max ▲ sunday with a flu

(#) Sujet: max ▲ sunday with a flu Dim 12 Mar 2023 - 18:13

Max Novak

Missed my bus in the pouring rain

Pièce d'identité

NOM ≈ Novak, nom de jeune fille de sa mère. PRÉNOM(S) ≈ Max, simplement Max, en dépit de toutes les idées saugrenues de prénoms qui peuvent en découler. ÂGE ≈ Né le 13 décembre 1991, il fêtera en fin d’année ses 32 ans. LIEU DE NAISSANCE ≈ Brisbane, Queensland. Son terrain de jeu. STATUT SOCIAL ≈ Célibataire. Il batifole sans réel intérêt. MÉTIER ≈ Avocat en droit des mineurs officiellement, contrefacteur associé au Epsilon Project (PSI) officieusement. ORIENTATION SEXUELLE ≈ Hétérosexuelle. GROUPE ≈ 30 ans sinon rien. AVATAR CHOISI ≈ Darren Barnet. CREDITS GIFS ≈ emmanelson, charlievveasley.

Les informations en vrac

“Ton t-shirt est à l’envers” ∆ phrase prononcée à d’innombrables reprises, tant que j’aurais pu m’en fouler le nerf oculaire à force d’en lever les yeux au Ciel à son écoute, lors de ma scolarité en primaire. La vérité était que je savais très bien enfiler un haut à l’endroit sauf que ceux-ci provenaient de friperies ou de dons de personnes du quartier et bien souvent, honnêtement, je préférais une couleur unie plutôt que les dessins qui y figuraient.

“Fils à maman” ∆ complètement faux mais mes camarades de classe ont rien trouvé de mieux pour souligner le fait que mon père n’a jamais été présent dans ma vie. Spoiler alert : il ne l’a jamais été et ne le sera probablement jamais.

“Lâche ton bouquin” ∆ petit rat de bibliothèque, il est impossible de me trouver sans plusieurs livres à proximité. Je ne les garde jamais après les avoir terminés, néanmoins, épris du désir de partager mes lectures. Si je ne les offre pas à différentes associations, je les laisse dans la petite bibliothèque en libre-service que j’ai installée avec l’accord du propriétaire devant mon immeuble résidentiel. Gamin, je rêvais d’être libraire.

“Plus d’un tour dans son sac” ∆ d’une avidité de connaissances et d’une fierté sans égale, je suis animé par cette volonté de tout savoir sur tout, de tout maîtriser, de tout connaître, pour ne jamais avoir besoin de personne. C’est ma manière de survivre, dans notre monde, et aussi ma stratégie pour me démarquer. De plus, je suis ambitieux et désire mener à bien de grands projets pour améliorer les situations qui me déplaisent.

“On lui donnerait le bon Dieu sans confession” ∆ ou la variante de ma mère : “menteur comme un arracheur de dents.” Le problème, c’est que j’ai vite appris à être malhonnête pour ne pas subir des réprimandes ou me trouver dans des situations délicates et à force, le mensonge apparaît comme une solution de facilité, presque un mécanisme automatique. J’en suis au stade où il m’arrive de mentir tout en le réalisant mais sans savoir réellement pourquoi, si ce n’est le goût du frisson de jouer dangereusement. Socialement, je suis toutefois doté d’une franchise tranchante et d’une répartie acide : je ne me prive pas pour clamer ce que je pense et remettre les pendules à l’heure de mon esprit. A contrario, dans mes relations amoureuses, j’ai déjà menti pour me rendre plus intéressant aux yeux de la femme que je convoitais.

“La ville dans le creux de ta main” ∆ à traîner dans tous les coins depuis mon enfance, j’ai rapidement appris à me débrouiller et j’ai rencontré un tas de gens, plus ou moins recommandables (ce qui m’intéresse est le but, pas le moyen, après tout. Puis l’éthique, c’est franchement abstrait, barbant et subjectif.). Je sais bien souvent qui aller voir, quand et comment, en cas de pépin ou de besoin. C’est notamment par cette attitude que j’ai recueilli il y a quelques années Patronus, mon chat. Pourquoi ce nom ? Parce que dès que je l’appelle, je me sens déjà mieux. Et pour ceux qui ne connaissent pas Harry Potter, je leur explique qu’il est le patron chez moi (ce qui n’est pas entièrement faux).

