elena › so i heard the bad news, nobody likes me and i'm gonna die alone in my bedroom

elena esteves

Petite citation qui représente ton perso'

Pièce d'identité

NOM ≈ le bien maudit esteves, celui de son père le raté, de sa mère l'artiste déchue, de sa soeur avec laquelle on la confond tout le temps ; c'est son nom, pourtant, son héritage, et maintenant celui de quelqu'un d'autre, alors elle peut au moins essayer de le chérir. PRÉNOM(S) ≈ elena joana, mémorable tant c'est bateau. ÂGE ≈ 28 ans, l'aînée du duo né le 19 janvier 1995, sa plus grande (et seule) fierté. LIEU DE NAISSANCE ≈ née dans le très joli, très chiant et très bien gardé quartier de morumbi, sao paulo. elle est rarement descendue de son quartier de riches avant d'être suffisamment grande pour s'intéresser à autre chose. STATUT SOCIAL ≈ mariée deux fois à la même personne, elles pensent en faire une récurrence annuelle. MÉTIER ≈ spécialisée en psychologie et négociations pour la cellule epsilon, derrière une devanture de flique gratte-papier affiliée à un tribunal. ORIENTATION SEXUELLE ≈ lesbienne, elle a déjà tenté avec un bon pote et ça a duré deux minutes avant qu'ils ne soient envahis de dégoût tous les deux. GROUPE ≈ au secours, j'ai 30 ans. AVATAR CHOISI ≈ alba baptista CREDITS GIFS ≈ 1) perfectdisaster, 2) simplykorra.

