ÂGE : 39 ans (04/01/1985) SURNOM : eli, simple et efficace STATUT : cœur autrefois brisé, désormais jalousement gardé, mais dont l’armure ne cesse de se craqueler face à une adorable petite souris MÉTIER : architecte au sein du walker group, et chargé du cours de recherche en environnement et durabilité à la faculté d'architecture de l'université du queensland. LOGEMENT : un penthouse lumineux à spring hill, qu’il partage avec son chat siamois zelda et ses deux nouvelles recrues félines, safflina et drogon - ou plutôt dans lequel il est autorisé à rester tant qu’il n’oublie pas de remplir leur gamelle POSTS : 2695 POINTS : 0
TW IN RP : ex-toxicomanie GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : né à Brisbane, il a sillonné les plus belles régions du globe une fois sa majorité atteinte puis s’est installé à New York avant de revenir dans la ville qui l’a vu grandir fin 2021 ✵ aîné de la fratrie Walker ✵ architecte depuis plus de dix ans, il excelle dans son travail ✵ un passé riche d’excès en tous genres, le seul vice ayant persisté au travers des années étant la cigarette ✵ (trop) honnête, il préfère une vérité blessante à un mensonge confortable ✵ très sociable, doué avec les mots et le sourire facile, sa façade s’effondre lorsque l'interaction devient trop réelleCODE COULEUR : eli se pavane en #00B464 RPs EN COURS :
WALKER ✵ we don't talk much, not anymore. broken bottles and slammin' doors, but we still care about each other, say we care about each other. i know life took us far away, but I still dream 'bout the good old days. when we took care of each other, we were livin' for each other.
ELIORA ✵ gimme what you got - your talk is incredible, so, so, so unusual. you taste like surfing videos. i'm going to read your mind, who you hiding? you fake your shyness, i just wish that i could see through you... hot glue, vape juice, hit undo, how the hell are you so cool?
Il n'était pas rare pour Eli d’assister à des événements, congrès et autres salons, en rapport avec son métier d’architecte. S’il avait toujours abhorré, sans pour autant oser se plaindre trop fort, les mondanités auxquelles ses parents avaient eu coutume de l'entraîner dès son plus jeune âge et au sein desquelles l'attention qu'on pouvait lui porter n’avait jamais réellement été à son goût, Eli, homme vaniteux qu’il pouvait être derrière ses apparitions qu'il s'efforçait de garder humbles, adorait être sous le feu des projecteurs dans des contextes qui mettaient à l’honneur ses talents professionnels plutôt que son rang social. À l’aise comme un poisson dans l’eau, il se délectait alors de l'attention accordée à ses travaux, savourait les compliments qui ne tardaient jamais bien longtemps à franchir les lèvres de ses interlocuteurs et adorait répondre aux questions même les plus pointues qui lui étaient adressées. Son ego confortablement installé et son impressionnante confiance en lui lui assuraient de profiter sans compromis de ces événements, sans avoir à se soucier du moindre trac ou de l'ombre d’un doute tant il était rompu à l’exercice. En l'absence d’incertitude relative à ses compétences, Eli n'avait plus qu’à se régaler de la gratification inhérente à ce genre d'événements – et si cela se suffisait amplement en matière de réconfort, les avantages supplémentaires qu'apportaient avec eux ces rassemblements n'étaient certainement pas négligeables. Car il ne s’agissait finalement que de grands événements publicitaires pour celui qui se plaisait certes à arpenter les lieux pour admirer ou critiquer le travail de la concurrence, mais qui profitait avant tout de l’occasion pour séduire les potentiels clients curieux, tant par son sourire et son parler que par l'excellence de ses travaux. Les propositions à l’issue, voire au cours des salons où il exposait le fruit de son travail étaient devenues monnaie courante, et lui offraient une gratification supplémentaire.
Il n'était donc pas surprenant de retrouver un emplacement au nom d'Eli dans ce salon d'architecture organisé en plein cœur de Brisbane. Le Walker Group était une entreprise systématiquement représentée à l'événement, pourtant, il s’agissait d’une première pour Eli depuis son retour sur sa terre natale – l'année dernière, il était accaparé malgré lui, en l'attente de la fin de la convalescence de son petit frère, par les responsabilités de ce dernier à la tête de l'empire familial, et celle qui précédait, il peinait encore à se dépêtrer de ses nombreux cartons de déménagement fraîchement arrivés de New York, où il venait de mettre fin à un exode de vingt ans. Ainsi, malgré le retour immédiat du fils prodigue dans l’entreprise qui portait son nom dès lors qu'il eût regagné Brisbane, ce furent uniquement les autres architectes du Walker Group qui avaient bénéficié de l’opportunité de venir exposer leurs meilleurs projets à ce prestigieux événement. Cette année, l'héritier n'avait voulu manquer l’opportunité sous aucun prétexte, et s'était assuré une place au sein du salon sitôt que les discussions à ce sujet avaient démarré au sein de l'entreprise. Et maintenant qu'était arrivé le grand jour, il rayonnait littéralement en sillonnant les lieux avec cette excitation difficilement contenable qui le caractérisait lorsqu'il était dans son élément, proche de l’effervescence. Avec entrain, il saluait chacun des nombreux visages familiers qu'il rencontra aux quatre coins des lieux, alors qu'il arpentait ces derniers dans des cercles concentriques qui le ramenaient régulièrement à l'endroit qui lui importait, naturellement, le plus : quatre des maquettes de ses derniers travaux, qui mettaient en valeur ce que sa créativité et son sens technique avaient de meilleur à offrir. Au terme d’une conversation avec un collègue qu'il affectionnait particulièrement, Eli regagna son coin attribué, où il aperçut, immobile, la silhouette d’une femme apparemment plongée dans la contemplation de l’un de ses projets. Poussé par sa curiosité inextinguible, Eli approcha la visiteuse et l’interpella d'une voix légère : « Qu’en pensez-vous ? » Le ton remarquablement neutre de sa question contrastait avec l’effervescence qui l’avait habité à peine quelques instants plus tôt – mais Eli avait appris à se tenir convenablement, et d'éviter d'apparaître, d'entrée de jeu, aussi vaniteux qu’orgueilleux. Son visage se fit toutefois nettement moins imperturbable lorsque la femme se tourna dans sa direction, et il se fendit d'un sourire agréablement surpris en reconnaissant immédiatement ses traits encadrés de mèches blondes. « Savannah ? », demanda-t-il rhétoriquement, sans chercher à masquer sa surprise de la voir ici. Il ne l’avait vue qu'une seule fois, et leur rencontre remontait à des mois, mais la dog-sitter aux talents discutables n’avait pas manqué de faire forte impression, et s'était assurée de rendre le moment inoubliable – en perdant le contrôle de l'énorme chien qu’elle promenait et qui avait croisé, de la plus chaotique des façons, la route d'Eli, avant de renverser la moitié de son cornet de glace au chocolat sur la chemise du Walker pris de court par la tournure des événements. Mais ce n'était pas seulement l’improbabilité de la scène qui avait rendu cette rencontre mémorable : si Eli n'avait été nullement pressé d’y mettre un terme, c’est avant tout parce que Savannah s'était avérée aussi drôle que dotée d’un répondant impressionnant, et que sa compagnie avait été des plus agréables. Ce début de catastrophe s'était finalement fait agréable, et Eli était sincèrement content de revoir la pétillante blonde ce soir. « Comment allez-vous ? Et Pongo ? », demanda-t-il, la voix rieuse.
❝oh my lungs are begging me to beg for you❞ all of these highs and all of these lows don't keep me company. i've been breathing you in and drinking you down, you're the only remedy. say you're gonna hold my head up, say you're gonna break my fall ; say you're gonna stay forever, baby, this is all i want. cause all my bones are begging me to beg for you, begging me to beg for your love.
