"Whoever told you that life would be easy. I promise that person was lyin' to you"

Alex Clarke

Whoever told you that life would be easy. I promise that person was lyin' to you

Pièce d'identité

NOM ≈ Clarke PRÉNOM(S) ≈ Alexandra, dit Alex ÂGE ≈ 29 ans LIEU DE NAISSANCE ≈ London, England STATUT SOCIAL ≈ Célibataire MÉTIER ≈ Journaliste ORIENTATION SEXUELLE ≈ Hétéro GROUPE ≈ Au secourt, j'ai 30 ans AVATAR CHOISI ≈ Elizabeth Olsen

Les informations en vrac

≈ Son enfance. ≈
Alexandra Mary Clarke est née un 15 Mai à Londres d'un père Anglais et d'une mère Australienne. Fille unique d'un couple qui vivait depuis quelques temps sous les projecteurs de la presse Londonienne. Une petite-enfance sans événement majeur pour la jeune Alexandra qui ne manqua de rien. Issue d'une famille aisée, Alex fut une enfant qui grandit dans un environnement sans père, mais cette absence fut grandement compensée par une mère très attentionnée et protectrice. L'heure d'entrée à l'école, Alex se retrouva dans des écoles privées, avec une éducation stricte mais de qualité. Alex se plut immédiatement, et se découvrit bonne élève, intéressée, curieuse, elle s’intégra au système scolaire avec une grande facilité. Tout se passait plutôt bien pour Alex, qui s’épanouissait et se découvrait une passion pour le sport. Et pendant plusieurs années, la vie d'Alexandra Clarke avait été facile jusqu'à l'adolescence ou la notoriété de son père, ses absences et ses tromperies, avaient eu raison de cet équilibre familial. Un couple qui se déchira, une mère qui se détruisit, et une adolescente qui se rebella contre un père à la fois absent et pourtant tellement exigeant et intransigeant. La vie d'Alex commençait lentement à s'écrouler sans qu'elle ne puisse vraiment en prendre conscience.

≈ Son arrivée en Australie à 18 ans. ≈
A dix-huit ans, coincée dans une famille qui se déchirait en plein divorce compliqué, entre une mère dépressive et un père, personnalité publique, très exigeant ; Alexandra quitta son île natale pour rejoindre une autre île à peine plus grande de quelques millions de kilomètres, sur les traces de ses origines maternelles. Après une énième dispute avec son père, Alexandra Clarke prit la décision radicale de quitter la maison familiale. Partir à l'autre bout du monde, ce fut à cette époque, la seule solution qu'elle avait trouvé pour s'épanouir loin de la nocivité de ses parents. Ce devait être le début d'une nouvelle vie pour la jeune femme, le début de sa vie à elle, sans les contraintes du statut de son père, et les névroses de sa mère. Elle avait toute une vie à construire, tout un monde à découvrir. Et c'est ainsi, qu'elle se retrouva sur le sol Australien à dix-huit ans, seule et pour la première fois de sa vie, totalement libre de faire ses propres choix.

≈ La vie Australienne.≈
Durant près de deux ans, Alexandra a vécu les meilleurs moments de sa vie en Australie. Libérée de la pression de son père, loin de la dépression de sa mère, Alexandra découvrait une nouvelle vie, un nouveau mode de vie. Pour la première fois, elle vivait pour elle et elle profitait de sa vie. En Australie, elle s'est construite, elle a expérimenté, et s'est testée. Après avoir vécu sous le contrôle de son père, contrainte de gérer son image, Alexandra avait la sensation de revivre et pour la première fois de sa vie, elle se sentait vivante, libre. Heureuse tout simplement. Elle se sentait à son aise dans ce Pays, elle était tombée amoureuse. Du Pays, mais aussi d'un homme avec qui elle avait partagé quelques semaines de bonheur. Quelques semaines de pure quiétude, quelques semaines qui lui avait donné l'illusion que rien ne pouvait désormais plus lui arriver. Et pourtant, après trois années passées en Australie, la jeune Anglaise quitta, du jour au lendemain, le soleil Australien pour retrouver la pluie Londonienne.

