while we were developing common sense, she studied the blade.

Sloane Jarecki

Petite citation qui représente ton perso'

Pièce d'identité

NOM ≈ Née Marasigan, nom de famille paternel qu’elle et son frère se sont empressés de perdre dès qu’on leur a proposé - Martinez, c’est le nom de la famille d’accueil dans laquelle ils sont restés jusqu’à l’âge adulte et considère encore comme leur véritable foyer. Elle a cependant gardé Jarecki : un an de divorce, sur 15 ans de relation, finalement, ce n’est pas grand-chose. PRÉNOM(S) ≈ Elle répond systématiquement à Sloane, jamais à Amihan, et plisse le nez quand il faut le marquer sur de la paperasse administrative. ÂGE ≈ 35 ans depuis le 25 Décembre, voilà deux ans qu’elle échappe aux blagues un peu nazes. LIEU DE NAISSANCE ≈ Davoren Park, Adelaide, dans un appartement où la moisissure prenait plus de place que leurs fringues et où l'isolation était suffisamment désastreuse pour leur faire des frayeurs. STATUT SOCIAL ≈ Divorcée depuis à peine un an : son ex-femme était davantage sa meilleure amie qu’autre chose, avec le recul. Ca ne les empêche pas d’élever leur fille ensemble, malgré la galère administrative pour être reconnue comme seconde mère. Elle a donc activé un Tinder et un Fetlife et navigue dessus comme une boomeuse, pas très familière avec l’univers. MÉTIER ≈ Psychologue pour enfants qui n’a eu d’autre choix que de se reconvertir, après une période probatoire où on a estimé qu’elle prenait la chose trop à coeur. Depuis, elle est psy dans le monde du showbiz, sur les plateaux de cinéma et de séries ainsi que les téléréalités : c’est des vacances tout frais payés pour entendre des gens se plaindre qu’ils se sont faits traiter de ta gueule, ça va. ORIENTATION SEXUELLE ≈ lesbienne qui repousse toujours souvent ses instincts de comphet, même s'ils se raréfient. GROUPE ≈ 40 ans mode d'emploi. AVATAR CHOISI ≈ Shay Mitchell CREDITS GIFS ≈ gif 1) crystalteacupps, gif 2) gifsbyharley, gif 3) youngfcs .