Dernière édition par Elijah Walker le Dim 26 Mai 2024 - 22:45, édité 1 fois
Savannah Williams
les collisions
ÂGE : 34 ans SURNOM : Sav', Savie, Blondie mais aussi Polpetta, celui qui a tendance à l'agacer mais que seul Ugo s'entête à employer à son égard (Fort heureusement) STATUT : Quand elle pensait parvenir un semblant d'ordre dans sa vie sentimentale, elle s'est retrouvée à dire "je le veux" à son plus vieil ami devant Elvis à Vegas MÉTIER : Assistante de direction pour la société Campbell, spécialisée dans l'achat et la construction de complexes immobiliers écologiques -Assez naïve pour croire que travailler pour son ex ne lui attirera pas de problème LOGEMENT : #218, BaySide POSTS : 15027 POINTS : 0
TW IN RP : Abandon - Dépression - Sexe - Alcool - Deuil - Accident de la route - Manque d'estime de soi ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Elle joue souvent avec ses cheveux ≈ Elle a pratiqué auparavant le chant en tant qu'artiste professionnelle ≈Elle joue de la guitare et du piano ≈ Elle a causé un accident de voiture dans le passé qui a coûté la vie à un jeune homme. Un secret qu'elle tente de garder pour elle ≈ Elle culpabilise toujours ≈ Elle a un rire extrêmement communicatif ≈ Elle est maman de Mathis, 6 ans, qu'elle cherche à connaître, et qu'elle a eu avec son second amour, James Beauregard.RPs EN COURS :
Un souffle passe mes lèvres, recouvertes d'un rouge vif, alors que je m'arrête un instant pour observer le grand espace qui a été accaparé pour l'occasion, une appréhension perceptible jusque dans mes yeux bleus, qui balayent l'étendu des stands visibles depuis ma position. Ma présence ici n'a rien d'inédite, nous avons souvent pour mission de dénicher une personne capable de répondre à nos exigences et les différents projets dans lesquels nous souhaitons nous engager. Pour autant, je ne suis pas réellement certaine de vouloir jouer mon rôle à cet instant. Evan a toujours tenu à ce que je donne une bonne image de la société, à ce que je sois irréprochable lors de mes présentations, sans pour autant être à la merci de cette bande de requins que je côtoyais régulièrement. Il ne voulait pas que l'on me voit comme un simple physique, quelqu'un d'accessible, une blonde pulpeuse dont il se servirait pour arriver à ses fins, une femme dont l'on sous estimerait aisément les compétences dans le domaine. Et voilà que c'en était devenu ma bataille numéro une, cherchant aisément à faire taire les mauvaises langues par une confiance et un franc parler indispensable à mon niveau. La plupart du temps, les gens avaient fini par se laisser convaincre de ma légitimité dans le milieu et appréciaient mes interventions à leur juste valeur, détournant les idéaux particulièrement sexistes liés au monde financier. Mais il arrivait aussi que d'autres en soient complètement hermétiques. Je vivais désormais dans l'ombre du riche homme d'affaires, et contre toute attente, cela me desservait plus que jamais ces derniers mois. Les différents soucis que nous avions rencontrés avec la justice ont malheureusement terni quelque peu l'image de la société, et le confort dont nous profitions par notre renommée s'est retrouvé altéré par les différents articles qui avaient pu éclore sur cette sombre affaire. En plus de devoir prendre les rênes de la direction, suite au départ provisoire de Evan, j'avais été contrainte de travailler d'arrache-pied pour maintenir la confiance qui nous avait été accordée jusqu'alors, et même si l'avenir me paraissait encore plus ou moins fragile, je parvenais à maintenir le bateau à flot, ce qui n'était initialement pas gagné, un an auparavant. Malheureusement, la confiance que j'avais pu retrouver grâce à certaines de mes récentes réussites s'était retrouvée piétiner lors d'un simple appel téléphonique. L'objet de ce dernier était pourtant simple, contacter l'entreprise Walker dans l'espoir d'obtenir un entretien avec l'un des architectes les plus renommés du moment. Une tâche aussi banale que courante, mais qui avait rapidement été mise à mal par la secrétaire. Pas de disponibilité dans son emploi du temps pour les semaines à venir. Etait-ce une volonté de sa part que de suivre scrupuleusement les directives qui avaient pu lui être confiées ou le simple nom de la société que je me retrouve à gérer et que j'avais probablement soufflé en début de conversation avait-il suffit à me dresser sur la liste noire des partenariats potentiels? Mon insistance pour tenter de surpasser son esprit étriqué n'avait suffit à rien, et je m'étais rapidement retrouvée découragée dans cette tâche. Est-ce que j'en avais pour autant dit mon dernier mot? Pas le moins du monde.
Le bruit de mes escarpins sur le plancher en bois passe presque inaperçu dans ce bruit ambiant. La foule est pourtant raisonnable, dénotant le privilège d'avoir pu obtenir une place pour assister à l'événement. Mes pas s'enchaînent doucement, je prends le temps d'observer les différents exposants, espérant rapidement tomber sur celui qui m'a amené jusqu'ici. Le souvenir d'une discussion flotte cependant au-dessus de moi. Quelques heures auparavant, j'avais partagé la satisfaction d'avoir trouvé un subterfuge pour approcher ce cher Walker en question avec l'un de mes collaborateurs. Un enthousiasme dont il s'était quelque peu moqué, subissant sans plus attendre un regard rébarbatif de ma part. Je revois le grand blond, appuyé sur le bord de la table sur laquelle se tiennent régulièrement les réunions internes, les pieds croisés, à s'amuser à lancer une balle dans les airs avant de tenter de faire oublier sa maladresse. «Si tu veux mon avis…Faut pas y aller par quatre chemins!» Un air perplexe qui l'avait rapidement poussé à poursuivre « Ce genre de mec est réputé dans le coin. Un véritable homme à femmes. Si tu veux obtenir quoique ce soit, j'ai bien peur que ton joli discours ne suffise, il faudra miser sur ton potentiel séduction, et plus si affinités… » Il hausse les sourcils, cherchant probablement à me convaincre par un faux air compréhensif. Un instant d'hésitation avant de lâcher amèrement. «Je finirais pas dans son lit!» Il lâche un rire, s'amusant probablement bien plus que de moi de cette situation grotesque. «Ca, il n'est pas obligé de le savoir…Tu peux toujours essayer de le laisser espérer jusqu'à ce qu'il ait conclu un accord avec nous.» Je fronce les sourcils, laissant entrevoir un air perplexe mais pourtant fermé «C'est pas comme ça que je fonctionne» lui rappelais-je, bien qu'il m'était arrivé à plusieurs reprises de m'emparer de mon plus beau sourire dans l'espoir d'arriver à mes fins sur le plan professionnel. Un jeu qui ne s'était limité qu'à quelques illusions et sourires évocateurs, rien de plus. « Peut-être pas…Mais lui si » me rapelle t-il en se redressant alors que je secoue la tête en réfutant cette idée. «Estime-toi heureuse, t'es plutôt pas mal. Et j't'ai déjà vu à l'oeuvre Williams, me la fait pas à moi » Un nouveau rire qui passe ses lèvres et qui pourrait presque provoquer le mien alors que je m'efforce de nier ses allégations. «Sors de mon bureau Hunter!» Un ordre qu'il ne fait que suivre, m'accordant un dernier regard bienveillant que je ne peux ignorer. S'il n'était pas mon ami, au-delà d'être mon collègue, j'aurais peut-être pu me sentir offensée. En attendant, j'ai flanché.. Je me retrouve là, vêtue d'une robe chic et élégante, capable d'attirer l'attention à elle-seule. Il avait probablement raison, j'avais sans aucun doute déjà joué de mes charmes innocemment pour obtenir ce que je voulais, mais à aucun moment je n'y avais été contrainte d'entrée de jeu, et jamais cela ne m'avait amené à un jeu forcé et douteux avec un homme qui avait des attentes bien précises derrière la tête. Je soupire à cette idée, reconnaissant rapidement l'espace dédié à l'architecte. Mes yeux s'attardent sur les différents projets exposés, ne pouvant que reconnaître le talent dont il fait preuve dans ses différentes conceptions. Mon attention est cependant détournée lorsqu'une voix s'élève derrière moi, provoquant un léger sursaut que j'ai bien du mal à dissimuler. « Qu’en pensez-vous ? » Je me tourne sans plus attendre, ayant la surprise de découvrir un visage qui ne m'est pas si inconnu. Le sourire qu'il m'adresse se retrouve rapidement partagé face à ses retrouvailles des plus surprenantes. « Savannah ? » Je secoue brièvement la tête; tâchant de me défaire de mon silence. «Elijah. Quelle surprise…» avouais-je. Il faut dire que de nous deux, j'étais probablement celle qui avait moins donné l'air de fréquenter ce genre d'endroit lors de notre première rencontre. D'une part par ma tenue, contrairement à la sienne qui était irréprochable et plutôt chic avant que je ne la saccage, mais aussi par mon attitude maladroite et sûrement peu originale pour faire valoir un quelconque intérêt pour l'architecture. Pour autant, le jeune homme s'était montré particulièrement compréhensif et amical alors que je lui avais donné toutes les raisons de ne pas l'être. C'est un moment des plus agréables que j'avais pu partager en sa compagnie durant quelques instants, à déambuler à travers ce parc en dégustant un cornet de glace. Nos chemins s'étaient séparés, et il ne m'était jamais venu à l'idée qu'ils puissent se croiser à nouveau, encore moins dans ce genre de contexte. « Comment allez-vous ? Et Pongo ? » Mon sourire se suspend, alors que j'ai cet élan de spontanéité qui ne peut s'empêcher d'intervenir. «Oh, et bien tout s'est terminé il y a de ça 4 mois entre nous. L'histoire ne pouvait plus durer.» Un faux air navré que je ne parviens pas à garder plus longtemps. «Mais il me semble qu'il a refait sa vie avec une autre.» Un doux rire s'échappe de mes lèvres, ayant bien souvenir qu'il s'était montré plutôt réceptif à cet humour parfois douteux, ce qui me permettait de laisser libre cours à une certaine légèreté que je ne peux refuser dans un tel contexte. «Sa maîtresse était contente de le retrouver…et moi aussi» m'amusais-je un instant. «Et vous? Votre chemise s'est-elle remise de notre rencontre?»
rainmaker
Another love shit.
