“Aimer, désirer, c'est aussi souffrir, et être prêt à recommencer ...” (nieves)

Nieves del Pino

« Una es más auténtica, mientras más se parece a lo que soñó de sí misma. » - Pedro Almodóvar

Pièce d'identité

NOM ≈ del Pino - nom très connu en Espagne, présent sur toutes les lèvres des plus grands pontes. Soufflé cependant en Australie, avec la ferme intention d'en avoir une popularité similaire PRÉNOM(S) ≈ Nieves - prénom qui ne s'accorde pas avec le temps chaleureux où est née celle qui le porte avec fierté. Pilar, grand-mère paternelle. Dolores, grand-mère maternelle. Une tradition ancrée dans les sens et dans le sang ÂGE ≈ 25 ans - née le 09.11.1998. LIEU DE NAISSANCE ≈ Madrid. STATUT SOCIAL ≈ célibataire - mais Rafael (le père) compte bien un jour marier sa fille unique, un brin trop libertaire. MÉTIER ≈ étudiante à la Griffith University - cursus artistique. Au moins papá, lui laisse faire quelque chose qu'elle aime. C'est déjà ça. Même si c'est toujours lui, qui paye le minerval chaque année ORIENTATION SEXUELLE ≈ Seules les mâchoires bien dessinées et les muscles appartenant aux beaux Adonis, sont susceptibles de la faire chavirer. GROUPE ≈ Au secours, j'ai 30 ans. AVATAR CHOISI ≈ réponse ici. CREDITS GIFS ≈ Tumblr.

Les informations en vrac

Petite enfant de riche qui prétend avoir tout vu et tout vécu. Dont la montagne de caprices s'est toujours vue être exaucée sans sourciller. Une mère absente, un père bien trop investi dans le capital de sa société pour prétendre éduquer son petit joyau brut et une succession de gouvernantes qui eurent tôt fait d'être bien plus maternelles que la mère elle-même ≈ Dû à une éducation stricte et faite à la maison ou dans des écoles élitistes privées, Nieves est froide au premier abord. C’est sa manière à elle de se protéger. Elle, qui ne laisse personne ou presque s'approcher. C'est un peu, une question de survie en société. Elle aura toujours cette préférence d'écouter plutôt que de parler ≈ Fuir un engagement trop certain ou une mise en couple bien trop rapide à son goût, est devenu un sacré leitmotiv pour l'espagnole. Un genre d'escape game amoureux ≈ En plus d'exprimer haut et fort à qui veut l'entendre que tout lui est dû, la blonde déteste qu'on en vienne à lui donner des ordres. C'est un acte qui la met clairement en rogne. Et si ... même son père n'y parvient pas, alors le reste ? ≈ Sous une couche bien ancrée d'un mauvais caractère, se terre tout de même une personne généreuse et altruiste. Pour ceux et celles, qui en vaudraient la peine. Et, tout comme ces actes teintés de philanthropie, ils sont rares. Même si donner de l'argent à une œuvre caritative, -il faut que celle-ci soit en adéquation avec ses valeurs-, est de ce fait plus qu'envisageable ≈ Nieves, est douée dans tout ce qu'elle entreprend. Car, c'est ce qu'on lui appris depuis qu'elle est née. C'est ainsi, qu'elle se trouve être une polyglotte accomplie : anglais, italien, français et du russe. Non sans oublier les langues asiatiques qui sont un prétexte pour un voyage futur au Japon ou en Corée du Sud ≈ Si son choix d'études s'est porté sur l'Art en particulier, c'est parce que l'un de ses ancêtres en a fait commerce. Et, qu'au fond d'elle-même, elle a toujours aimé ça. Rester des heures à contempler un tableau de maître est devenu une vocation ≈ Sportive aguerrie, et toujours dans une envie perpétuelle de se challenger, la maxime 'un esprit sain dans un corps sain', lui sied à merveille. Pas de cigarette, pas de drogue. Une alimentation surveillée au gramme près ≈ Bien évidemment, la madrilène se sait belle, c'est indéniable. Et son corps, lui a permis quelques fois de parvenir à ses fins. Mais sans exagération. Elle a bien trop d'amour-propre ≈ L'argent n'est clairement pas un problème et elle parvient à le dépenser sans compter. Une succession d'items pour combler ce quelque chose, que malgré elle, elle ne parvient pas à identifier ≈ Sous le masque de la jolie poupée parfaite, il y a quelques ombres. Parce qu'il faut plus. Toujours plus. Acquérir. Dépenser. Assimiler. Pour se sentir désirée et aimée. Car l'argent achète l'amour. C'est bien comme cela, que ça fonctionne, non ?