Les informations en vrac

il y a des histoires autrement plus tragiques, des accidents foutrement plus cons ; s'être pété les tympans sur un coup de feu lâché par erreur par un collègue lors d'une intervention, c'est le genre de trucs qui n'en jette pas trop. cinq ans qu'elena paie au travers d'un appareil auditif à la con. elle a été promptement mise à pied, et n’est jamais retournée sur le terrain par souci de santé ; un détail face à la honte d'une différence qu'elle assume bien mal, somme toute. ≈ avoir grandi dans un quartier riche a considérablement limité son accès au reste du monde, mais aussi à ses propres parents : papa absentéiste, maman workaholic, c'est la nounou qui a élevé les jumelles pendant leurs premières années et la jeune femme n'a jamais tant connu d'amour familial digne de ce nom. si elle s'écoute, c'est dina, qui a tout pris : dina qui a capturé l'attention maternelle, dina qui s'est pliée aux exigences pour être la fille parfaite, quand elena a été mise de côté et laissée pour compte avec un père qui rentrait bourré et lui faisait réchauffer des takeouts huileux. elena, elle en a longtemps voulu à sa soeur, d'avoir été préférée alors qu'elles étaient censées être similaires en tout point ; l'âge lui apporte un autre point de vue, pourtant, lui rappelle de façon distante qu'elle a été cassée d'une manière différente, et peut-être moins grave que les brisures de dina ne l'ont été. ≈ ses parents l'aiment plus fort que tout, à leur manière bien à eux ; papa lui demande de l'argent quand ça va pas et lui envoie des selfies de son triple menton sur snapchat, maman lui vire une jolie somme chaque mois pour lui rappeler qu'elle compte aussi, juste un peu moins, ou peut-être pas pareil. ils ont été aussi durs que fantômes avec elle, et pourtant elle crève d'envie de leur plaire, d'être à la hauteur d'une échelle invisible, d'être la fille parfaite qui les protégera envers et contre tout. au final, même ça, elle le rate coup sur coup, infoutue de prendre soin de quiconque sinon elle-même et même sur ce plan, c'est encore bancal. ≈ elle rencontre victoria à vingt ans à peine et elle tombe amoureuse comme on tombe du dixième étage, comme on se fait percuter par un bus : elle s'en retrouve complètement retournée, au mépris du fait que la jeune femme a déjà quelqu'un dans sa vie. elles se lancent à corps perdu, s'aiment maladroitement mais de toutes leurs forces, tombent d'encore plus haut quand les tromperies de victoria s'apprennent et qu'elena riposte avec les siennes. elles se fracassent irrémédiablement après cinq ans de souffrance, de trop-plein d'amour, d'une maladresse devenue trop malsaine. elena ne s'en remet jamais vraiment, n'essaie que vaguement : elle ne se voit pas ailleurs, ne sait se projeter autrement qu'avec elle, la garde dans sa vie et tout près de son coeur. elle essaie de passer à la suite, pourtant, ou tente maladroitement de se changer les idées : elle a enchaîné dans une relation-désastre avec une phobique de l'engagement, a tout donné pour finir par trop en faire. elena ne se connaît plus dans la mesure et la sincérité, donne dans la surprotection et la surenchère. elle fait de son mieux pour tourner la page, pourtant, occultant soigneusement le fait que garder une telle proximité avec son ex n'est qu'un refus d'obstacle de plus et l'aveu d'un profond manque de volonté à l'oublier pour se guérir loin d'elle. preuve en est : c'est vers victoria, qu'elle se tourne quand rien d'autre ne va plus, c'est elle qu'elle veut épouser, et c'est ce qu'elles décident de faire au mépris de la patience, encore au début de la route vers le pardon mutuel. ≈ gamine souvent enfermée chez elle dans l’enfance, elena a développé un attrait tout particulier pour l’art et l’évasion dès qu’elle a réussi à s’envoler du nid : elle apprécie autant l’art urbain que le théâtre, peu formée pourtant aux romans ou la poésie qui lui demeurent étrangers ; elle comprend mal la musique classique mais ne l’en aime pas moins. son amour le plus grand se trouve pourtant dans la peinture, qui suscite chez elle toute une palette d’émotions qu’elle n’a pas eu l’occasion de développer autrement. les coups de pinceaux lui plaisent, sans qu’elle ne soit capable d’en être l’inquisitrice, et elle a tendance à balancer son argent un peu trop facilement pour chaque toile qui l’émeut un tant soit peu. ≈ ego sur-enflé en réaction défensive au manque d'attention parental, elena se plaît à dire qu'elle s'est construite toute seule et sans leur aide - elle en pâtit pourtant, souffre secrètement de son manque d'éducation qu'elle trouve pénalisant, sinon rabaissant. elle prend facilement en grippe quiconque lui fait ressentir d'une façon ou d'une autre son inculture, se braque trop face à ce qu'elle ne comprend pas. ≈ à défaut d'avoir fait de longues études, elena est extrêmement débrouillarde et se plaît à dire qu'elle survivrait même seule avec sa bite et son couteau. d'autres bruits de couloir racontent qu'elle vire à la paranoïa la plus totale au premier rhume qui passe : elle compte tant sur son corps qu'elle se rend malade à l'idée qu'il la lâche, s’astreint à un rythme sportif draconien et se nourrit davantage aux vitamines et probiotiques divers qu’à la bonne bouffe. elle s’en rend hypocondriaque, surveillant parfaitement toute métrique corporelle au jour près, incapable de lâcher prise. il n’y a que l’alcool et les stupéfiants qui échappent à sa vigilance, et elle en trace scrupuleusement les effets, par peur de rejouer les schémas parentaux, de perdre le contrôle le plus complet sur la seule chose qu'elle maîtrise vraiment : son corps. ≈ l'appareil auditif qu'elle porte, elle le charrie comme on porte un vieux chien qui tient pas debout tout seul : avec une résolution ferme, un regard un peu honteux mais une espèce d'affection qui s'assume pas. elle évite autant d'en parler que de montrer qu'elle en porte ; le débranche, souvent, pour avoir la paix, autrefois si amoureuse du bruit et de l'énergie du monde. elle ne supporte plus les sons trop forts, elena, et apprend à se connecter à la nature, au monde, et surtout à son bruit intérieur, tout malsain et malfoutu soit-il. ≈ fascinée par les babioles, elena possède une armada affolante de grigris de ses voyages, de pierres semi-précieuses qu'elle garde dans ses poches et entrechoque constamment, d'outils de survie dont elle n'aura jamais aucune utilité. mais elle les embarque toujours, rien qu'au cas où, avec leurs histoires respectives et un bout d'elle-même dont elle se raccroche désespérément, effrayée de devenir cette femme sans avenir ni motivation qu'elle déteste un peu plus à chaque jour qui passe.