And I wanna sing a song, that'd be just ours, but I sang 'em all to another heart. And I wanna cry, I wanna fall in love, but all my tears have been used up. And I wanna kiss you, make you feel alright, I'm just so tired to share my nights. I wanna cry and I wanna love, but all my tears have been used up
Elijah Walker
les mauvaises décisions
ÂGE : 39 ans (04/01/1985) SURNOM : eli, simple et efficace STATUT : cœur autrefois brisé, désormais jalousement gardé, mais dont l’armure ne cesse de se craqueler face à une adorable petite souris MÉTIER : architecte au sein du walker group, et chargé du cours de recherche en environnement et durabilité à la faculté d'architecture de l'université du queensland. LOGEMENT : un penthouse lumineux à spring hill, qu’il partage avec son chat siamois zelda et ses deux nouvelles recrues félines, safflina et drogon - ou plutôt dans lequel il est autorisé à rester tant qu’il n’oublie pas de remplir leur gamelle POSTS : 2695 POINTS : 0
TW IN RP : ex-toxicomanie GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : né à Brisbane, il a sillonné les plus belles régions du globe une fois sa majorité atteinte puis s’est installé à New York avant de revenir dans la ville qui l’a vu grandir fin 2021 ✵ aîné de la fratrie Walker ✵ architecte depuis plus de dix ans, il excelle dans son travail ✵ un passé riche d’excès en tous genres, le seul vice ayant persisté au travers des années étant la cigarette ✵ (trop) honnête, il préfère une vérité blessante à un mensonge confortable ✵ très sociable, doué avec les mots et le sourire facile, sa façade s’effondre lorsque l'interaction devient trop réelleCODE COULEUR : eli se pavane en #00B464 RPs EN COURS :
WALKER ✵ we don't talk much, not anymore. broken bottles and slammin' doors, but we still care about each other, say we care about each other. i know life took us far away, but I still dream 'bout the good old days. when we took care of each other, we were livin' for each other.
ELIORA ✵ gimme what you got - your talk is incredible, so, so, so unusual. you taste like surfing videos. i'm going to read your mind, who you hiding? you fake your shyness, i just wish that i could see through you... hot glue, vape juice, hit undo, how the hell are you so cool?
Les événements comme celui-ci étaient souvent l’occasion de faire des rencontres inattendues, malgré leur caractère assez sélecte et leur public-cible supposé restreint. Grâce à ses activités tant commerciales qu’académiques, le carnet d’adresses d’Eli était bien fourni, et il avait volontiers fait la supposition erronée qu’il avait eu l’occasion de rencontrer la plupart des noms du milieu dans lequel il travaillait ; pourtant, il n’avait cessé de croiser la route de celles et ceux dont la présence dans de pareilles circonstances pouvait lui paraître incongrue. Le destin semblait recourir à de drôles de méthodes pour faire se recroiser des chemins là où il s’y attendait le moins, et Eli en fit une nouvelle fois le constat en reconnaissant les traits familiers d’une femme qu’il n’avait pourtant rencontrée qu’une seule fois, et bien des mois auparavant. Leur unique entrevue avait toutefois été suffisamment marquante pour que l’architecte n’ait aucun mal à situer celle qu’il venait d’apostropher avec un flegme qui ne tarda pas à céder sa place à une surprise agréable. Car il était loin de s’être attendu à revoir Savannah ici – mais il se rendit aussitôt compte qu’il ignorait tout de ses activités professionnelles ou de ses centres d’intérêt, et que sa présence ici n’était peut-être pas si incongrue. La dernière fois qu’ils s’étaient vus, la conversation avait été aisée et dépourvue de silences gênés en dépit du contexte potentiellement embarrassant de leur rencontre, mais ni l’un ni l’autre ne s’était épanché au sujet de leurs occupations respectives, et le mystère de qui ils étaient restait entier aux yeux l’un de l’autre. Eli se sentit donc un peu idiot de s’étonner de la présence de Savannah, tout en trouvant cocasse de la recroiser précisément ici, dans l’espace qui lui était réservé à lui au sein de l’événement. À moins qu’elle n’eût reconnu son nom et que ce dernier eût piqué la curiosité de la blonde, venue en avoir le cœur net ? À l’entendre verbaliser sa surprise de le voir ici, il comprit bien vite que non. La jolie blonde semblait partager sa joie de le voir, mais trouvait manifestement sa présence sur les lieux aussi inattendue que lui. Eli laissa son regard perçant s’attarder quelques instants dans les prunelles bleues de son interlocutrice, dont le sourire s’était étiré en écho au sien, et il hocha la tête comme pour confirmer qu’ils partageaient le même étonnement. Bientôt, l’échange initié par Eli avec un trait d’humour qui n’enleva toutefois rien à sa banalité connut une tournure nettement plus créative lorsque Savannah décida d’y incorporer son grain de sel. L’héritier haussa les sourcils devant le propos aux tonalités dramatiques de la jeune femme, et peina à conserver une expression imperturbable devant ses lamentations théâtrales. Vaillamment, il afficha une expression faussement contrite, tout en hochant la tête d’un air compréhensif, tâchant de ne pas laisser les commissures de ses lèvres le trahir trop vite. Il lui fut toutefois impossible de garder plus longtemps contenance lorsque Savannah elle-même se dérida en concluant le récit de sa tragédie, et Eli partit d’un rire franc qui rejoignit celui de la conteuse improvisée. Il lui fallu quelques secondes pour reprendre son sérieux, au terme desquelles il déclara, l’intonation de sa voix étonnamment sérieuse malgré la lueur rieuse qui continuait de scintiller dans ses yeux azur : « Je suis navré d’apprendre que ça n’a pas fonctionné entre vous. Mais vous méritez mieux que lui, j’en suis convaincu. » Il secoua légèrement la tête avant d’ajouter, sur le ton de la confidence : « Sans vouloir me mêler de ce qui ne me regarde pas, j’avais l’impression que vous n’étiez pas suffisamment écoutée, dans cette relation. » Eli sourit, le visage à nouveau empreint d’une gaieté sincère maintenant que ce petit numéro de théâtre avait touché à sa fin. Il s’étonnait à nouveau de la facilité avec laquelle les échanges s’articulaient avec Savannah, qui demeurait presque une parfaite inconnue mais qui avait le don d’instiguer en lui un sentiment de familiarité tout particulier.