Les informations en vrac

(01) Ses parents se sont rencontrés jeunes grâce à leur passion commune pour la consommation excessive de substances : Adelaide en avait toujours en trop, prête à en refourguer à bas prix aux âmes les plus affamées ; c'était facile de tomber dedans, à l'époque, comme de se retrouver à la rue. Ils s'en sont sortis à la force des bras et du travail encore assez aisé à trouver : elle, Canadienne d'une famille d'immigrés, s'est faite une place toute trouvée de secrétaire dans des bureaux, tandis que son mari d'origine philippine a trimé sur les chantiers : un portrait bucolique d'une famille idéale avec une première gosse sur le chemin, un miracle australien au sortir d'une délinquance rampante. (02) Sloane est la première enfant des Marasigan : une réussite avec tous les orteils au bon endroit, le summum de la santé symbolisée par l'absence nouvelle de drogues. Celles-ci sont remplacées par l'alcool sur les chantiers, mais c'est mieux, c'est socialement accepté, sinon une marque culturelle d'appartenance. Joshua n'a pas la chance de sa sœur : quatre ans après, les addictions ont repris leur place, la chaleur du familier et du connu. (03) Les premières années d'apprentissage de sa vie se font à la maison : du coup, elle charrie le poids d'un accent à la con, elle prononce aboot et hoose, peine à rattraper l'accent local lorsqu'elle fréquente enfin le système public. Ça n'a pas représenté un handicap suffisamment fort pour qu'elle le corrige, cependant, les autres lacunes bien trop lourdes à combler. (04) Elle n'a plus contact avec ses vrais parents – pour autant que ça la concerne, ils ont perdu le titre. Ce n'est pas un sujet dont elle parle ouvertement. Sa famille, ce sont les Martinez, qui les ont accueillis à partir de leurs 14 et 10 ans, après 3 ans en foyer : c'est suffisamment de précisions à fournir sans revenir sur le reste. Son passage dans le système est souvent passé sous silence, lui aussi : elle le dénonce mais garde son expérience pour elle-même, par peur peut-être de nier tout ce que les Martinez ont pu faire pour eux. (05) La volonté de devenir psy est presque toute tracée : elle veut devenir ce qu'elle n'a pas eu elle-même, une oreille qui la comprenne et la protège de ses parents, qui alerte avant qu'elle ne soit contrainte de le faire elle-même et qu'on ne l'entende pas. Son implication sera finalement sa propre fin : elle a été mise au banc après avoir hébergé une gamine aux parents violents plutôt que de l'avoir laissée rentrer chez elle la fois de trop. Elle est depuis contrainte de bosser avec des adultes, et pas n'importe lesquels : elle bosse sur ses plateaux de tournage de films, séries et émissions de téléréalité, parmi lesquels, récemment, Ultimatum: Queer love et Love is blind. Autant dire qu'elle se sent particulièrement utile à la société. (06) Depuis le départ de Joshua et elle-même, Papa a rangé la ceinture et les poings, et Maman l'a plaqué après qu'il soit tombé en dépression. Elle est partie user de ses mots ailleurs, devenant un gourou en ligne pour des gens portant présupposément de l'ADN d'alien. Une allumée parmi tant d'autres, mais une allumée populaire : on paie sans mal 400 dollars pour aller voir ses conférences sur le système de paix mondial dont elle fait partie avec des andromédiens et des reptiliens, et on la voit régulièrement se faire debunk sur tiktok. Joshua, quant à lui, n'a jamais réussi à tourner la page. (07) Personne n'a compris sa décision de laisser son frère partir ; pas leurs géniteurs, qu'elle a du faire virer des funérailles, ni leurs parents, qui considèrent qu'elle a abandonné leur fils et qui ne lui parlent plus depuis. Déni peut-être, ou deuil mal entamé qu'elle cache sous le tapis : ses cendres sont toujours dans son salon plutôt qu'au dessus de Point Kean, comme il lui a demandé. (08) Elle a participé à la rédaction de deux livres illustrés pour enfants sur le consentement, à l'époque où elle travaillait encore avec eux ; elle considère ce travail comme le magnum opus de son ancienne carrière : la voilà donc tombée bien bas. (09) Elle a longtemps eu une relation compliquée avec son corps et sa sexualité, les considérant comme sales ou indésirables : c'est sa première petite amie et meilleure amie qui l'a aidée à faire un travail sur elle, à s'ouvrir à ses désirs et besoins, avec elle puis d'autres. Son apprentissage d'elle-même a été de longue haleine avant qu'elle ne saute le pas et s'inscrive sur des sites comme Fetlife, se découvrant petit à petit jusqu'à une acceptation quasi totale. (10) Sloane a rencontré son ex à l'adolescence et l'a épousée sur le tard : elles ont tenu cinq ans avant de divorcer, avec comme cause principale le polyamour récemment découvert de son ex. Si Sloane est infoutue de tenir dans un couple qui ne lui ressemblerait plus, elles sont néanmoins restées très proches : assez pour élever leue fille qui allait naître, Delilah, comme co-parentes, et largement suffisamment pour garder le patronyme de son ex. (11) Peu accomplie ou épanouie dans son job actuel, elle consacre beaucoup de temps à la sculpture sur bois : elle a remodelé sa maison pour y créer un atelier où elle fabrique des couteaux et des canards en bois.

Le joueur derrière l'écran

Sur le net, on m'appelle PRINCESSE MONONOPRIX, mais appelez-moi PRINCESSE TOUT COURT (oui je sais la blague se fait vieille). J'ai 27 ans bientôt, et je viens de france métrop. J'ai découvert 30YSY grâce à ça remoooonte, et j'ai cédé à m'inscrire parce que je n’avais pas encore exploité mon faible pour les avatars populaires de 2006 sur blingee et les forums ouat. Pour me faire ma place, j'ai PAS BESOIN d'un parrain ou d'une marraine. Malgré mon emploi du temps chargé, je pourrai tout de même être présent(e) quotidiennement, un peu moins pour rp. Mon personnage est un INVENTE. Je suis content(e) de vous rejoindre dans l'aventure et DERNIER MOT D'AMOUR POUR LE FORUM.