Le joueur derrière l'écran

Sur le net, on m'appelle princesse mononoprix, mais appelez-moi princesse, si vous y tenez.... J'ai 26 ANS, et je viens de fronce. J'ai découvert 30YSY grâce à mon dc, mac, et j'ai cédé à m'inscrire parce que le clan esteves était trop vide, et y a jamais trop d'alba baptista, i guess. Pour me faire ma place, j'ai pAS BESOIN d'un parrain ou d'une marraine. Malgré mon emploi du temps chargé, je pourrai tout de même être présent(e) assez fréquemment, bien que moins pour le rp. Mon personnage est un INVENTÉ en collab avec @dina esteves et @margot imani. Je suis content(e) de vous rejoindre dans l'aventure et sidenote, j'ai l'accord de la og elena pour le prénom - et comme c'est pas un mot d'amour, j'ajoute ici que kiss kiss coeur love elena › so i heard the bad news, nobody likes me and i'm gonna die alone in my bedroom 2523491165

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Il était une fois, mon histoire

Petite citation qui illustre ton histoire

2000 - "C'est sûrement rien, juste une formalité à régler." Qu'il a l'air bizarre, Papa, avec ses cheveux blonds gominés et ses mots vagues qui veulent rien dire ; on dirait un infiltré qui parle à la gamine qu'elle est sans la connaître, potentiellement dans le but de l'enlever, et c'est tout ce à quoi Elena arrive à penser alors que la porte de bureau reste désespérément fermée sur Miranda et Dina, que le responsable a fait entrer sans considérer la deuxième moitié de la famille. Elena le sait déjà : le rôle, il ira uniquement à Dina ; elle , elle a été nulle, maman s'en était doutée et elle ne s'est pas attardée à réconforter sa fille aînée. Pendant la semaine qui a suivi l'audition, elle n'a cessé de se répéter ce qu'elle aurait dû mieux faire pour que maman soit contente ; une semaine sans dormir et les paupières sont aussi lourdes que le coeur. A côté de son siège, papa lui donne une petite tape sur l'épaule, visiblement bien décidé à maintenir son rôle d'inconnu sur le point d'embarquer une gosse qui n'est pas à lui ; elle le sent confus mais résigné, parce qu'il n'a jamais compris les enjeux, et surtout ils n'ont jamais pesé sur lui, et pourtant elle aimerait le croire. "Et puis, c'est peut-être pas plus mal, si ça ne marche pas, tu sais." Elena se demande en quoi.

2004-2012 - Le départ en Australie n'est qu'un échec de plus ; Morumbi lui manque, et même Los Angeles qui la débectait semblait plus familière que cet autre coin du globe duquel elle ne veut rien. La famille de papa est sympa, mais eux aussi, ils ont cette habitude de taper distraitement son épaule quand elle est triste, et rien chez eux ne lui rappelle ses propres racines. Elena n'a que neuf ans quand elle commence à subir les conséquences de l'échec scolaire et du décrochage, juste après l'échec familial et la trahison qu'elle a l'impression d'avoir fait subir à sa mère en choisissant un parent présent et une vie normale. Ca ne dure pas, non plus : papa est de plus en plus absent, l'oublie à l'école ou chez mamie, lui fait tenir le fort quand il est trop bourré pour se rappeler son propre nom. Parfois, il la laisse gérer entre deux désintox, mais elle n'est jamais véritablement seule : il y a toujours une de ses copines pour utiliser la salle de bains et le frigo. Il y aura Dina, aussi, qui viendra retrouver leur cocon pour terminer dans une chambre dépouillée de toute personnalité où sa soeur a fait dibs sur le lit du haut depuis bien longtemps. Elena fugue plusieurs fois, retourne à Morumbi pendant plusieurs semaines pour retrouver les siens et se décharger un peu des fardeaux qui lui pèsent.