Eli inclina posément la tête lorsque Savannah lui retourna une question, à son tour empreinte d’une plaisanterie en lien avec leur première entrevue pour le moins rocambolesque. De sa voix tranquille, et toujours avec cette intonation faussement sérieuse dont la neutralité rivalisait avec l’absurdité de ses propos, il lui répondit : « J’ai bien cru qu’on la perdrait à tout jamais. Mais mon teinturier est un véritable héros – je lui dois absolument tout. » Il porta une main dramatique à sa poitrine, avant de se fendre d’un rictus qui vint tempérer son air faussement solennel. « En tout cas », reprit-il en ayant, cette fois-ci, abandonné son numéro de pitre, « c’est agréable de vous revoir – en plus, dans un environnement qui me semble moins périlleux que celui où nous nous sommes rencontrés. » Périlleux n’était sans doute pas le premier qualificatif qui viendrait à l’esprit pour décrire le parc globalement calme, à l’atmosphère détendue et familiale, où ils s’étaient rencontrés la fois dernière. Jamais l’architecte ne l’aurait considéré comme un endroit dangereux, et si des événements tragiques y avaient frappé sa chemise, il était évident que son choix de mots relevait une nouvelle fois de la taquinerie. Il n’empêchait que, même en l’absence du chien colossal dont Savannah avait été bien en peine de maîtriser la force, Eli ne pouvait s’empêcher d’être stupidement soulagé de la revoir dans un lieu où rien ne risquait de lui être renversé dessus, excepté du champagne hors de prix dont la couleur serait considérablement moins problématique que celle de la boule de glace au chocolat qui lui avait atterri dessus lors de leur dernière rencontre. « Je ne savais pas que vous fréquentiez ce genre d’événements – enfin, vous me direz, je ne connais rien de vous, hormis vos qualités de dog-sitter exceptionnelle », continua-t-il de bavarder, et si son propos semblait potache en apparence, il n’en sous-entendit pas moins une question qui l’intéressait sincèrement : que faisait-elle ici, et que faisait-elle de manière plus générale ? Il prenait conscience qu’elle était parvenue à se rendre intéressante sans même avoir eu besoin de partager la moindre information pertinente à propos d’elle, et brûlait désormais d’en savoir un peu plus bien qu’il eût été capable de se contenter de son sens de l’humour si particulier pour seul divertissement à ses côtés. Un sourcil arqué venant surplomber son regard interrogateur, il ne quitta pas Savannah du regard, soudain extrêmement investi dans cette conversation qu’il n’aurait jamais pensé partager avec elle au beau milieu de ce salon. Et, comme pour s’assurer qu’ils avaient encore un peu de temps pour apprendre à faire connaissance avant qu’elle ne poursuive sa visite de l’événement, il proposa, un sourire tentateur sur les lèvres : « J’allais me chercher à boire. Voulez-vous que je vous ramène quelque chose ? » Il couronna sa proposition d’un sourire si ingénu qu’il eût été difficile d’y résister.
rainmaker
❝oh my lungs are begging me to beg for you❞ all of these highs and all of these lows don't keep me company. i've been breathing you in and drinking you down, you're the only remedy. say you're gonna hold my head up, say you're gonna break my fall ; say you're gonna stay forever, baby, this is all i want. cause all my bones are begging me to beg for you, begging me to beg for your love.
Dernière édition par Elijah Walker le Dim 26 Mai 2024 - 22:44, édité 1 fois
Savannah Williams
les collisions
ÂGE : 34 ans SURNOM : Sav', Savie, Blondie mais aussi Polpetta, celui qui a tendance à l'agacer mais que seul Ugo s'entête à employer à son égard (Fort heureusement) STATUT : Quand elle pensait parvenir un semblant d'ordre dans sa vie sentimentale, elle s'est retrouvée à dire "je le veux" à son plus vieil ami devant Elvis à Vegas MÉTIER : Assistante de direction pour la société Campbell, spécialisée dans l'achat et la construction de complexes immobiliers écologiques -Assez naïve pour croire que travailler pour son ex ne lui attirera pas de problème LOGEMENT : #218, BaySide POSTS : 15027 POINTS : 0
TW IN RP : Abandon - Dépression - Sexe - Alcool - Deuil - Accident de la route - Manque d'estime de soi ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Elle joue souvent avec ses cheveux ≈ Elle a pratiqué auparavant le chant en tant qu'artiste professionnelle ≈Elle joue de la guitare et du piano ≈ Elle a causé un accident de voiture dans le passé qui a coûté la vie à un jeune homme. Un secret qu'elle tente de garder pour elle ≈ Elle culpabilise toujours ≈ Elle a un rire extrêmement communicatif ≈ Elle est maman de Mathis, 6 ans, qu'elle cherche à connaître, et qu'elle a eu avec son second amour, James Beauregard.RPs EN COURS :
C'est à ce moment précis que je réalise combien ce métier est parfois vicieux. Derrière tous ces jolis mots, ces petits stratagèmes pour amadouer notre proie, il y a toujours une part de nous que nous prenons le risque d'oublier. Cette ligne rouge, avec laquelle nous jouons inlassablement, prenant le risque de la franchir un jour, et d'oublier ce qui n'était qu'un jeu ou non, et celui que nous sommes réellement. J'ai fais bien des choses dont je ne suis pas réellement fière, mais qui m'ont permises d'acquérir des réussites certaines. Pourtant, en passant la porte de ce salon, j'ai l'étrange sentiment de devoir y laisser mon âme. La réputation de cet homme que je me dois de rencontrer est loin d'être louable, et c'est probablement ce qui me gêne lorsqu'il est question de devoir faire plier un potentiel partenaire avec mes atouts charmes. N'est-ce pas un brin dangereux que d'entrer dans un tel stratagème alors que le discours pour vanter les mérites de cette société pour laquelle je travaille depuis plusieurs années pourraient normalement suffire? Des convictions qui sont vite oubliées lorsque mon regard s'attarde sur les différents projets qu'il expose. Qu'importe si cet homme s'avère être le parfait tombeur du milieu, je ne peux que reconnaître qu'il a un talent qui correspond largement à nos attentes. Une vision des choses qui serait en marge de ce que nous souhaitons proposer pour des projets à venir. Mes possibles doutes se sont volatilisés, et c'est mon professionnalisme qui prend le relais en laissant vagabonder mon imagination, dans une concentration extrême. Suffisamment pour que j'en oublie que je me trouve au beau milieu d'un salon, et que les échanges risquent de pleuvoir à un moment ou un autre. Ce que je n'avais pas prévu, c'est que le premier à se dresser sur ma liste inclut un visage qui ne m'est pas inconnu. Un visage qui n'a rien à voir avec le travail, mais que j'ai eu l'occasion de croiser dans un moment des plus gênants de ma vie. Si en temps normal, j'aurais très bien pu chercher à fuir ces retrouvailles face à cette honte que j'avais été en mesure d'éprouver face à tant de maladresse, la sympathie dont Elijah avait preuve m'ont heureusement permit d'apaiser la culpabilité éprouvée. J'avais apprécié ce moment passé ensemble au beau milieu de ce parc, et je ne peux reconnaître que le voir dans un moment redouté comme celui-ci suffit à apporter un peu de lumière dans l'obscurité.
Sans plus attendre, j'ai cependant ces vieux réflexes qui réapparraissent en sa compagnie, ce besoin de m'emparer d'un humour à tout épreuve capable de lui rappeler que je ne suis pas que l'abominable femme dotées de deux mains gauches. «Oh, et bien tout s'est terminé il y a de ça 4 mois entre nous. L'histoire ne pouvait plus durer.» L'histoire prête à rire, surtout quand on sait qu'il est question de ce chien, qui m'avait été confié durant les vacances de sa propriétaire, qui se trouve être une amie. Une entente qui n'avait su réellement prendre forme, et qui m'avait poussé à éprouver un réel soulagement lorsque j'avais été forcée de le rendre. «Mais il me semble qu'il a refait sa vie avec une autre.» Un air sérieux qui ne peut durer plus longtemps, alors qu'un rire s'échappe de mes lèvres, après plusieurs hochement de tête successifs. Un amusement qu'il ne tarde pas à partager, au vue de cette histoire complètement grotesque. « Je suis navré d’apprendre que ça n’a pas fonctionné entre vous. Mais vous méritez mieux que lui, j’en suis convaincu. » Je souris et relève les épaules, un brin fataliste. «C'est ce que j'me tue à croire ». Un ton lié à une certaine confidence lorsqu'il vient me confier[color=#00B464 « Sans vouloir me mêler de ce qui ne me regarde pas, j’avais l’impression que vous n’étiez pas suffisamment écoutée, dans cette relation. »[/color] Je me pince les lèvres, ayant bien du mal à rester impassible, un argument qui était malgré tout bien trop réaliste face au manque d'autorité puisant que j'avais été incapable d'imposer. «C'est totalement ça! On ne peut rien faire avec des êtres si indociles» En quelques secondes, cet homme avait été capable de me faire oublier l'objet de ma présence ici, et je dois reconnaître que c'est particulièrement agréable de voir à quel point la légèreté de nos échanges persiste alors que nous ne connaissons rien l'un de l'autre finalement. « J’ai bien cru qu’on la perdrait à tout jamais. Mais mon teinturier est un véritable héros – je lui dois absolument tout. » J'acquiesce, soulagée d'entendre ces mots. « En tout cas, c’est agréable de vous revoir – en plus, dans un environnement qui me semble moins périlleux que celui où nous nous sommes rencontrés. » Mes lèvres s'étirent, laissant entrevoir ce sentiment partagé dans la douceur de ce sourire que je lui adresse. « C'est réciproque. Mais ne sous-estimez pas mes capacités à faire un carnage, même dans un endroit comme celui-ci» Fort heureusement, dans un cadre plus professionnel, les chances étaient bien moins élevées qu'à l'accoutumée, et les facteurs risques étaient heureusement bien moindres.