Le joueur derrière l'écran

Sur le net, on m'appelle Paddy, mais appelez-moi Louise. J'ai une petite trentaine, et je viens de Belgique - là où se trouvent les meilleures frites ! Pourquoi on appelle ça french fries ? Vous avez quatre heures. J'ai découvert 30YSY grâce à Internet - Google est mon ami, et j'ai cédé à m'inscrire parce que ça faisait un moment que je n'avais pas écrit et je pense qu'ici, c'est l'endroit parfait ! :l:

. Pour me faire ma place, j'ai BESOIN d'un parrain ou d'une marraine. Malgré mon emploi du temps chargé, je pourrai tout de même être présent(e) fin de semaine. Mon personnage est un INVENTÉ . Je suis content(e) de vous rejoindre dans l'aventure et il est beau ! Il est rempli de jolies couleurs ! “Aimer, désirer, c'est aussi souffrir, et être prêt à recommencer ...” (nieves) 199959295

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Il était une fois, mon histoire

« Une femme est authentique quand elle ressemble à l'image qu'elle a rêvée d'elle-même. » - Pedro Almodóvar

Certains et certaines disent que j'aurais déjà plusieurs vies à mon actif ... mais une seule, ça me semble être déjà assez suffisant. C'est l'effet 'nanti', ça. Enfin, je crois bien.

Pourtant, je suis née seulement au mois de novembre, dans un pays qui n'a de cesse d'être ensoleillé. Le genre de destination de vacances idéales, pour ceux et celles qui veulent s'enthousiasmer de la gastronomie et de la richesse architecturale qui composent mon pays. Pays, dont mon père a voulu lui faire un pied de nez en me prénommant Nieves. Un phénomène météorologique qui ne survient pas souvent en Espagne, croyez-moi. Mais, il a semble-t-il voulu se rendre intéressant, sans en consulter ma 'mère'. Au terme 'mère', j'y mets néanmoins de gros guillemets. Parce que ... bien qu'elle m'ait donné la vie, je ne sais rien d'elle. Je ne l'ai jamais vue ailleurs que dans son lit, entourée de machines et de médecins, des spécialistes venus des quatre coins d'Espagne pour soigner un Mal, qui, j'en étais certaine, n'existait pas vraiment.

Ce Mal, il serait survenu à l'instant même où je faisais partie de cet univers. Alors, enfant, j'étais interdite de lui rendre visite ou même de lui parler, -ce qui expliquait probablement en partie ; pourquoi je ne savais rien d'elle-, servie essentiellement par des gouvernantes engagées pour satisfaire tous mes caprices. Ces mêmes gouvernantes, je me surprenais même à les surnommer mamá, ce que mon père, malgré tout ce qui pouvait se passer entre les quatre murs de notre villa, n'appréciait que moyennement. En même temps, elle était là, la vérité. Lourdes et Paloma, avaient fait mon éducation. Elles étaient une étape importante dans la construction de mon existence. Même si mon existence, elle ne se résumait qu'à des écoles élitistes, des enseignements à la maison et des camarades que je ne côtoyais généralement pas.