≈ Son retour à Londres après 3 ans passés en Australie. ≈
Fin de la parenthèse enchantée, avec un gros désenchantement et un violent retour sur terre. Lorsqu'elle a atterrit à Londres, Alexandra était dans un état émotionnel plus fragile qu'à son départ trois ans plus tôt. Un retour en arrière, un échec, tout à recommencer et à refaire. Un lourd silence autour de son expérience en Australie, une relation avec ses parents des plus tendue, le retour à Londres fut compliqué pour la jeune femme. Sérieuse, disciplinée, elle est devenue la fille idéale, celle que son père avait tant attendu et espéré. Les études en unique but, elle s'enferma dans le travail. Ce qui lui voudra, à cette époque, le surnom de « boulimique de travail ». Peu de vie sociale, peu de loisirs, toute sa vie était consacrée à ses études de journalisme. Pendant plusieurs années, elle n'a vécu que pour sa réussite professionnelle, consacrant l'intégralité de son énergie dans le journalisme sans se laisser le moindre répit. Elle s'interdisait le moindre répit, ne laissant pas à son esprit le temps de souffler. Elle espérait ainsi pouvoir oublier définitivement les épreuves qu'elle avait vécu en Australie.

≈ Son départ définitif d'Angleterre à 29 ans ≈
Le billet en main, le passeport dans l'autre, Alexandra attendait de pouvoir passer les premiers portiques de sécurité. Le regard tournait vers les grandes vitres du hall, elle observait encore un peu sa ville, celle qu'elle s'apprêtait à quitter encore. Quelques larmes commençaient à se former dans le coin de ses yeux, et certaines glissaient déjà le long de ses joues. Beaucoup de pensées se mélangeaient dans son esprit alors qu'elle était décidée à tourner cette page douloureuse. Cette dernière épreuve sonnait comme l'épreuve de trop, et pour supporter, pour survivre et espérer se reconstruire vraiment elle devait s’enfuir. Partir, encore. D'un revers de la main, elle s’essuya les yeux faisant disparaître les traces de sa mélancolie.

« Alexandra. »

Une voix l'interpella, une voix qu'elle connaissait que trop bien, un ton glacial un ton stricte. Elle voulu s'enfuir, passer les premiers contrôles et monter au plus vite dans cet avion avant de s'écrouler. Mais une main serra son bras avec force l'empêchant de bouger, l'obligeant à faire face une nouvelle fois à celui qu'elle tentait de fuir définitivement.

« Je te préviens, si tu pars, cette fois c'est définitif. Je ne serais pas là si tu reviens épave dans trois ans. »

« Mais plus rien ne me retiens ici, et c'est à cause à toi. Tu as détruis tout ce qu'il me restait, alors je vais partir et je sais que je ne reviendrais pas ici. C'est la dernière fois que tu me vois, cette fois c'est définitif, je ne pourrais jamais te pardonner ce que tu as fais. Tu n'existes plus à mes yeux et je serais soulagée si tu pouvais m'oublier totalement. Je veux vivre, libre, juste vivre. Mais toi tu détruis tout les gens autour de toi. Tu es nocif ! Tu es dangereux ! Tu es malsain ! Alors oublies moi,oublies mon existence. Laisse moi partir pour vivre ma vie, parce que si je reste là, je finirais comme maman et je te ferais pas ce plaisir. »

Dans un mouvement de colère, Alex avait réussit à se dégager de son étreinte, à se libérer physiquement de son père. Les larmes ruisselaient abondamment sur son visage laissant des traces de maquillages sur leurs passages. Elle avait souvent vécu des confrontations verbales avec son père, mais cette fois, elle savait que c'était la dernière. La dernière fois ou elle se disputerait avec lui. La dernière fois ou elle verrait son père. Le dernier contact avec son paternel.

« Alexandra, je suis désolé. »

« Je te déteste. »

Ce fut les derniers mots qu'elle prononça à son père, ses derniers mots sur le sol Anglais avant de s'envoler pour l'Australie, une nouvelle fois, comme un air de déjà-vu, pour un nouveau départ, encore.