« Je ne savais pas que vous fréquentiez ce genre d’événements – enfin, vous me direz, je ne connais rien de vous, hormis vos qualités de dog-sitter exceptionnelle » Je secoue la tête, laissant pourtant s'étirer la commissure de mes lèvres. Il est vrai que se retrouver ici était presque étonnant, alors que finalement, nous n'avions pas forcément pris la peine d'échanger sur nos métiers respectifs. Si le jeune homme avait été en mesure d'exprimer un certain rang professionnel par son accoutrement lors de notre rencontre, je dois dire que l'image que j'avais pu laisser quant à moi, ne reflétait en rien la femme d'affaires que je prenais plaisir à devenir dès que je passais la porter des bureaux Campbell. «Je sens une certaine ironie dans cette remarque.. »Un léger rire alors que j'observe brièvement autour de nous, cherchant faussement à protéger cette réputation qu'il serait capable de mettre à mal, alors qu'elle est encore totalement inexistante au sein de ce grand hall. Quoique. Savoir que je fais preuve de tant de maladresse n'aurait rien de sexy pour ce cher architecte dont je me dois d'attirer l'attention. «Je travaille pour une société américaine qui s'est exportée ici à Brisbane il y a maintenant plusieurs années. On travaille dans l'achat et la construction de complexes immobiliers écologiques» Voilà qui était une information qui allait probablement aller à l'encontre de cette femme au look décontracté qu'il avait eu l'occasion d’apercevoir la première fois, mais qui était bien plus flatteuse que promeneuse de chien provisoire. « J’allais me chercher à boire. Voulez-vous que je vous ramène quelque chose ? » Un bref moment d'hésitation, alors que la mission pour laquelle je me trouve ici me revient en mémoire, mais le sourire qu'il m'adresse suffit à me convaincre. Ca pourra bien attendre quelques minutes après tout… «Ca sera avec plaisir. Mais je vous accompagne» Le stand ne bougera pas d'ici là. Je marche à ses côtés, croisant le regard de quelques inconnus au passage. « Pour dire vrai, une petite coupe de champagne ne peut clairement pas être de refus, je pense même en avoir grandement besoin» avouais-je finalement alors que nous arrivons à hauteur d'un étalage qui propose différentes boissons . «J'suis ici pour convaincre un architecte de bosser avec nous» commençais-je en saisissant une coupe. «Il fait un travail remarquable, et j'pense qu'il peut beaucoup nous apporter.» Je croise son regard bleuté pour poursuivre. «Malheureusement. Ce monsieur n'est pas aussi accessible que je ne l'aurais voulu. Et il a la réputation d'être séducteur sur les bords. Le genre d'homme qui profite de son statut pour draguer tout ce qui bouge » Un haussement de sourcils alors que je finis par murmurer en m'approchant légèrement de son visage, pour lui faire cette confidence presque proscrite dans ce genre d'endroit.« Un bon vieux pervers en somme» Un rire interdit s'échappe de mes lèvres. «Alors croyez-moi, qu'une fois encore, et contre votre volonté, vous apparaissez tel un sauveur dans ma vie»
Spoiler:
Désolée pour cette terrible attente
rainmaker
Another love shit.
And I wanna sing a song, that'd be just ours, but I sang 'em all to another heart. And I wanna cry, I wanna fall in love, but all my tears have been used up. And I wanna kiss you, make you feel alright, I'm just so tired to share my nights. I wanna cry and I wanna love, but all my tears have been used up
Elijah Walker
les mauvaises décisions
ÂGE : 39 ans (04/01/1985) SURNOM : eli, simple et efficace STATUT : cœur autrefois brisé, désormais jalousement gardé, mais dont l’armure ne cesse de se craqueler face à une adorable petite souris MÉTIER : architecte au sein du walker group, et chargé du cours de recherche en environnement et durabilité à la faculté d'architecture de l'université du queensland. LOGEMENT : un penthouse lumineux à spring hill, qu’il partage avec son chat siamois zelda et ses deux nouvelles recrues félines, safflina et drogon - ou plutôt dans lequel il est autorisé à rester tant qu’il n’oublie pas de remplir leur gamelle POSTS : 2695 POINTS : 0
TW IN RP : ex-toxicomanie GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : né à Brisbane, il a sillonné les plus belles régions du globe une fois sa majorité atteinte puis s’est installé à New York avant de revenir dans la ville qui l’a vu grandir fin 2021 ✵ aîné de la fratrie Walker ✵ architecte depuis plus de dix ans, il excelle dans son travail ✵ un passé riche d’excès en tous genres, le seul vice ayant persisté au travers des années étant la cigarette ✵ (trop) honnête, il préfère une vérité blessante à un mensonge confortable ✵ très sociable, doué avec les mots et le sourire facile, sa façade s’effondre lorsque l'interaction devient trop réelleCODE COULEUR : eli se pavane en #00B464 RPs EN COURS :
WALKER ✵ we don't talk much, not anymore. broken bottles and slammin' doors, but we still care about each other, say we care about each other. i know life took us far away, but I still dream 'bout the good old days. when we took care of each other, we were livin' for each other.
ELIORA ✵ gimme what you got - your talk is incredible, so, so, so unusual. you taste like surfing videos. i'm going to read your mind, who you hiding? you fake your shyness, i just wish that i could see through you... hot glue, vape juice, hit undo, how the hell are you so cool?
Eli n’avait nullement besoin de sources de motivation supplémentaires pour se plaire dans cet environnement – l’événement faisait partie de ceux dont il se réjouissait de l’approche chaque année, et l’exaltation provoquée par ce genre d’expériences stimulantes ne lui faisait jamais défaut. Il avait coutume de savourer chaque instant de chaque interaction qui s’offrait à lui, profitait de chaque rencontre et ne manquait jamais d’en cueillir les fruits pour voir sa carrière prospérer un peu davantage, d’année en année. S’il jouissait déjà d’une belle réputation, il lui restait encore à faire ses preuves sur le sol australien après une carrière de plus de dix ans aux États-Unis, et il n’hésitait pas à mettre le cœur à l’ouvrage pour prouver à ses détracteurs que ses compétences ne se limitaient pas au port d’un nom de famille plus que célèbre dans le milieu de l’immobilier. Voir des regards admiratifs se poser sur son travail ne cesserait jamais d’être gratifiant, et il prenait un plaisir sincère à répondre aux questions qu’on lui formulait, qu’elles fussent intéressées ou destinées à le déstabiliser. Eli agissait en véritable poisson dans l’eau et la journée aurait sans doute filé en un clin d’œil même s’il n’avait pas croisé Savannah. Pourtant, la vue de cette dernière dans l’espace qui lui était réservé au sein de l’événement ne manqua pas de ravir l’architecte, dont la journée prit aussitôt un tournant encore plus réjouissant. Elle n’avait pas manqué de faire forte impression quand bien même leur unique rencontre avait-elle été si brève qu’elle n’aurait, en d’autres circonstances, pu ne pas laisser de souvenir particulièrement marquant. Savannah avait toutefois eu le don de frapper fort et rapidement, certes parce qu’elle avait fait preuve d’une maladresse infiniment comique, mais surtout parce qu’elle s’était montrée tout aussi mémorable dans sa façon d’échanger avec lui, avec autant d’esprit que d’humour. L’inconfort tout relatif occasionné par l’incident rocambolesque avec le chien qu’elle avait été bien en mal de contrôler était tout naturellement passé au second plan dans la mémoire d’Eli, dont les souvenirs n’avaient certes pas occulté la façon dont sa chemise s’était retrouvée souillée par une énorme tâche de glace à la framboise, mais préféraient mettre en valeur l’échange plus agréable qui avait suivi l’incident.