Pour recenser votre avatar

Code:: <pris>shay mitchell ≈</pris> @"sloane jarecki"

à remplir si vous acceptez le doublon de prénom

Code:: <scena>PRÉNOM DU PERSONNAGE</scena>

à remplir si vous refusez le doublon de prénom

Code:: <pris>SLOANE</pris>

Il était une fois, mon histoire

Petite citation qui illustre ton histoire

TW : mentions de suicide médicalement assisté, de dépression lourde et de troubles du comportement alimentaire.

AN END -- « T'es sûr que c'est ce que tu veux ? »

Dix minutes, pas moins, pour briser le silence qui commence à les assommer tous les deux. Dix minutes qu'il n'y a que le frigo qui fait le taf en se vidangeant et ça lui fait l'effet de cent vingt rafales au dessus de sa tête pour le jour de célébration nationale. Il la regarde, lui translucide presque, à peine os sous la peau tant il fait fragile, toujours si putain de tranquille quand tout l'univers s'est fendu en deux. « Bien sûr, que je le suis. C'est vous qui l'êtes pas, et c'est normal. C'est pas grave. » Comment fait-il, pour garder la pédagogie d'un mec qui vient d'annoncer à sa sœur qu'il avait posé une bombe au Memorial Park, et la béatitude du Bouddha qui a tout compris, à la vie, à la mort, et qui n'a plus peur ni de l'un ni de l'autre ? Elle en a putain de peur, elle, de la mort, une peur collante et froide qui ne l'a jamais lâchée et qui lui rappelle subrepticement qu'elle a toujours été là, entre deux portes, à la guetter et attendre qu'elle tombe à son tour. C'est ça, la seule différence, au fond, il n'a plus peur alors qu'elle est terrifiée.

À bien y réfléchir, elle n'est pas sûre d'avoir un jour eu un frère, davantage qu'une ombre ; c'est toujours elle qui l'a porté à bout de bras, l'a protégé avec son corps, et c'est toujours elle qui s'est accrochée pour deux. Le message est clair depuis tant d'années qu'elle se demande si elle ne l'a pas volontairement ignoré pour se protéger elle-même : elle le voit là, maigrelet dans son lit d'hôpital, tuyaux d'alimentation branchés un peu partout et quantité de machines pour le maintenir et elle se demande s'il n'a pas espéré sa maladie juste pour se sortir plus vite de toute cette merde. Elle se demande si ça tient du courage ou de l'abandon, si elle a le droit de lui en vouloir, de ressentir autre chose que ce profond désarroi d'un parent qui ne veut pas voir son gamin souffrir, ou abandonner tout en sachant qu'il ne peut plus rien y faire. La décision est prise et ça fait des années qu'elle n'est plus sienne : elle a été prise des années avant eux, au premier coup, au premier regard qu'ils ont appris à craindre. « Comment tu sais que tu regretteras pas ? » C'est un murmure hâté, comme si elle avait peur qu'il prenne son silence pour un assentiment, ou qu'il comprenne qu'elle savait qu'elle ne pourrait rien dire pour le retenir.

« Regretter les dix mois max qu'il me reste ? Sans pouvoir me lever seul, me faire laver le cul par un infirmier de mon âge ? Ça ira, S. Ça fait trois ans. Il est temps. »

Elle n'a rien à répondre, rien à nier, cette fois non plus : ça fait trois ans dans un centre palliatif, mais ça fait aussi quinze ans en on et off dans des hôpitaux psy, ponctués de quelques semaines de réhabilitation pour les problèmes de nourriture. Il y en a toujours eu tant, des cas comme le sien, mais jamais Sloane n’y a été confrontée. De l'autre côté du miroir, bien sûr, elle aurait immédiatement été pour – vu de sa fenêtre, elle n’a qu'une envie : retenir son frère, son autre moitié, celui pour qui elle a tout fait et justifié, parce que rien n'est plus justifiable s'il n'est plus là. C'est injuste, et égoïste, et elle a presque envie de le rester, si ça lui offre quelques mois de plus avec lui. Parce qu'il n’a jamais semblé suffisamment malade pour justifier la mort, de ses yeux, mais ses yeux sont faillibles, et ils ne l'ont jamais vu pour ce qu'il était : déjà un peu parti.