“Droit dans ses bottes” ∆ dans le cadre de ma profession, je suis intransigeant. Le droit, à mes yeux, c’est un jeu duquel je connais les règles sur le bout des doigts et je compte bien gagner. Cependant, dans ma vie personnelle, je suis plutôt la liane qui part dans tous les sens, qui se dandine pour se faufiler et saisir les opportunités qui lui plaisent bien (je dis liane, les autres diraient plutôt mauvaise herbe, soyons honnête). Je suis déterminé à arriver à mes fins et je ne manque pas de créativité pour obtenir ce que je désire. Le seul souci, c’est que j’ai très peu de notion de bien et de mal, le fair play n’est pas dans mon répertoire, je n’en fais qu’à ma tête et comme il me plaît. Selon moi, tout est gris, personne n’est innocent et tout est justifiable.

“La vie est un concours de circonstances” ∆ est mon credo. Pour moi, on naît avec plusieurs cartes en main et on ne fait que les jouer tout au long de notre vie pour en développer certaines et en abandonner d’autres. On dispose ainsi de plusieurs outils, plusieurs armes, plus ou moins faciles à manier, et parfois, à la distribution des cartes, on n’est franchement pas chanceux. Ma vocation c’est de permettre aux gens d’avoir une seconde chance. C’est dans cette optique que je me suis orienté dans des études de droit et c’est également armé de ces valeurs que depuis que je suis adolescent, je crée (entre autres) de faux documents d’identité et visas, pour selon moi permettre aux gens, que j’estime le méritent, de pouvoir repartir de zéro.

“Faire le tour du cadran” ∆ trois heures par nuit, voilà ce que j’arrive à dormir. Autant vous dire qu’il me faut trouver de quoi occuper mes journées et c’est ainsi que je suis ce que certains qualifient de “boulonneur”. Je ne supporte pas de rester inactif et je me donne corps et âme aux dossiers que je défends tout comme je m’investis avec une méticulosité hors pair aux faux que je crée. L’échec, très peu pour moi. Le hasard, encore moins.

“Imperturbable” ∆ que ce soit pour me concentrer alors que c’est le chaos autour de moi, que ce soit pour conserver mon sang-froid dans des situations catastrophiques et effarantes, que ce soit face à des monstres menaçants qui pourraient aisément me réduire en bouillie. Je ne crains pas et je ne laisse rien freiner ma route. J’ai confiance en mes capacités, j’assume entièrement qui je suis, je suis persuadé que je saurais toujours me défendre et m’en sortir.

Le joueur derrière l'écran

Sur le net, on m'appelle Addie, mais appelez-moi Addie. J'ai franchi le cap de la trentaine, et je viens de là où l'hiver est la saison la plus longue max ▲ sunday with a flu 613854477

. J'ai découvert 30YSY grâce à une partenaire de RP, et j'ai cédé à m'inscrire parce que c'est la maison, ici, et la tentation était trop forte pour résister plus longtemps à ce troisième compte. Malgré mon emploi du temps chargé, je pourrai tout de même être présente quasiment tous les jours max ▲ sunday with a flu 2505803030

. Mon personnage est un inventé, qui intégrera les pré-liens du Epsilon Project de @Jackson Mills avec son accord max ▲ sunday with a flu 1949770018

. Je suis contente de vous rejoindre dans l'aventure et j'ai super hâte de jouer mon Max avec vous max ▲ sunday with a flu 199959295

.

