’élite, beaucoup de femmes avaient tenté, Emery n’était pas la première, et elles étaient toutes très vite retombées du piédestal sur lequel il avait feint de les hisser. Et jamais la blonde n’avait semblé aussi pathétique à ses yeux. « Et dire que j’allais te laisser me donner des conseils, je suis presque aussi pathétique que toi. » Elle regrettait déjà certains de ses mots mais qu’importe, Emery avait dépassé certaines limites et avait touché à une corde bien trop sensible pour que Greta réussisse à se contrôler.
just know this too shall pass
losin' your mind in the mirror like you have to, screamin' in your car in the driveway, spinnin' out, think your life's going sideways. sleep is so thin outta habit, hard to tell the real from the dreams you imagine. nights when one broken glass turns to total collapse just know this too shall pass.-byendlesslove