« Ok », lâche-t-elle, contre tous ses instincts, et ça hurle en elle de revenir en arrière et de reprendre ses mots. Elle poursuit pourtant : « Je vais t’aider. »

(FIN DES TW)

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A BEGINNING -- Natalia dort paisiblement dans son lit d'hôpital depuis son arrivée – l’accouchement l’a épuisée, et divertir la famille qui est passée après n’a pas été de tout repos, non plus. Sloane est arrivée dernière : trop de contraintes sur le plateau de tournage, des horaires toujours plus longs et des clients relativement demandeurs. Ses cernes ont pris des allures bleutés qui renvoient à ceux de son ex-femme, à quelques mètres de là. Pour sûr, celle-ci va lui en vouloir d'avoir été absente au moment fatidique : la psy avait promis d'être là, quoi qu'il advienne, et si Natalia avait appris à l'usure qu'on pouvait rarement se fier à ses promesses, n'en était pas moins qu’elle avait espéré, rien que pour cette fois-là.

La jeune femme était arrivée sur une chambre déserte , en dehors de la mère et de la nouvelle-née qui s’était endormie en tétant, et avait quitté ses talons à l'entrée pour ne risquer de réveiller personne. Voilà donc une heure qu’elle était connement posée sur le canapé inconfortable au coin de la salle, en chaussettes, à observer la scène en spectatrice sans oser s'en rendre personnage. Il y avait une espèce de sérénité qui lui semblait trop détachée d’elle, ici, et elle avait peur qu'à tout moment quelqu'un rentre et lui balance un regard accusateur : illégitime, absentéiste, traîtresse. Il n'y avait qu’elle pour s’affubler de ces caractéristiques à voix haute, cependant, et elle doutait même que les regards de son ancienne belle-famille ne trahissent autre chose qu'une affection un peu fatiguée, contrariée par le divorce. Mais il y a Gina dehors, qu'elle doit gérer avec une crainte conservatrice : c’est trop tôt pour rencontrer la gamine, et c’est trop tôt pour rencontrer l’ex-femme, aussi. À moins que Sloane ne s’y refuse avec son tempérament bougon habituel, mélangé à la crainte de voir Natalia avec une autre, si peu de temps après elles, à construire une base sur leurs ruines encore fumantes. Et dans tout ça, il faudra donner sa place à Delilah, bon gré mal gré.

Delilah : ça fait trois semaines qu’elles ont décidé ensemble et elle en a tous les traits : moitié l'une, moitié l’idée de l'autre. Les ovules d'une moitié un peu effacée et le ventre de celle qui a voulu mener le tout à terme. L'enfant est plus blanche qu’elle, à moins que la naissance ne lui ait pas encore donné ses couleurs. Mais qu'importe : Sloane est indéniablement mère, d'une façon qui lui est étrangère tant elle n'a jamais vu le rôle endossé, et elle se sent foutrement démunie face à ce minuscule être aux tout petits poings repliés. Un coup d'oeil suffirait à la foutre par terre, en KO technique : le petit être pourrait la tuer en un coup, elle en est certaine. Elle se lève d'une façon un peu maladroite et retire sa veste de tailleur pour la poser derrière elle, avançant jusqu'au lit avec l'aisance d'une girafe nouvelle-née. Elle reste plantée là une bonne demi-heure, dans le silence, avant d’oser enfin tendre les mains et récupérer la petite.