2012 - Le constat scolaire est alarmant : Elena n'est douée dans rien, n'a envie de rien ; ses passions se limitent à hacker 2-3 petits trucs et à le faire mal, ses notes en souffrent et demander à sa soeur de se faire passer pour elle aux rattrapages ne marche que quelques fois sous des menaces peu crédibles (mais très menaçantes). Elena a 16 ans quand elle s'intéresse à l'armée ; 16 ans et demi quand elle envoie un dossier. Elle rejoint à 17 ans tout pile l'Australian Defence Force, davantage dans une tentative de fuite en avant que par réelle envie. L'Armée de Terre la forme jusqu'à l'intégrer dans la division toute nouvelle de gestion du cyberespace et des sources de renseignement ouvertes (OSINT, HUMINT), et ce n'est que là qu'Elena se découvre une passion et, surtout, un talent pour quelque chose. Non qu'elle en parle à maman pour autant : ce sont des choses pour plus tard, et peut-être pour jamais.

2015 - Le retour à la vie civile se fait en grandes pompes ; Elena a besoin de retrouver les siens, de retourner à une vie qu'elle espère plus sympa que dans ses souvenirs. Après un an passé à Morumbi, la jeune femme passe ses concours d'entrée dans la police de Brisbane : un passage décevant dans une section sous-financée dédiée à la recherche sur sources ouvertes et fermées, où elle se sent plus comme gratte-papier suite à l'accident que comme un réel appui aux forces sur le terrain. Elle rencontre pourtant Victoria, qu'elle manque de faire passer sous ses roues à la première rencontre avant de la recroiser au bureau. Victoria est en couple, depuis longtemps, et ce qui devrait l'arrêter se transforme en une liaison qui dure. Victoria rompt enfin avec son ex pour tenter avec elle, trébuche quelques fois sur le chemin et retourne avec lui. Ce n'est pas grave, se dit Elena, tout se soigne, tout se guérit et si Victoria veut bien la garder, elle fera ce qu'il faut pour panser leurs plaies.

2016 - Le bureau la lasse et la force à se complaire dans un immobilisme qui n'est pas sien ; Elena s'entend dire par son supérieur que l'unité manque de moyens réels pour garder ses récentes embauches. La torpeur et l'immobilisme la bouffent ; elle s'y laisse choir quand la police la redirige vers un boulot de gratte-papier sous-payé dans un tribunal local en vantant ses capacités en recherche informatique.

2017 - Elle peine à se reprendre, passe le concours d'entrée de l'AFP par dépit presque non masqué après cinq mois d'immobilité. Elle passe de justesse, contre toute attente. Un ancien supérieur de l'armée place un bon mot pour elle au MOSC, dans la foulée, et Elena se laisse porter par son bagout et ses exagérations, quitte Brisbane et ses souvenirs pour la cellule de Perth où elle remonte en compétence sur ses apprentissages d'HUMINT. Ses déplacements sont des excuses à des tromperies qu'elle colore sous le filtre de la vengeance et de la déception envers Victoria, qui s'en doute sans jamais la confronter. Le couple sombre au fil du temps, l'ex de Victoria en filigrane entre deux déplacements.
Un an plus tard, le projet Epsilon requiert un profil avancé en psychologie et, tacitement, en manipulation : avec son background et ses connaissances en renseignements, le profil d'Elena ne tombe pas à côté. Retour à Brisbane, où on l'intègre à l'unité en même temps que d'autres recrues.