Même s’il ne connaissait pratiquement rien d’elle, Eli eut l’impression que la blonde était restée fidèle au souvenir qu’il en avait sitôt qu’elle le gratifia à nouveau de son humour bien particulier, et l’architecte ne put réprimer un sourire amusé dès les premiers instants de leur échange. À la surprise de la recroiser avait rapidement succédé le plaisir de lui parler, et le rire sonore d’Eli ne tarda pas à remplir l’espace qui les entourait face aux propos théâtraux de Savannah. Des plaisanteries au sujet du chien indomptable qui avait précipité leur rencontre, ils passèrent à celles évocatrices du destin funeste qu’avait failli connaître la chemise de l’architecte, qui ne manqua pas de panache dans son évocation des événements. Savannah ne manqua pas une occasion de souligner sa propre maladresse, ce qui lui valut un nouveau sourire amusé assorti d’une regard faussement effrayé de la part de son interlocuteur. « Si je vous vois un verre de vin rouge à la main, je risque de battre en retraite vers un périmètre sécurisé – j’espère que vous ne m’en tiendrez pas rigueur », affirma-t-il d’un ton soucieux dont la crédibilité était pour le moins défaillante, et il la gratifia d’un clin d’œil qui vint démentir de plus belle la fausse inquiétude que ses mots étaient censés véhiculer.
La conversation prit un tournant légèrement plus sérieux, sans que le ton ne le devienne pour autant, alors qu’Eli s’enquit de la raison de la présence de Savannah à l’événement. La curiosité se lisait dans son regard pétillant tandis qu’il braqua celui-ci sur la blonde, avide d’en apprendre davantage – peut-être avait-il affaire, sans le savoir, à une consœur et le hasard avait-il vraiment bien fait les choses. Un sourire aux lèvres, il adopta un air faussement innocent avant de répliquer, d’un ton prétendument offusqué : « Moi ? Jamais de la vie. Je suis toujours extrêmement sérieux. » Il n’était pas crédible pour un sou, mais adorait adopter ce ton pratiquement grotesque alors que Savannah, elle aussi, surjouait le jeu sans chercher à faire preuve de la moindre nuance en adoptant un air faussement aux aguets avant de finir par se confier sur les circonstances de sa venue. Eli apprit alors qu’elle n’était pas une collègue à proprement parler, mais son visage se teinta d’une expression agréablement surprise et à l’intérêt sincère. « Quelle firme, si ce n’est pas trop indiscret ? J’adorerais que vous m’en racontiez davantage », s’enquit-il ingénument, sa curiosité piquée au vif par les mots-clés qu’elle avait employés et qui coïncidaient à la perfection avec son propre domaine d’activité – il allait sans dire que l’architecture et l’immobilier étaient intimement liés, et les considérations écologiques étaient au cœur de son travail, tant en tant qu’architecte qu’en tant qu’enseignant à la faculté. Eli saisit l’occasion de prolonger la conversation en proposant d’aller les ravitailler au bar, et son sourire s’élargit de plus belle lorsque Savannah ne tarda pas à accepter sa proposition après qu’il eut cru percevoir une hésitation fugace traverser son joli visage. Il lui emboîta le pas en direction du bar, pressé de poursuivre leur échange et de découvrir s’ils avaient d’autres points communs.
Arrivés devant le bar, Eli commanda deux coupes de champagne et il posa un regard aussi intrigué qu’amusé à l’entente de la confession de son interlocutrice. « Ah, bon ? Vous m’avez pourtant l’air déjà bien courageuse à jeun. Qu’est-ce qui peut bien être plus angoissant qu’une promenade avec Pongo ? », la taquina-t-il tout en lui tendant sa flûte de champagne, et de faire trinquer leurs verres. Il porta son verre à ses lèvres et l’écouta attentivement, sans parvenir à réprimer une grimace désapprobatrice en entendant le tableau peu élogieux que ne tarda pas à lui dresser Savannah de ce mystérieux architecte dont elle était censée s’attirer les faveurs. Il fronça légèrement les sourcils en avalant sa gorgée, et hocha la tête. « Woah, c’est dégueulasse », commenta-t-il au milieu de l’explication de Savannah, sitôt que celle-ci évoqua les tendances inappropriées de l’homme qu’on l’avait envoyée rencontrer. Lorsqu’elle se pencha dans sa direction, il se pencha à son tour dans la sienne, comme pour l’inviter à se confier à lui, et son rire fit écho à celui de Savannah en l’entendant conclure au sujet de l’inconnu. « Voilà qui doit vous donner envie de le rencontrer », railla-t-il d’un ton cynique. Son visage retrouva de sa candeur en entendant le compliment sur lequel elle embraya, et il balaya celui-ci d’un simple revers de la main. « Oh, vous exagérez – vous devriez plutôt me gronder pour vous avoir déconcentrée de votre mission, même si je crois comprendre que vous n’êtes pas pressée d’y retourner », répliqua-t-il, un sourire en coin au bord des lèvres, tout en reprenant une nouvelle gorgée de champagne. L’espace d’un instant, il voulut lui demander de qui elle parlait – si l’homme était présent à ce salon, il était certain de le connaître, ne fût-ce que de nom. Mais en tant que gentleman à l’éducation irréprochable, Eli résista péniblement à la tentation des potins, et décida de concentrer son propos sur Savannah et le pétrin dans lequel elle s’était retrouvée. « Et alors, comment comptez-vous vous y prendre pour amadouer votre cible ? », s’enquit-il avec une lueur à la fois cynique et compatissante dans le regard. « Je vous aurais bien proposé mon assistance, mais j’ai comme l’intuition que vous vous débrouilleriez bien mieux que moi. Je me trompe ? »
rainmaker
Spoiler:
à mon tour de m'excuser 1000000000000 fois pour ce délai monstrueux, ça a été un vrai chaos de rp ces derniers temps pour moi
❝oh my lungs are begging me to beg for you❞ all of these highs and all of these lows don't keep me company. i've been breathing you in and drinking you down, you're the only remedy. say you're gonna hold my head up, say you're gonna break my fall ; say you're gonna stay forever, baby, this is all i want. cause all my bones are begging me to beg for you, begging me to beg for your love.
Savannah Williams
les collisions
ÂGE : 34 ans SURNOM : Sav', Savie, Blondie mais aussi Polpetta, celui qui a tendance à l'agacer mais que seul Ugo s'entête à employer à son égard (Fort heureusement) STATUT : Quand elle pensait parvenir un semblant d'ordre dans sa vie sentimentale, elle s'est retrouvée à dire "je le veux" à son plus vieil ami devant Elvis à Vegas MÉTIER : Assistante de direction pour la société Campbell, spécialisée dans l'achat et la construction de complexes immobiliers écologiques -Assez naïve pour croire que travailler pour son ex ne lui attirera pas de problème LOGEMENT : #218, BaySide POSTS : 15027 POINTS : 0
TW IN RP : Abandon - Dépression - Sexe - Alcool - Deuil - Accident de la route - Manque d'estime de soi ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Elle joue souvent avec ses cheveux ≈ Elle a pratiqué auparavant le chant en tant qu'artiste professionnelle ≈Elle joue de la guitare et du piano ≈ Elle a causé un accident de voiture dans le passé qui a coûté la vie à un jeune homme. Un secret qu'elle tente de garder pour elle ≈ Elle culpabilise toujours ≈ Elle a un rire extrêmement communicatif ≈ Elle est maman de Mathis, 6 ans, qu'elle cherche à connaître, et qu'elle a eu avec son second amour, James Beauregard.RPs EN COURS :
Dès lors que je passe les portes du bâtiment, mon visage prend une autre forme. Il n'est plus question de me fier à quelconque instinct ou me laisser porter au gré du vent dans certaines discussions dans lesquelles je serais possiblement sollicitée. Je suis formatée pour ce genre d'évènement, et tout est généralement particulièrement préparé pour atteindre l'objectif de ma venue. Le contexte s'avère être pour autant inédit à cet instant. Si les techniques enseignées par Evan m'ont permis d'obtenir de jolis résultats sur le plan professionnel, je dois reconnaître que le procédé qui m'a été soufflé pour l'occasion est loin d'être le plus confortable. Séductrice? Je sais l'être, et peut-être même qu'invonlontairement je me suis prêtée à ce jeu dangereux durant certains de mes échanges par le passé, décelant chez l'autre sa capacité à s'y affranchir, mais jamais il n'a été question de le faire ouvertement auprès d'un homme au regard possiblement lubrique et aux remarques subtilement perverses, qui n'aura jamais à coeur de reconnaître la possible collaboration qu'il pourrait en tirer. Et puis étrangement, je l'imagine grossier, et bien loin de mon idéal masculin, ce qui n'est pas pour me réconforter. Pourtant, ces pensées négatives qui me pousseraient à fuir au plus vite cet endroit laissent place à quelque chose de bien plus attrayant. Mon regard s'attarde sur un stand, ne pouvant que reconnaître le travail soigné et élaboré de celui qui en est à l'origine. Un talent qui ne peut échapper à personne. La voix qui va m'interpeller ne tardera pas à m'éloigner de ce comportement pour le moins sérieux. Et comment peut-il en être autrement face à cet homme, qui a eu l'honneur d'assister à ce moment de honte et de totale maladresse que je ne suis pas prête d'oublier. Pire encore, il en a été la pauvre victime,alors qu'il cherchait simplement à m'aider. Une générosité et compréhension dont il a fait preuve à mon égard, et dont je lui suis encore reconnaissante à ce jour. C'est donc avec une dose d'humour que nos échanges se poursuivent, me faisant presque oublier la raison de ma venue et l'endroit, qui demande probablement un comportement plus professionnel que celui que je suis entrain d'adopter.