Pour recenser votre avatar

Code:: <pris>darren barnet ≈</pris> @"max novak"

à remplir si vous refusez le doublon de prénom

Code:: <pris>MAX</pris>

(#) Sujet: Re: max ▲ sunday with a flu Dim 12 Mar 2023 - 18:15

Black hole conversations

Go ahead, you can say it's my fault

I. Cut my finger, spilled my beer

“On est pas riche, Max, mais on est propre,” était l’une de ces paroles que répétait régulièrement ma mère alors qu’elle m’inspectait d’un œil sévère, apprêté de mes vêtements de deuxième (souvent plus) main, avant que je ne passe le seuil du bar qu’elle tenait, héritage de ses parents qui lui faisait péniblement gagner sa vie, pour emprunter le chemin de l’école. Cette phrase s’est rapidement érigée au rang des expressions dans mon esprit tant elle était récurrente, s’associant rapidement à “On n’est pas une banque ici”, “Apprends à l’école si tu ne veux pas finir comme moi.” Ma mère, c’était ce mélange doux amer d’un nombre incalculable de surnom affectueux qu’elle me dédiait, entrecoupés des insultes qu’elle m’accablait dès que les choses ne se déroulaient pas exactement comme elle le désirait, comme si elle avait atteint son maximum de tolérance depuis des années et que la moindre contrariété la faisait dorénavant exploser sans cérémonie. Ma mère, c’était la femme du quartier à qui personne n’osait chercher des noises et pour ceux qui ont tenté l’affaire, ils l’ont amèrement regretté, subissant un coup inventif ou sous la ceinture de celle qui m’a donné la vie.
Sans jamais lui avoir avoué, parce qu’on ne se dit pas ce genre de choses, je suis fier d’être son fils.

J’aime penser que mon père est le seul qui a trouvé un chemin jusque son cœur et d’une certaine façon, c’est l’unique fait que j’admire chez lui. Je l’imagine ayant franchi toutes les barrières et traversé toutes les embûches pour lui dérober toute son affection ; tout ça pour mieux l’abandonner une fois qu’il avait insufflé ma présence en elle. De mon père, je ne possède qu’une partie de caryotype et à tous ceux qui me demandent pourquoi je n’ai jamais cherché à le connaître ni même le trouver, je rétorque que je n’ai aucun intérêt à traquer quelqu’un qui, manifestement, n’a que faire de moi. S’il avait voulu d’une relation avec son fils, il savait où me trouver.

Alors officiellement, on était deux à vivre dans l’appartement surplombant ce bar. Une partie des gens qui nous ont côtoyé ont toujours médis le fait que j’avais grandi vite et mal, parce qu’en mauvaises compagnies, parmi de drôles d’influences - ironiquement, en partie la leur. Certes, à l’école, j’ai toujours eu le sentiment de jurer, qu’il y avait un fossé entre ma maturité, mes expériences, mon quotidien et ceux de mes camarades de classe. J’ai rapidement préféré la compagnie des clients du bar, dont la finalité était souvent l’état d’ébriété, à celle des mômes qui crachaient les discours bourrés de préjugés de leurs parents. En fait, ce que ne comprenaient pas les adultes qui m’entouraient qui regrettaient que je ne grandisse pas plus loin du monde du bar qui nous faisait vivre, ma mère et moi, c’est que c’était plutôt moi, la mauvaise fréquentation, pour mes camarades de classe, et ça m’allait très bien. Je favorisais les nuits festives au bar où l’alcool coulait à flot pour éponger les chagrins et célébrer les réussites, durant lesquelles les chansons populaires s’enchaînaient et reposent encore dans ma mémoire, aux échanges des cartes pokémon et derniers potins.

Je considère tel un atout d’en connaître autant sur la vie en étant témoin de la déchéance des âmes et de la roue qui tourne sur une base régulière. A mes yeux, ce mode de vie m’a incité à développer une compréhension de ce que l’être humain connaît de pire. La colère, le chagrin, l’égoïsme, la jalousie, la peur, la trahison, je maîtrisais sur le bout des doigts et mêlés à l’innocence et la naïveté de l’enfance, je ne les craignais pas. Encore aujourd’hui, à l’âge adulte, aucune réaction ne m’impressionne réellement, ce qui n’est pas toujours sain, j’en conviens. Je suis fier d’avoir grandi dans ce bar parce qu’il m’a appris la vie de manière brute, avec une authenticité féroce. J’ai grandi vite, comme la mauvaise herbe, mais de ma hauteur brinquebalante, j’en voyais et connaissais davantage et j’ai vite appris à comment me plier pour résister aux rafales de vent et fortes pluies.