Le joueur derrière l'écran

Sur le net, on m'appelle Mogoonerette ou Mogooner ou juste Mo', mais appelez-moi Morgane. J'ai 27 ans, et je viens de Franche Comté, quelque part dans l'EST de la France pas très très loin de la Suisse.. J'ai découvert 30YSY grâce à un répertoire de forum rpg, et j'ai cédé à m'inscrire parce que j'ai été séduite par le design, le contexte, et l'accueil. Malgré mon emploi du temps chargé, je pourrai tout de même être présent(e) de sur 4 jours dans la semaine en grosse présence, et en fonction de mes activités présence en week-end.. Mon personnage est un inventé . Je suis contente de vous rejoindre dans l'aventure et en espérant une belle aventure en rp avec vous !.

Code:: <pris>Elizabeth Olsen ≈</pris> Alex Clarke

Il était une fois, mon histoire

"Les souvenirs ne sont en général, jamais exempts de souffrance." Gao Xingjian

----Il pleut énormément ce jour là à Londres, rien de bien inhabituel en soit. Ma main se pose sur la poignet de la porte d'entrée, j'entre doucement avec l'espoir de rejoindre ma chambre sans me faire remarquer. Mon corps n'a pas encore franchit entièrement le seuil de la maison familiale que j'entends déjà mon père m'interpeller. J'ai déjà vécu cette scène, trop souvent, pour pouvoir en être étonnée. Les épaules relevées, la tête haute, je m'apprête à faire face à mon père. Je sens la haine qui monte en moi quand je le vois débarquer dans l'entrée. Tout en lui me dégoûte. A commencer par son costume trois pièces toujours nickel, l'importance de l'apparence, toujours. Avec lui ce n'est qu'apparence, la vérité n'importe peu, c'est ça son monde et je ne peux plus cautionner ses tromperies constantes. Je ne veux plus faire partie de la mascarade, je veux sortir du tableau de la fausse famille parfaite que l'on a jamais été par sa faute. Je me redresse encore un peu, si tant est que cela me soit possible. Je ne veux plus céder face au charisme de l'homme habitué à diriger, commander, et menacer. Mes yeux se fixent aux siens, je ne baisserais pas les yeux père, cette fois c'est le moment ou jamais. Le moment ou je m'affirme.

« Alexandra ! Comptes-tu un jour arrêter tes enfantillages et te comporter en adulte ? J'ai une réputation à tenir, le divorce est déjà compliqué et tu ne me facilites pas la tâche. »

« Mais j'ai rien demandé moi. J'ai dix-huit ans et j'en ai marre de devoir répondre à toutes vos attentes. Je m'en fous que mon père soit un personnage publique, je veux juste vivre ma vie. Tu as déjà flingué maman ça ne te suffit pas ? Tu veux aussi me priver de ma vie ? »

« Alexandra Mary Clarke ! Ton insolence est inacceptable. »

Une nouvelle dispute avec mon paternel. Encore des remontrances à mon égard. J'ai dix-huit ans, et notre relation n'est construite que sur des désaccords constants. Lui ne tolère pas mon comportement, moi je ne supporte plus son exigence à toutes épreuves. J'ai dix-huit ans et je veux vivre sans pression, pour une fois dans ma vie. Vivre pour moi.

« Continues de t'occuper de ta carrière et laisse moi. Maman est une épave à cause de toi, alors je ferais tout pour rester hors de ton contrôle. C'est fini, je n'ai plus peur, tu continueras ton petit manège en public tout seul, je ne veux plus être lié à toi. »

« Tant que tu vivras dans cette maison, tu respecteras mes règles et tu me devras le respect. »

« Le respect se mérite Père, et tu as perdu le mien depuis longtemps. Avant je te craignais, mais je ne te respectais pas. Désormais je n'ai plus peur de toi. »

Le lendemain, une valise dans chaque main, je quitte la maison sans me retourner. Je pars pour une autre vie, loin de lui, loin de cette ville, de ce Pays. Je pars pour vivre ma vie ; direction l’Australie.