2019-2021 - Il y a une taupe au sein de la police de Brisbane : la même où Elena a pratiqué en arrière-plan après avoir été privée de terrain. A elle d'élaborer le profil-type de leur intrus tandis que Jackson enfile une identité jetable pour le confronter directement sur le terrain : Esteves se retrouve bloquée dans une impuissance loin du terrain qui la frustre, et elle remet son implication en cause maintes fois. S'ensuit un vide de sens qu'elle noie dans le travail, prenant ses distances avec Victoria pour se focaliser entièrement sur l'affaire, quand bien même elle s'y sente profondément inutile. Elle ne retrouve de sens qu'au retour de Jackson parmi eux, et la détresse qui lui sue par tous les pores, elle s'y raccroche comme à une bouée : elle l'aidera à remonter la pente et, au passage, comprendra peut-être comment gravir la sienne.

2022 - La mission s'achève et leur laisse suffisamment de répit pour que l'adrénaline retombe, et avec elle que les émotions noires reviennent. Nouvelle fuite à Morumbi, tout en sachant que Brisbane n'est qu'à un coup de téléphone : Elena évite sa soeur dont elle est devenue trop distante pour qu'elle comprenne, vogue dans un entre-deux constant avec Victoria depuis une rupture qu'elles ne se donnent pas la peine de réellement vivre, rencontre une femme qu'elle perd aussitôt et en l'absence du maelström quotidien généré par les membres d'Epsilon, tout lui semble vide. Le Brésil la ressource, assez pour la recentrer sur ce qui compte : ses proches. Elle invite Victoria à la rejoindre et la demande en mariage, quitte à ce que tout se construise sur un flou artistique qu'elles ne savent plus éclaircir : elles apprendront ensemble. Son retour à Brisbane se fait plus rapidement que prévu, et elle ne reprend contact qu'avec Dina, toujours trop prompte à disparaître lors de nouvelles missions. A l'image de tout le reste, tout est à reconstruire avec sa jumelle, et Elena n'a jamais eu l'occasion de démêler la rancoeur et la tristesse de ses émotions envers celle-ci.

2023 - Une première piste vient mordre à leur hameçon et la cellule se retrouve immédiatement en branle-bas de combat : cette fois, Elena se sent solidement ancrée dans son rôle, plus sûre sur ses appuis et sur son intégration à Epsilon. Le retour au travail, pourtant, rend l'équilibre avec sa vie personnelle à nouveau précaire : ses absences se répètent et s'accentuent jusqu'à aller aux disparitions de plusieurs jours, entièrement engoncée dans son travail et occupée à étouffer les failles qu'elle sent poindre en elle.

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Re bienvenue chez toi elena › so i heard the bad news, nobody likes me and i'm gonna die alone in my bedroom 206649278

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Est-ce que l'on voit double maintenant ? elena › so i heard the bad news, nobody likes me and i'm gonna die alone in my bedroom 1001340119

Re bienvenue à la maison :l:

(re)bienvenue

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bienvenue de nouveau par ici elena › so i heard the bad news, nobody likes me and i'm gonna die alone in my bedroom 2396639051

Re bienvenue :l:

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Rebienvenue à toi :l:

Tessa

- So cradle your head in your hands. And breathe. ☽ BASTET

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Bienvenue de nouveau par ici avec cette beauté elena › so i heard the bad news, nobody likes me and i'm gonna die alone in my bedroom 199959295

i'm stronger now

Pretending now that we don't care but tension cuts, cuts the air we're more than scared so lost inside our eyes. We're terrified. Letting my fears show 'til I can face 'em. Letting my tears go 'til I can taste them hell, what do I know where you and I go? Damn it, I hope you come back home..

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(Re) bienvenue ici. I love you

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Spoiler:

Rebienvenue à toi :l:

hâte de voir ce que vous allez nous trafiquer avec ces deux-là :OO:

always had high, high hopes

Had to have high, high hopes for a living, Shooting for the stars when I couldn't make a killing, Didn't have a dime but I always had a vision, Always had high, high hopes Had to have high, high hopes for a living, didn't know how but I always had a feeling I was gonna be that one in a million-byendlesslove

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