« Si je vous vois un verre de vin rouge à la main, je risque de battre en retraite vers un périmètre sécurisé – j’espère que vous ne m’en tiendrez pas rigueur » Je lâche un rire, secouant la tête en souriant avant de parvenir à me ressaisir pour rétorquer d'une voix plus sérieuse. «Je serais extrêmement déçue, je vous trouvais plutôt combatif et courageux jusqu'à présent» m'amusais-je pour le provoquer légèrement à mon tour.« Je ne savais pas que vous fréquentiez ce genre d’événements – enfin, vous me direz, je ne connais rien de vous, hormis vos qualités de dog-sitter exceptionnelle » Si certains auraient pu se sentir quelque peu vexé par ces remarques mesquines, je m'en sens pour ma part honorée. J'ai toujours aimé les échanges animés dans lesquels chacun pousse l'autre dans ses retranchements, et j'en suis une véritable adepte, qu'importe si parfois je me retrouve prise à mon propre piège. La suite de la conversation se tourna vers la raison de ma présence ici, qui certes, pourrait paraître assez hardeuse, mais qui ne l'était pas du tout. «Je travaille pour une société américaine qui s'est exportée ici à Brisbane il y a maintenant plusieurs années. On travaille dans l'achat et la construction de complexes immobiliers écologiques» Un sujet que j'avais appris à maîtriser avec le temps, et un poste qui ne cessait de satisfaire ce besoin de réussite au travers de nombreux objectifs à accomplir, une ambition qui ne cessait de me surprendre et que je m'étais découverte avec le temps. Ce bref résumé semble titiller l'attention du jeune homme « Quelle firme, si ce n’est pas trop indiscret ? J’adorerais que vous m’en racontiez davantage » Un regard exprimant la satisfaction d'avoir su piquer sa curiosité, moi qui ai souvent tendance à lasser mon interlocuteur en m'emballant pour vanter les performances de cette entreprise que j'ai rejoint plusieurs années auparavant. «La société Campbell. Elle existe depuis bien longtemps aux Etats Unis et s'est implantée à Brisbane depuis plus de quatre ans. Elle répond à bons nombres de problématiques actuelles, et se trouve être assez révolutionnaire dans ce genre.» précisais-je, me rendant compte que je m'empare de ce fameux discours que je tiens si souvent pour convaincre de potentiel partenaire ou client. «Et je n'dis pas ça parce c'est mon gagne pain» me défendais-je dans un léger rictus, cherchant à quitter cette attitude si conventionnelle que j'adopte malgré moi.
L'ambiance est tout autre lorsque nous nous retrouvons au niveau du bar, prêt à savourer les fines bulles qui sont mises à disposition pour l'occasion. Un moyen pour le moins efficace pour faire redescendre la pression davantage. « Ah, bon ? Vous m’avez pourtant l’air déjà bien courageuse à jeun. Qu’est-ce qui peut bien être plus angoissant qu’une promenade avec Pongo ? » Je souris, haussant finalement les épaules. « La race humaine peut-être bien plus redoutable qu'un chien, croyez moi.» Et pour l'y aider, je viens apporter les quelques éléments nécessaires pour exprimer cette jolie appréhension, que je ne cherche pas à dissimuler en sa présence, comme s'il s'agissait d'une personne de confiance, un véritable allié. « Voilà qui doit vous donner envie de le rencontrer » Je relève les sourcils. «C'est rien d'le dire» Heureusement, mon amusement parvient à dédramatiser un peu les faits que je viens d'évoquer. «Alors croyez-moi, qu'une fois encore, et contre votre volonté, vous apparaissez tel un sauveur dans ma vie» C'était peut-être un brin excessif, mais je ne pouvais que reconnaître que sa présence ici s'apparentait à une belle occasion de repousser l'inévitable par un faux prétexte. « Oh, vous exagérez – vous devriez plutôt me gronder pour vous avoir déconcentrée de votre mission, même si je crois comprendre que vous n’êtes pas pressée d’y retourner » Mon regard scrute rapidement autour de nous, réalisant que le principal concerné se trouvait peut-être à portée de vue. « Et alors, comment comptez-vous vous y prendre pour amadouer votre cible ? » Mon attention se reporte sur Elijah, prenant le temps d'étudier la question pour apporter une réponse pour le moins concrète. «Eh bien…J'imagine que je vais devoir adopter un sourire charmeur, m'emparer d'une fausse naïveté qui le mettra en position de force…Et le laisser sur sa faim avec l'espoir infini d'en avoir plus avec moi que s'il accepte de me revoir dans nos bureaux» Je plisse les yeux. «J'espère juste que je parviendrai à échapper à ses mains baladeuses avant la fin de notre discussion» Une légère grimace inquiète avant de croiser le regard du grand brun et de ne savoir retenir un rire face au ridicule de la situation. «C'est vraiment pas marrant d'être une femme, j'imagine que ce genre de chose ne doit pas vous arrivez souvent» Non pas à lui particulièrement, mais en étant un homme à part enitière. « Je vous aurais bien proposé mon assistance, mais j’ai comme l’intuition que vous vous débrouilleriez bien mieux que moi. Je me trompe ? » Je souris, acquiesçant d'un signe de tête . «Eh bien…C'est tentant…Mais j'ai bien peur qu'il se méprenne sur la nature de notre lien, et qu'il ne prenne même pas la peine d'observer cette jolie tenue que j'ai pris le temps d'enfiler juste pour l'impressionner. » Mes lèvres s'étirent face à cette scène qui se projette dans mon esprit, et qui est tout aussi grotesque que ma volonté d'y parvenir. «Mais peut-être que vous pourriez me donner des conseils pour le faire flancher, vous qui êtes un homme?» Un amusement perceptible sur mon visage. « Ou m'aider à le reconnaître, parce que je n'ai aucune idée de ce à quoi il ressemble» avouais-je d'un air faussement contrarié en observant les différents visages dans les parages.
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And I wanna sing a song, that'd be just ours, but I sang 'em all to another heart. And I wanna cry, I wanna fall in love, but all my tears have been used up. And I wanna kiss you, make you feel alright, I'm just so tired to share my nights. I wanna cry and I wanna love, but all my tears have been used up
Elijah Walker
les mauvaises décisions
ÂGE : 39 ans (04/01/1985) SURNOM : eli, simple et efficace STATUT : cœur autrefois brisé, désormais jalousement gardé, mais dont l’armure ne cesse de se craqueler face à une adorable petite souris MÉTIER : architecte au sein du walker group, et chargé du cours de recherche en environnement et durabilité à la faculté d'architecture de l'université du queensland. LOGEMENT : un penthouse lumineux à spring hill, qu’il partage avec son chat siamois zelda et ses deux nouvelles recrues félines, safflina et drogon - ou plutôt dans lequel il est autorisé à rester tant qu’il n’oublie pas de remplir leur gamelle POSTS : 2695 POINTS : 0
TW IN RP : ex-toxicomanie GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : né à Brisbane, il a sillonné les plus belles régions du globe une fois sa majorité atteinte puis s’est installé à New York avant de revenir dans la ville qui l’a vu grandir fin 2021 ✵ aîné de la fratrie Walker ✵ architecte depuis plus de dix ans, il excelle dans son travail ✵ un passé riche d’excès en tous genres, le seul vice ayant persisté au travers des années étant la cigarette ✵ (trop) honnête, il préfère une vérité blessante à un mensonge confortable ✵ très sociable, doué avec les mots et le sourire facile, sa façade s’effondre lorsque l'interaction devient trop réelleCODE COULEUR : eli se pavane en #00B464 RPs EN COURS :
WALKER ✵ we don't talk much, not anymore. broken bottles and slammin' doors, but we still care about each other, say we care about each other. i know life took us far away, but I still dream 'bout the good old days. when we took care of each other, we were livin' for each other.
ELIORA ✵ gimme what you got - your talk is incredible, so, so, so unusual. you taste like surfing videos. i'm going to read your mind, who you hiding? you fake your shyness, i just wish that i could see through you... hot glue, vape juice, hit undo, how the hell are you so cool?