------------------

---- Il fait jour et chaud dans la pièce et pourtant j'entends la pluie frapper les vitres avec force et fracas. J'ai vingt-et-un ans et je suis seule dans un Pays étranger. Voilà trois ans que j'ai quitté ma famille, mon Pays. Trois ans avec beaucoup de joies, de découvertes, de liberté. Trois ans passés loin du contrôle de mon père et la pression familiale. Trois ans presque parfait jusqu'à ce jour. Mes yeux se posent sur l'horloge électronique accrochée au plafond. J'arrive à distinguer trois chiffres malgré la fatigue extrême que je ressens. Trois chiffres écrits en gros, en rouge qui concentrent mon attention. Quatre heures trente-six de l’après-midi. Ce détail n’a jamais changé au fils des années, c’est fou. Certains souvenirs deviennent flous, certains s’effacent alors que d’autres semblent se modifier par l’effet du temps. Mais, ce détail, l’heure qu’il était ce jour-là quand j’avais posé les yeux sur lui… Ce détail n’a jamais changé. Quatre heures trente-six. Quatre heures trente-six quand j'ai aperçu pour la première fois sa petite tête. Quatre heures trente-six quand j'ai entendu son premier cri, sa première respiration dans ce monde. Il est sûrement un peu plus de quatre heures trente-six quand elles l'emmènent loin de moi. Je l'ai aperçu rapidement dans les bras d'une infirmière quittant la salle d'accouchement, la première et dernière fois ou j'ai vu ce nouveau-né. Il n'est plus quatre heures trente-six quand finalement le calme revient autour de moi, et pourtant ce jour là, le temps semble s'être arrêté sur ces trois chiffres. Le seul détail qu'il me reste de cette journée, c'est une heure et des pleurs. Quatre heures trente-six c'est l'heure de sa naissance, et de mon enfant je n'ai pour seul souvenir qu'un cri, son premier cri. C'est mon choix, et je l'assume mais parfois, dans mon sommeil je rêve d'entendre à nouveau ses pleurs, de l'entendre m'appeler et de le voir débarquer dans mon lit en pleine nuit.

------------------

----« Pourquoi tu m'as abandonné ? »

Je devine ma mère, de dos, assisse sur son lit. La pièce est plongée dans l'obscurité, seules quelques lueurs du jour, traversant les volets abîmés, parviennent jusqu'à moi et éclairent le corps de ma mère. Elle porte sa dernière tenue, celle dans laquelle nous l'avons enterré quelques mois plus tôt. Je n'ose pas bouger, je suis figée sur place. Assistant malgré moi à cette scène. Je suis prisonnière de mon propre corps, incapable de contrôler quoique ce soit. Je sens ma poitrine qui se lève et se rabaisse dans un rythme bien trop rapide, je cherche de l'air. Je suffoque, je veux bouger, mais je suis paralysée debout face à ma mère décédée. Je sens mon corps trembler, mes muscles qui se contractent, mais je ne suis responsable d'aucun de ces mouvements. Je ne sais pas si je dois courir vers elle ou fermer les yeux et fuir. Je ne sais pas comment réagir, et de toute façon j'en suis tout bonnement incapable. Incapable de réagir. Je vois le corps de ma mère qui s'agite, ses longs cheveux bougent laissant entrevoir sa nuque et les marques de la corde qui ont conduit à sa mort par strangulation. Je frisonne encore.

« Pourquoi tu m'as abandonné ? »

La voix ne provient pas de ma mère mais je ne vois rien d'autres que son dos et les traces sur sa nuque. Son corps finit par se mouvoir, et je scrute le moindre de ses mouvements. Je ne comprends pas ce qu'il m'arrive, je ne comprends pas ce qu'il se déroule devant mes yeux impuissants. Lentement, comme au ralenti, elle se tourne vers moi, je vois son visage. Livide, sans expressions. Mon regard se détourne du visage sans vie de ma mère et je remarque, dans ses bras, une petite forme. Mon corps s'avance, s'approche. Et sans que j'en ai conscience, je suis à portée de mains de ma mère et de cette petite forme que je distingue sur elle.

« Pourquoi tu nous as abandonné ? »

Ma mère soulève la couverture qu'elle tient dans ses bras, et devant mes yeux, se tient un nouveau-né sans visage. Je ferme les yeux, pour effacer cette vision, je veux partir mais je suis clouée au sol. Coincée face à ma mère morte et au bébé que j'ai abandonné. Je veux hurler mais aucun son ne sort de ma bouche. Et c'est là que je les entends, ses pleurs.