II. I put your stockings in my purple boots

Je n’ai jamais aimé l’école. Ca m’ennuyait, je ne supportais pas rester assis sur une chaise inconfortable à être gavé comme un mouton de leçons théoriques dont j’ignorais même l’utilité pour l’avenir. Je me contentais de graviter autour de la moyenne, pour me débarrasser vite fait de cette scolarité et ne pas subir les leçons de morale de ma mère à la réception du bulletin de notes. Si j’avais des capacités, elles n’étaient assurément pas exploitées dans le milieu scolaire, sauf si je voyais l’intérêt à quelque chose - et à ce moment-là, j’excellais. Non pas que je sois un génie, mais je sais travailler d’arrache-pied. Je passais la majorité des classes à dévorer les livres de la bibliothèque ou de la librairie qui traitaient de sujets ou d’histoires qui m’intéressaient véritablement. Dans mon temps libre, je mettais mon nez là où je n’en avais pas spécialement le droit simplement par curiosité, pour découvrir ce que faisaient les autres, pour comprendre la place et le rôle des gens. J’étais espiègle pour les bonnes âmes, un petit mal élevé pour les plus surpris. Je n’en faisais qu’à ma tête, je vivais uniquement pour moi, quitte à avoir l’air d’un clown ou d’une racaille.

A l’adolescence, j’ai fini par tremper dans des affaires louches et j’ai sombré dans une spirale de problèmes digne de ces feuilletons télévisés qui passent en boucle sur la chaîne gratuite à la télé. Je suivais mes propres règles et à la moindre remontrance, j’envoyais violemment paître les gens. A croire que la notion entre l’autorisé et l’interdit était fortuite chez moi, surtout lorsque je ne reculais devant absolument rien pour savoir faire quelque chose de plus ou obtenir l’objet de mes convoitises. A mes yeux, plus j’en savais, plus je pouvais survivre dans ce monde et mon désir était d’être totalement indépendant. Il m’était impensable de dépendre de qui que ce soit. J’étais convaincu que le savoir était la clef de la réussite. A true Ravenclaw.

Dans ma continuité observatrice, je suis rapidement devenu le sale gosse qui déniche toujours les combines et magouilles superflues pour atteindre ses fins et pour se sortir des mauvais pas. Ca m’a rendu plus arrogant que jamais et étreint d’un sentiment d’invincibilité, j’étais persuadé que je saurais de toute façon me défaire des éventuels beaux draps dans lesquels je pourrais être enveloppé à trop jouer avec le feu.

C’est à cette époque que je me suis pris de passion pour créer des faux. D’abord pour permettre aux mineurs de s’enivrer, ensuite pour sortir du pétrin les amis, enfin pour renverser des situations comme il me semblait le plus judicieux. Méticuleux, ne comptant pas mes heures, usant sans scrupule de vol et de malhonnêteté, j’ai démarré un véritable business. Je glissais les premières rentes dans la caisse enregistreuse du bar pour soutenir ma mère, puis j’ai perfectionné et développé mes faux, jusqu’à prodiguer de nouvelles identités et visas dans l’ombre.

III. Burnt my toast and lost your number

A aimer tant déjouer les règles, j’ai fini par me passionner pour le droit et les devoirs de chacun. Quoi de mieux que de maîtriser les lois pour ne jamais être atteignable ? A mes yeux, le monde était un jeu et la justice ses règles. Si je voulais dominer ce plateau, il me fallait connaître son cadre afin d’instaurer les situations qui me plaisaient. C’est ainsi que je suis parvenu à entrer à l’université pour étudier le droit, puis je me suis spécialisé en droit des mineurs. Défendre les adultes, très peu pour moi. Je tenais à être la voix des jeunes et les défendre pour qu’ils aient une voie dans leur vie. Si j’avais eu la chance de m’en sortir pas trop mal dans la mienne, je tirais une fierté et un sens à montrer la bonne direction de ceux qui n’avaient pas tiré un bon numéro au loto de l’univers. “La vie est un concours de circonstances,” je me plais toujours à dire. Les circonstances, parfois on peut les altérer, parfois il nous faut un coup de main. Je veux être ce coup de main pour les mineurs.