Subtilement, mais de manière non moins manifeste, Eli crut déceler un léger changement dans le langage non-verbal de la blonde solaire face à lui. Elle n’avait rien perdu de sa superbe, continuait de sourire à pleines dents et arborait toujours cette expression rayonnante, en apparence emplie de légèreté et d’insouciance – pourtant, l’ombre menaçante d’une préoccupation désagréable planait sur son visage. Derrière ses airs affables, la jeune femme trahissait un malaise qui n’avait plus rien à voir avec celui qu’Eli avait décelé chez elle le fameux jour où elle avait indirectement contribué au massacre de sa chemise immaculée par le cornet de glace qu’elle avait à la main. Sous couvert de l’humour, Savannah évoquait la tâche ingrate qui lui incombait et qui justifiait apparemment sa présence à l’événement – et si Eli ne cessa, lui non plus, pas de sourire à l’entente de la répartie toujours aussi colorée de son interlocutrice, il n’en fut pas moins alerté par les sous-entendus véhiculés par le propos de la jolie blonde. Elle avait commencé par piquer sa curiosité en empruntant un ton si dramatique qu’il en avait paru caricatural, en qualifiant les humains de plus effrayants que leurs compagnons canins, avant d’embrayer sur la description d’un homme qui inspira aussitôt le plus grand dégoût à l’architecte. Il s’efforça de ne pas plomber l’ambiance tout en veillant de ne pas invalider le vécu de Savannah en faisant preuve de trop de légèreté, et son habituel cynisme se chargea de véhiculer à la fois son indignation et l’humour auquel il recourait habituellement pour diluer celle-ci. Difficile pour Eli d’entendre qu’elle voyait en lui un sauveur alors qu’il n’avait rien fait d’autre que de se trouver au même endroit qu’elle, parfait inconnu à l’exception des quelques instants qu’ils avaient passés ensemble des mois auparavant – si cela suffisait à faire de lui un sauveur, c’est qu’elle devait réellement être désespérée par la perspective de l’interaction qui l’attendait avec la crapule qu’elle venait de lui décrire. Eli détourna, peut-être un peu maladroitement, l’attention portée sur lui en remettant en perspective le piédestal sur lequel Savannah l’avait pratiquement placé, leur octroyant une nouvelle parenthèse d’humour bien nécessaire tout en constatant que la tension semblait croître pour la jeune femme, qui avait entrepris de sonder les environs, comme si elle se sentait en insécurité en partageant des opinions qu’il valait mieux ne pas trop ébruiter. Alors, Eli relança la conversation, à la fois pour faire diversion par rapport à la dernière remarque que lui avait adressée la jolie blonde, mais aussi pour l’aider à s’ancrer dans la discussion plutôt que de divaguer de cet air qu’il devinait un peu anxieux – bien qu’il n’eût certainement pas choisi le meilleur sujet pour faire diversion en la questionnant sur les techniques qu’elle avait prévu de mettre en œuvre.
Assez rapidement, Eli regretta d’avoir posé sa question en apparence humoristique, mais qui ne tarda pas à ouvrir la porte sur des considérations aussi délicates d’inconfortables. D’un ton qui n’avait rien perdu de son apparente légèreté, Savannah ne tarda pas à lui détailler tout un protocole dont il ignorait ce qui aurait été pire : qu’elle l’ait soigneusement étudié à l’avance, en vue de mener à bien sa mission, ou qu’elle l’ait improvisé avec un tel naturel que cela sous-entendait qu’elle n’en était pas à son coup d’essai lorsqu’il s’agissait de donner, littéralement, de sa personne à des fins professionnelles. Eli voulut conserver son expression amusée, ne rien perdre de sa légèreté, lui qui appréciait particulièrement le sens de l’humour de son interlocutrice et sa compagnie de manière plus générale – pourtant, son sourire se fit plus prudent, et son regard se teinta d’une pointe de préoccupation. Il ne sut quoi répondre à la conclusion qu’elle tira en comparant leurs conditions à tous les deux, après avoir laissé échapper un rire qu’il devina nerveux à l’évocation du risque que cet homme n’amorce un rapprochement physique là où elle n’aspirait qu’à lui faire signer un accord professionnel. Eli pinça les lèvres, le visage empreint d’une humilité impuissante, le regard nettement moins amusé que quelques minutes auparavant. « Non, ça n’a effectivement pas l’air marrant. Je suis désolé que vous ayez à traverser tout ceci – je ne peux pas imaginer à quel point ça doit être frustrant, et pénible. » Il n’avait plus vraiment le cœur à rebondir avec humour alors qu’il devinait, de plus en plus nettement, le malaise qui habitait Savannah et qui l’enjoignait à traîner un peu plus longtemps à ses côtés plutôt que de s’atteler à la tâche qui lui avait été confiée.
Eli ne put s’empêcher de proposer son aide, tout en doutant de la pertinence de son offre – après tout, il n’avait jamais vécu de situation similaire, n’avait jamais dû donner de sa personne de cette façon, même s’il se vantait régulièrement de l’implication personnelle dont il faisait preuve pour mener à bien ses projets professionnels. Il était le premier à donner son numéro privé à ses clients, à se rendre disponible au détriment de sa vie personnelle – mais il n'avait eu à redouter la façon dont certains pouvaient en faire usage à mauvais escient, n’avait jamais craint pour sa sécurité ni pour son intégrité. Rien à voir, donc, avec ce qui était attendu de Savannah, qui ne tarda pas à y faire allusion en évoquant sa tenue vestimentaire sélectionnée spécifiquement dans le but de séduire un homme qu’elle méprisait avant même de l’avoir rencontré. Cette fois-ci, Eli ne put réprimer un sourire amusé face à la remarque cynique de Savannah, et, tout homme qu’il était, il laissa brièvement son regard glisser sur la tenue qu’elle venait de désigner. Assez sobre pour rester professionnelle, mais assez valorisante de son corps pour attirer l’attention de quiconque poserait les yeux dessus. Le regard d’Eli ne tarda pas à retrouver celui, aux teintes similaires, de la blonde après un écart heureusement assez court pour demeurer bienséant, et il lui répondit, à la fois poliment et stupidement : « Aucun doute, il sera impressionné. Vous la portez très bien. » Il était loin de se douter combien il était idiot de sa part de commenter une tenue qui, il l’ignorait, avait en réalité été conçue sur mesure pour ses yeux à lui. Mais, évidemment, il était aussi loin de se douter que le portrait répugnant dressé par Savannah se rapportait à sa personne – et sans aucun doute se serait-il abstenu de faire le moindre compliment sur sa tenue si cette clarification lui avait été apportée à temps.
Eli conserva un sourire teinté d’une bienveillance palpable tandis que Savannah finit par lui formuler une requête en réponse à sa proposition de lui venir en aide. L’architecte hocha posément la tête, tandis qu’un soupçon d’amusement toujours empreint d’un cynisme certain illumina son regard. « Bien sûr, tout ce que vous voulez. Même si je ne suis pas sûr d’être en mesure de vous apporter des conseils très utiles – j’ai l’impression que vous maîtrisez déjà très bien le sujet. Si cet homme est comme vous le décrivez, je pense qu’il vous mangera dans la main. Avec un peu de chance, vous n’aurez même pas besoin de le flatter pour parvenir à vos fins. » À nouveau, l’héritier brilla par sa stupidité et sa naïveté en complimentant la blonde de la sorte, et il ne faisait aucun doute qu’il aurait mieux fait de s’abstenir que de féliciter son interlocutrice pour ses talents de séduction qui, même s’ils l’ignoraient encore tous les deux, lui étaient spécifiquement destinés. Un soupçon de curiosité traversa le visage habituellement imperturbable de l’héritier lorsque Savannah lui demanda de l’aider à identifier sa cible – ainsi, il allait savoir qui était cet homme odieux qu’elle n’était pas pressée de rencontrer. « C’est un milieu finalement assez petit – a priori, je devrais pouvoir vous aider à identifier ce charmant inconnu », répondit-il d’un ton amusé, loin d’être prêt pour la nouvelle qui s’apprêtait à lui tomber dessus.
rainmaker
❝oh my lungs are begging me to beg for you❞ all of these highs and all of these lows don't keep me company. i've been breathing you in and drinking you down, you're the only remedy. say you're gonna hold my head up, say you're gonna break my fall ; say you're gonna stay forever, baby, this is all i want. cause all my bones are begging me to beg for you, begging me to beg for your love.