Ça ne pèse rien, dans ses bras : la gamine reste endormie et se blottit directement contre ses nouveaux repères, tout près de son cœur qui risque de la réveiller tant il bat fort. Elle a tellement peur de faire un mauvais mouvement qu'elle ne bouge plus, ne respire même pas : trop peur de la lâcher, de mal la tenir, de la réveiller et qu’elle ne veuille plus d’elle. Mais rien, Delilah est immobile, son poing levé vient trouver un bout de pull qu'elle serre sans plus le lâcher. C’est l’allégorie parfaite de la poule devant une fourchette, incertaine de tout et encore plus d’elle-même, à deux doigts de fuir. Elle la regarde et elle comprend qu'il y a la mort, jamais loin, mais un peu plus maintenant, et plein d'autres choses plus belles et plus douces, et qu'au cœur de celles-ci il y a Delilah. Pour elle, elle fera tout mieux.

Rebienvenue à la maison. I love you

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Bonjour.......... while we were developing common sense, she studied the blade. 3922047296

Rebienvenue, this is a safe space pour les avatars populaires en 2006 while we were developing common sense, she studied the blade. 3258319053

and they nicknamed her "the bolter"

she's been many places with men of many faces, first, they're off to the races and she's laughing, drawin' aces, but none of it is changin' that the chariot is waitin', hearts are hers for the breakin', there's escape in escaping / started with a kiss "oh, we must stop meeting like this", but it always ends up with a town car speeding out the drive one evenin'

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while we were developing common sense, she studied the blade. Mommy-sorry

"hé Martinez, ready girl?" je l'ai en tête maintenant super :brows:

quel super choix de fc, Shay est tellement jolie :drama:

rebienvenue à a maison :l:

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Re bienvenue à la maison :l:

le combo fc populaire en 2006 + pll absolument validé ici (qui est étonné)
rebienvenue à toi :l:

just know this too shall pass

losin' your mind in the mirror like you have to, screamin' in your car in the driveway, spinnin' out, think your life's going sideways. sleep is so thin outta habit, hard to tell the real from the dreams you imagine. nights when one broken glass turns to total collapse just know this too shall pass.-byendlesslove

Spoiler:

rebienvenue à toi while we were developing common sense, she studied the blade. 2954228499

dommage qu'elle soit plutôt Love Island que Gwyneth Paltrow parce qu'il y a du taf dans le coin while we were developing common sense, she studied the blade. 3217047551

while we were developing common sense, she studied the blade. 3217047551

Baby, what's your sign?
My moon's in Leo, my Cancer is sun. You won't play, you're no fun. Well, I don't care what they think. Drag racing my little red sports car. I'm not unhinged or unhappy, I'm just wild - Lana Del Rey (Chemtrails Over the Country Club)

Rebienvenue parmi nous ! Amuses toi bien avec ta nouvelle dame ! while we were developing common sense, she studied the blade. 662981832

Rebienvenue à toi :l:

Tessa

- So cradle your head in your hands. And breathe. ☽ BASTET

Spoiler:

Re bienvenue par ici while we were developing common sense, she studied the blade. 206649278

you can let it go, you can throw a party full of everyone you know, and not invite your family cause they never showed you love, you don't have to be sorry for leaving and growing up.

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Rebienvenue à la maison et bon courage pour la rédaction de ta présentation ! while we were developing common sense, she studied the blade. 763064237

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❝oh my lungs are begging me to beg for you❞ all of these highs and all of these lows don't keep me company. i've been breathing you in and drinking you down, you're the only remedy. say you're gonna hold my head up, say you're gonna break my fall ; say you're gonna stay forever, baby, this is all i want. cause all my bones are begging me to beg for you, begging me to beg for your love.

while we were developing common sense, she studied the blade. S16fg64

while we were developing common sense, she studied the blade. MDGtleV

while we were developing common sense, she studied the blade. FaiOtwn

while we were developing common sense, she studied the blade. 4GUwOAz

Rebienvenue à toi :l:

There must be peace and understanding sometime, strong winds of promise that will blow away the doubt and fear if i can dream of a warmer sun, where hope keeps shining on everyone, tell me why, oh why, oh why won't that sun appear. if i can dream, e.presley + @aeairiel.

while we were developing common sense, she studied the blade. JL89r1l

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while we were developing common sense, she studied the blade. 4dcIXIB

while we were developing common sense, she studied the blade. VPaEYqd

while we were developing common sense, she studied the blade. Lbjcusp

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bienv'nue à toi ^^

you and i — i have galaxies hidden between my bones and i will love you until the stars burn out

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