Ironiquement, mon diplôme d’avocat en droit des mineurs est la seule chose d’authentique que je possède, mon business de créations de faux toujours prospère.

Puis, je suis tombé amoureux de Nadia. Le problème avec cette jeune femme, c’est qu’elle me ressemblait trop. Elle aussi, elle sauvait sa peau en premier, lasse et méfiante de la condition humaine et de ses travers qu’elle définissait bien à sa manière. Après tout, dans un avion, on vous dit bien de mettre votre masque d’oxygène avant d’aider Autrui, pourquoi ferait-on différemment dans la vie de tous les jours ? Le souci, c’est que cette femme, j’ai fini par tant l’aimer que j’en ai perdu la tête. J’ai fini par tant l’aimer que je lui ai avoué d’où venait mes financements - ça n’aurait certainement pas pu venir de ma mère et son bar de fortune. Le souci, c’est que je ne me suis même pas douté qu’elle savait déjà qui j’étais avant même de m’aborder, en particulier mon palmarès de fraudes, et qu’elle me montait en bateau depuis des mois pour que je lui procure ce qu’elle nécessitait pour soutenir ses sinistres desseins. Les visas que je créais à sa demande n’étaient pas pour les membres et amis de sa famille qui miséraient dans son pays natal, mais bien pour introduire les personnes de sa cellule terroriste sur le territoire australien. Sans le comprendre de suite, j’étais acteur d’un réseau organisé, aveuglé par ce stupide amour. Lorsque j’ai capté dans quels draps je m’étais fourré, il était néanmoins trop tard et aucun retour en arrière n’était envisageable sans conduire à l’assassinat de ma mère par ces propres membres de la cellule dont j’avais permis l’entrée en Australie.

Mars 2023, l’agent fédéral dénommé Jax, membre de l’unité secrète Epsilon Project, m’arrête pour complicité et association aux terroristes, l’information de mon rôle au sein de cette cellule terroriste découverte et révélée par le dit Neo, aussi membre de cette unité. L’Australian Security Intelligence Organisation (ASIO) me prend alors en charge et s’en suivent moults confrontations, interrogations, rapports de force, jeux moraux, les conséquences de mes productions de faux frisant la fatalité. Les techniques sont nombreuses pour me faire cracher les mots que je garde jalousement en moi, naturellement tête de mule qui devient alors autodestructrice, convaincu que les dés sont jetés en plus d’avoir été pipés et n’avoir ainsi plus rien à perdre. A mesure des jours, les diapasons s’accordent, la contrainte sous laquelle j’ai agi fuite, un marché m’est soumis : en échange de ma liberté et la vie de ma mère protégées, je dois intégrer les rangs des agents fédéraux pour mettre à leur exclusive disposition mes compétences et informations, en particulier à l’unité même qui m’a découverte : Epsilon Project. Personnellement, ça me permettra également de me venger, quand bien même travailler en équipe promet d’être une expérience houleuse pour la personne individualiste égocentrique à l’éthique douteuse que je suis. Néanmoins, même si je suis trop orgueilleux pour l’avouer, je ne compte absolument pas saboter ce projet en raison du marché passé avec l’ASIO et le fait que, même si j’ai tout de l’anti-héros, je n’ai qu’une seule parole. Puis, intérieurement, j’adhère à leurs motifs et à leur morale.

Des épreuves et tests en accéléré sont ainsi organisés pour me permettre d’obtenir le statut d’agent fédéral. Je valide la partie théorique et l’agent Jax qui m’avait lui-même arrêté reçoit l’ordre de terminer ma formation pratique, devenant garant de mon training physique. Quelques jours plus tard, j’intègre Epsilon Project.