------------------

---- Je me réveille en sursaut, dans cette chambre d'hôtel. Encore des cauchemars, encore des visions. Quand la réalité et la fiction se rejoignent dans mes rêves. Quand les souvenirs d'une vie, d'un passé, s'emmêlent et s'amusent à venir hanter vos nuits ; c'est toute une vie qui s'en retrouve affectée. J'ai vingt-neuf ans, un travail qui me plaît et une situation financière saine. Je me suis libérée de la pression paternelle. Et, pourtant, je dois vivre avec mon passé, je dois faire le deuil de mes pertes pour avancer et vivre, juste vivre. Je suis de retour dans ce Pays ou j'ai vécu mes plus belles années, mais aussi l'une des épreuves les plus dures de ma vie. Mais j'ai besoin d'être ici, de pouvoir tourner cette page pour en écrire d'autres. J'ai vint-neuf ans, un passé dont je ne suis pas toujours fière mais j'ai enfin l'envie de vivre pour moi et de faire la paix avec mon passé pour me libérer de mes démons. Je regarde le cadran posé sur la table basse près de mon lit, désespérée par ce nouveau réveil impromptu et perturbée par ces rêves. Trois chiffres s'affichent sur l'écran. Quatre heures trente-six. C'est que le destin est salaud parfois.

When I first saw you, I saw love ☽ You're still the one I run to, the one that I belong to. You're still the one I want for life. You're still the one that I love. The only one I dream of. You're still the one I kiss good night.

"Whoever told you that life would be easy. I promise that person was lyin' to you" Aezh

Bienvenue parmi nous, ma soeur, je suis super contente de te voir tenter le scénario ! :l:

"Whoever told you that life would be easy. I promise that person was lyin' to you" 206649278

"Whoever told you that life would be easy. I promise that person was lyin' to you" 1484806105

Bonne rédaction, je t'espionnerai sans arrêt. "Whoever told you that life would be easy. I promise that person was lyin' to you" 2390413160

Ill and doomed

King raccoon ☽ Let's pick the truth that we believe in like a bad religion, tell me all your original sins. So many questionable choices. We love the sound that our voice makes. Man, this echo chamber's getting loud. Let's just watch the world burn, thinking about each other.

Invité Invité

Bienvenue officiellement. "Whoever told you that life would be easy. I promise that person was lyin' to you" 1949770018

Invité Invité

bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche
lizzie est magnifique

Invité Invité

Bienvenue a toi "Whoever told you that life would be easy. I promise that person was lyin' to you" 873483867

Bienv'nue à toi ^^

you and i — i have galaxies hidden between my bones and i will love you until the stars burn out

Invité Invité

Bienvenue ici "Whoever told you that life would be easy. I promise that person was lyin' to you" 674657830

Elizabeth Olsen cette beauté "Whoever told you that life would be easy. I promise that person was lyin' to you" 674657830

Invité Invité

J'ai rencontré ton frère en prison, peut-être qu'on pourrait être copines ? "Whoever told you that life would be easy. I promise that person was lyin' to you" 3217047551

"Whoever told you that life would be easy. I promise that person was lyin' to you" 3217047551

Trêve de plaisanterie, j'ai pas assez lu de trucs pour me faire une idée de ton personnage mais vu que tu es la sœur de @Joseph Keegan, tu vas forcément être plus que fabuleuse. "Whoever told you that life would be easy. I promise that person was lyin' to you" 1017170121

"Whoever told you that life would be easy. I promise that person was lyin' to you" 1017170121

Bon courage pour la rédaction de ta fiche ! "Whoever told you that life would be easy. I promise that person was lyin' to you" 3518815507

Bienvenue sur le forum :l:

:

J'adore le "statut social" Razz

bienvenue ma jolie !! Tu vas bien t'amuser avec Joseph !! "Whoever told you that life would be easy. I promise that person was lyin' to you" 1949770018

please picture me in the weeds. before i learnt civility i used to scream ferociously any time i wanted.

:

Invité Invité

Bienvenue

LIZZIE

"Whoever told you that life would be easy. I promise that person was lyin' to you" 224775235

Bienvenue ici ! Courage et inspiration pour la fin de ta rédaction "Whoever told you that life would be easy. I promise that person was lyin' to you" 1949770018

Si tu as la moindre question, n'hésite pas surtout :rainbow:

"Whoever told you that life would be easy. I promise that person was lyin' to you" 1031338396

you can let it go, you can throw a party full of everyone you know, and not invite your family cause they never showed you love, you don't have to be sorry for leaving and growing up.