Solitaire, plus par habitude que par une envie réelle de l'être, de toute façon. Mais, au vu d'un regard extérieur, je ne me liais pas d'amitié avec les autres. Je ne leur accordais que bien peu de crédit. Mon père m'ayant surtout appris à reconnaître les opportunistes, ceux qui en auraient après notre fortune. Celle, qu'il avait réussi à faire fructifier à la sueur de son front, sans aide. Même si ma mère, était la digne héritière d'une marque de joaillerie, elle aussi espagnole. Rencontrée sur les bancs de la faculté de Madrid, là où ils s'étaient alors mis en couple et plus jamais quittés. Peut-être que ma génitrice avait été la petite impulsion bienvenue dans la réussite de mon père ? Certainement.

Or, il se gardait bien de le dire ça. Que sa femme, qui était à la limite de la folie était la principale garante de son succès. Même si notre nom de famille, était présent sur toutes les lèvres des plus grands pontes d'Espagne. Toutefois, mon cher géniteur voulait encore étendre son Empire, et ce, dans un autre pays. À l'opposé total du nôtre. Là, où mes habitudes s'en trouveraient plus que chamboulées. Vous savez le cliché où un riche homme d'affaires s'empare d'un globe terrestre, ferme les yeux et pointe de l'index une destination fortuite ? C'est exactement, ce qui est arrivé ce jour-là. Note, qu'il y avait deux options, tout de même : la Nouvelle-Zélande ou l'Australie.

Et ... si je me mets à fouler de mes talons hauts le sol de la deuxième option, c'est bien parce qu'elle a remporté l'adhésion. Sauf que je suis seule. Je suis là, pour tâter le terrain, avant que mon père et ma mère ne me rejoignent un jour prochain. Si en plus, j'ai opté pour des études en adéquation avec l'une de mes illustres ancêtres, c'était bien parce qu'il y avait une raison. Au milieu de cet arbre aux branches quelques peu pourries, -c'est mon point de vue ; il ne changera pas-, officiait une peintre qui avait fait commerce de ses œuvres, le siècle passé. Ça rejoignait aussi le fait que, petite, j'adorais tout ce qui touchait de près ou de loin à l'expression artistique.

Je suis arrivée à Brisbane, à l'âge de dix-huit ans, pour entamer ce cursus qui me plaisait tant. Et devinez quoi ? J'en ai vingt-cinq aujourd'hui et je suis toujours en train de tâter le terrain, pour mon père et ma mère. Mon père ne se gênant aucunement de vouloir me fiancer à un total inconnu (à distance ?!), alors qu'il est, -sérieusement-, à presque dix-huit mille kilomètres de là, cet abruti. Il désespère de me trouver un bon parti, parce que je refuse toutes ses entourloupes. J'ai été à bonne école, ça va sans dire.

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Bienvenue ici et excellent choix de Fc !

Fallen Angel

But it's not the fact that you kissed him yesterday It's the feeling of betrayal, that I just can't seem to shake. And everything I know tells me that I should walk away. But I just want to stay

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always had high, high hopes

Had to have high, high hopes for a living, Shooting for the stars when I couldn't make a killing, Didn't have a dime but I always had a vision, Always had high, high hopes Had to have high, high hopes for a living, didn't know how but I always had a feeling I was gonna be that one in a million-byendlesslove

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la jolie ester :l:

bienvenue par ici j'ai hâte d'en apprendre plus sur ton personnage “Aimer, désirer, c'est aussi souffrir, et être prêt à recommencer ...” (nieves) 613854477

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If you wanna gothen I'll be so lonely

️ EXORDIUM.

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do you still remember feeling young and strong enough to get it wrong in front of all these people ?

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Ce que je lis de ton début de fiche me donne trop envie d'en savoir davantage sur ta dame “Aimer, désirer, c'est aussi souffrir, et être prêt à recommencer ...” (nieves) 2954228499

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Bienvenue parmi nous ! Bonne fin de rédaction “Aimer, désirer, c'est aussi souffrir, et être prêt à recommencer ...” (nieves) 1949770018

you can let it go, you can throw a party full of everyone you know, and not invite your family cause they never showed you love, you don't have to be sorry for leaving and growing up.

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