(#) Sujet: Re: max ▲ sunday with a flu Dim 12 Mar 2023 - 18:15

Rebienvenue à la maison :l:

(Et désolée pour le premier post éclair j'ai pas fait gaffe max ▲ sunday with a flu 613854477

)

:

(#) Sujet: Re: max ▲ sunday with a flu Dim 12 Mar 2023 - 18:24

Haha, aucun souci @Raelyn Blackwell, vous étiez de vraies flèches, Jackson et toi max ▲ sunday with a flu 206649278

Je me suis doutée que vous alliez vite remarquer que je n'étais pas aussi rapide max ▲ sunday with a flu 2505803030

Merci beaucoup pour le rebienvenue I love you

Invité Invité

rebienvenu chez toi, max ▲ sunday with a flu 1336066658

bon courage pour la validation! :l:

Invité Invité

rebienvenue chez toi max ▲ sunday with a flu 2523491165

(#) Sujet: Re: max ▲ sunday with a flu Dim 12 Mar 2023 - 18:27

PAS PREEEEMMMS max ▲ sunday with a flu 199959295

(du coup XD)

Tu sais déjà tout mais bienvenue quand même :l:

MANY MEN WISH DEATH UPON ME × « Blood in my eye, dawg, and I can't see. I'm tryin' to be what I'm destined to be and niggas tryin' to take my life away. »

MANY MEN ⠇50 Cent

max ▲ sunday with a flu Signature-JACKSON

(#) Sujet: Re: max ▲ sunday with a flu Dim 12 Mar 2023 - 18:29

Re Bienvenue max ▲ sunday with a flu 2728

:

Invité Invité

Oooh

Rebienvenue par ici toi max ▲ sunday with a flu 4052937387

J'ai hâte d'avoir 3 mois :drama:

(#) Sujet: Re: max ▲ sunday with a flu Dim 12 Mar 2023 - 18:44

On ne nous dit pas tout max ▲ sunday with a flu 692915883

(re) bienvenue chez toi ma belle max ▲ sunday with a flu 674657830

Il m'a l'air sympathique celui-ci encore max ▲ sunday with a flu 873483867

un petit coeur à la traîne

(#) Sujet: Re: max ▲ sunday with a flu Dim 12 Mar 2023 - 18:52

Mais qui êtes-vous donc ? max ▲ sunday with a flu 206649278

Venomous bite

Une couche de pierre sur un coeur de verre ☽ Je vois là un homme qui se brûle sans feu, qui se noie sans eau et qui se pend sans corde.

Invité Invité

Bienvenue de nouveau par ici :l:

(#) Sujet: Re: max ▲ sunday with a flu Dim 12 Mar 2023 - 19:08

rebienvenue chez toi max ▲ sunday with a flu 206649278

:

(#) Sujet: Re: max ▲ sunday with a flu Dim 12 Mar 2023 - 19:20

Merciiii beaucoup à vous tous pour vos messages max ▲ sunday with a flu 206649278

ça fait toujours tellement plaisir cet accueil de folie que vous réservez max ▲ sunday with a flu 2523491165

@Jackson Mills : t'inquiète, j'ai bien vu que tu l'étais :nieheh:

@Abel Greetham : olala, moi aussi du coup ! max ▲ sunday with a flu 4052937387

@Adèle Shephard : tu me connais, toujours dans les cachotteries max ▲ sunday with a flu 4251317097

@Archie Kwanteen : cher souvenir d'enfance :gla:

wildcard

Go ahead, you can say it's my fault if it still hurts at all. I thought one of these days you might call when you were feelin' small.

(#) Sujet: Re: max ▲ sunday with a flu Dim 12 Mar 2023 - 19:25

Re bienvenue par ici max ▲ sunday with a flu 1949770018

Hâte de voir ce que tu vas en faire dans le jeu de celui-ci.

you can let it go, you can throw a party full of everyone you know, and not invite your family cause they never showed you love, you don't have to be sorry for leaving and growing up.

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